Pas ma came non plus a priori à cause de la durée, même si le thème m’intéresse.
En revanche, punaise les gars, v’là l’accueil : il s’en prend plein la tête le jeu, post après post.
Un peu de gentillesse non, c’est presque Noël ? 
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Je lui souhaite sincèrement de réussir dans son projet. Joyeux noël !
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En meme temps cest le risque quand tu arrives avec ce type de jeu…
A mon avis, il ne s’adresse principalement qu’à des gens convaincu par le sujet véhiculé…
Mais bon courage aux auteurs 
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Je ne crois plus au père Noël 
Sinon on peut « Terraforming Mars » ^^
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Merc Patman.
Mais j’assume clairement, du titre, au sous-titre, au sujet, au fait de mettre Jean-Marc Jancovici en avant (et qui m’a vraiment dit ok de manière personnelle pour démarrer le truc), le fait que je n’ai pas fait un jeu qui parle d’un futur rose, ou rempli de robots, de vaisseaux spatiaux ou autre fantaisie futuriste que j’affectionne par ailleurs.
Déjà, avec 4 à 6 heures de jeu, il s’adresse à un public limité, j’en suis conscient depuis le début. C’est un choix assumé pour des parties qui développent une histoire.
Et la phrase qui m’a guidée tout au long du processus est celle de Janco :« Si on ne fait rien, dans pas long, c’est la guerre partout ».
Moi, j’ai fait un jeu…
Donc oui, le sujet est chaud, sensible, provoque des réactions, et c’est absolument parfait. Juste, si vous aimez les jeux « à l’américaine » qui durent une demie journée, laissez lui sa chance, car une fois le sujet intégré, on se marre vraiment durant les parties…
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Vu les réactions ça tombe bien on est face à un public très limité et fermé d’esprit 
Sinon, dis nous en davantage sur les mécaniques, moi je suis intéressé
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Jeu coopératif sur le thème du climat, je suis preneur.
Mais 240 min, c’est no-go direct.
Les jeux à message, c’est bien, mais ça serait mieux de toucher un public le plus large possible. Là, clairement, ça va toucher une niche de niche d’une niche de joueurs, prêt à passer 4h devant un plateau qui fait pas non plus rêver (excel style…). L’idée est bonne, mais, je pense, il faudrait trouver un bon éditeur qui rende le jeu accessible et visuellement un peu plus sexy.
Bon courage en tout cas et bienvenue 
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et c’est combien le prix d’entrée pour lui laisser sa chance ?
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4 à 6 heures en soirée : pas bon pour la sobriété énergétique et le climat ça.
Nan je déconne. C’est pour rire.
Bon courage en tout cas.
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Ton deuxième rein
C’est là où nous en sommes. Les demandes de devis.
Objectif : le fabriquer en France. Ou sinon pas loin dans une production bas carbone. Et oui, il coûtera plus cher que si produit en Chine, c’est certain.
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Rien que la description du jeu me donne envie de jeter ma bouteille plastique par la fenêtre.
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Il y aura d’autres jeux plus simples et rapides. Et je n’ai jamais cherché à toucher le plus large public possible ; c’est dit et acté même avec le Shift depuis le début.
Quant au visuel, désolé mais certains et certaines adorent, donc il en faut pour tous les goûts.
Comment faire simple.
Classiquement, à chaque tour d’un joueur, on va tirer une carte événement qui va mettre un peu plus le souk sur le plateau de jeu.
- Les événements sont de 4 types différents.
- Ceux qui viennent aggraver la situation des pôles, des glaciers, des courants marins et des forêts primaires.
- Ceux qui annoncent une baisse de production pétrolière dans l’une des 9 régions.
- Ceux qui sont d’origine humaine et sur lesquels les joueurs peuvent agir en jouant leurs cartes d’influence.
- Et les conséquences climatiques, qui remplacent régulièrement l’événement classique en fonction du taux démissions des GES des 9 régions et dans la gravité est indexées aux dégradation des premières cartes citées.
-
Le joueur actif a deux actions, comme se déplacer, jouer une carte ou initier une action dans une région précise, action qui demande l’intervention de tous les joueurs (je schématise).
-
Ensuite on joue la région active, qui a diverses phases, puis on passe au joueur et à la région suivante.
Il y a 9 régions, et il faut gagner avant le 36e tour, soit 4 activation de chaque région (si tout se passe bien, en mode normal, on peut gagner bien avant ; cela indique aussi qu’il est temps de passer en Expert).
Chacune des 9 région a un niveau de vie, de 1 à 4, qui implique la consommation de pétrole et d’électricité, les 2 indiquant les GES de la région, une fois croisés avec la population.
Les joueurs doivent gérer les problèmes et trouver le temps d’implanter les solutions de décarbonation…
Voici le plateau de jeu au départ.
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idem pour moi. Surtout nécessitant 3-5 joueurs. Mais, contrairement à beaucoup ici, j’aime beaucoup ce thème et je trouve ça bien de faire des eux engagés.
Bon courage en tout cas !
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Relativement simple sur le papier en tout cas 
Je trouve ça dingue par contre les réactions climato sceptique à outrance… Les mecs c’est pas une invention le réchauffement climatique et ses conséquences sur le climat… Alors répondre à quelqu’un, parce que écolo, que son jeu c’est de la merde thématiquement et tu préfères jeter une bouteille en plastique par la fenêtre ça me dépasse !
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J’avoue que là, on a un début de florilège…
C’est plus un thème que vous pouvez choisir ou non les gars, c’est une réalité (depuis longtemps, mais ça c’est une autre histoire…)
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J’avoue, le thème, j’apprécie (j’ai déjà essayé CO2, et backé GigaWatt, même si c’est pas la même chose). La DA, pourquoi pas (j’aime TM et je ne trouve pas horrible celle de BtS). Mais 4 à 6 h, de 3 à 5 joueurs, là, je pense que ça ne sera pas pour moi. Parce que je pense que c’est un coup à ce que ça soit 6 à 8 h, [à ma table, édit].
Je vais quand même suivre le projet et voir le prix.
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Je ne pense pas que les réactions soient climatosceptiques. C’est juste que le sujet dérange et que l’on aimerais plutôt parler d’autre chose. Mais BplC met les pieds dans le plat.
Mais ce n’est pas un jeu donneur de leçons. Il ne dit pas, à titre individuel « faites ci ou ne faites pas ça ». Il ne s’occupe pas des causes (juste lier les émissions au niveau de vie et à la manière de produire de l’électricité), mais bien des effets, en mettant en jeu des pénuries, qui deviennent des disettes, qui deviennent des famines, des émeutes qui deviennent des conflits qui deviennent des guerres, et des épizooties qui deviennent des épidémies puis des pandémies, et les réfugiés qui fuient tout cela…
Avec les risques pour les régions de sombrer sous le joug de dictatures ou de partir hors contrôle.
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