Je viens de tomber dessus :
Des chercheurs ont étudié la forme optimale pour que le couvercle tombe le plus vite possible. Et apparemment il faut que ce soit légèrement conique.
Messieurs les éditeurs, vous savez ce qu’il vous reste à faire 
.
Comment ranger ses dés
Pour continuer dans le même esprit : comment ranger ses dés :
avec une autre publication sur le sujet :
Ils sont prêts pour l’Ig-nobel
Article publié un 1er avril mais j’y crois.
Il faudrait pousser plus loin la recherche dans cette voie. Par exemple, il est dit que les formes parfaites pour la « fermeture glissée » sont un couvercle parfait droit/carré/perpendiculaire et une boîte légèrement trapézoïdale. (n’en déplaise @Eolindel et ses cônes 
)
Or, j’ai le sentiment d’une conclusion biaisée par la méthode de fermeture « à la main », donc imparfaite, et que la forme idéale qui en découle ne serait qu’une forme facilitant la « fermeture glissée » car compensant l’approximation et les déviations couvercle/boîte résultant du positionnement « bancal » de départ.
M’est avis qu’avec un bras robotique pouvant placer avec une extrême précision le couvercle horizontalement au-dessus d’une boîte elle-même parfaitement horizontale, on en conclurait que les formes idéales seraient bien celles supposées avant les expérimentations, à savoir celles droites/carré/perpendiculaires.
Vous me direz : « On s’en fout, on est pas des robots, la méthode employée par les chercheurs de l’article est bien plus pertinente ».
C’est pas faux, mais je vous rétorquerai : « Vous manquez de curiosité. »
Ah bah voilà un jeu qui a l’air rigolo.
les regles sont un peu complexes, mais heureusement il y a une aide de jeu :
Alors ça va un peu trop loin pour moi, mais il semblerait que le facteur déterminant pour eux (et c’est pas con) soit la vitesse d’évacuation du trop-plein d’air dans la boite, autrement dit : moins il y a de pression sous le couvercle, plus il va se fermer vite.
Je n’ai pas l’impression qu’ils aient affiné les données en fonction du poids du couvercle, de la taille de la surface de la boite, ni qu’ils ont tant fait varier que ça l’écart couvercle/boite (et pourtant ce serait intéressant à tester en variant uniquement ce facteur AMHA).
Il faudrait faire plus de « boites de test maison » pour moduler différents paramètres, comme la texture des surfaces, pour les frottements ou leur porosité pour vérifier leur incidence sur la vitesse d’évacuation de l’air et donc la diminution de la pression interne.
On pourrait aussi tester différents facteurs de forme autre que les carrés ou rectangles : quid d’une boite ronde par exemple ?
Bref, c’est tout un champ de recherche qui s’ouvre et c’est beau !
Et je déconne même pas, ça m’intéresse. 
Je pense tout comme toi et seul le fait que je sois sur un téléphone m’a empêché de répondre la même chose.
J’ajouterai que si le couvercle est lâché par un bras robotique de façon parfaitement horizontale, que partie haute et partie basse sont parfaitement ajustées, la nécessité d’un orifice d’évacuation de l’air va devenir nécessaire, à l’instar de ce qu’on trouve sur les couvercles de spray par exemple.
:: edit :: et je viens de me faire griller 
J’ai tenté l’expérience avec le couvercle de Mage Knight et en utilisant le fond de boîte de The Crew et ça se ferme super vite, sans bruit de pet. J’en déduis qu’il faut hybrider et mélanger nos boîtes ce qui est une belle parabole sur la société en général.
Ça me fait penser à la fusée des Shadoks : elle décolle super bien mais vers le bas.
Je suis parti du principe, mais j’ai fait l’erreur de ne pas l’énoncer clairement par écrit, que trouer/percer = tricher.
J’avoue que c’est une contrainte que je me suis fixé mais pourquoi pas tester aussi différents types/formes/nombre de trous dans le couvercle ou la boite pour voir.
Merci, j’avoue avoir eu la flemme de tout décortiquer… 
A ne pas confondre avec:
La boîte qui pisse et celle qui coulete.
(couleter : verbe intransitif / En parlant d’un liquide, du sable, etc., se mouvoir lentement, aller d’un lieu à un autre, d’un mouvement continu ou discontinu, couler mais mal.)
Il faut aussi prendre en compte le volume d’air à déplacer.
Vous êtes en train d’épuiser ma réserve de 
Oui, la hauteur du couvercle et de la boite doit être un facteur déterminant également, pas que par rapport au volume d’air ou à la distance à parcourir d’ailleurs : passage de l’air plus difficile, sensibilité aux différences d’angles entre le couvercle et sa boite, etc.
Pour la peine, je t’en donne un !
Tout à fait.
Et on va être obligé de parler d’ajustements au sens mécanique du terme (serré, incertain, glissant, glissant juste, etc.) et donc de tolérances dimensionnelles dans pas longtemps si on veut avancer.
Je propose aussi que nous commencions par ne pas tenir compte du taux d’hygrométrie de l’air, qui affectera forcément le cartonnage. Je propose de travailler avec un taux d’humidité de 50% et une température de 18°C, ce qui correspond aux normes muséales de conservation d’une oeuvre papier. En dessous de 18°C, les préconisations veulent que l’on stabilise autour d’un taux d’humidité de 35% afin d’éviter le développement de moisissures et les phénomènes de condensation, c’est ce qui est préconisé au Québec par exemple.
Oui ca l’accès aux figures ne donne pas d’infos sur la manière dont ils l’ont pris en compte.
Ce que je me demande aussi c’est si il y a une correlation directe entre le fait que coulisse bien dans un sens, et dans l’autre ! L’effet ventouse, quand le contenu dans le fond n’est pas assez lourd, c’est aussi un sacré fléau.
C’est pour ça que je n’achète que des jeux MG et que je les sleeve. Parfois je rajoute aussi du gravier (comme fait l’éditeur dans mon intimité quand il me donne des arguments pour expliquer ses bourdes).
Pour le contenu des boites, il me semblerait plus pertinent de tout tester à vide.
Et ensuite on recommence tout pour l’ouverture :
On suspend les boites en les maintenant uniquement par le bout des bords et on voit à quelle vitesse ça s’ouvre.
Je serai curieux de voir s’il existe une corrélation vitesse d’ouverture/fermeture. 
