Le renard à 7 queue, éventuellement une 8ème derrière sa tête. Il en manque 1 ou 2 pour arriver aux 9 du folklore japonais
J’avoue qu’à la première vue ça m’avait aussi perturbé.
On trouve des réponses différentes en ligne à ce sujet…
Personnellement, je préfère des boss, je vais en reparler à l’équipe 
Lancement dans un mois. L’équipe indique que « le jeu est déjà entièrement traduit en français; il a d’ailleurs été testé en français à Paris est Ludique, au festival du jeu de Vichy et au Brussels Game Festival! »
Des cwowdiens ou cwowdiennes ont testé ?
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Je vous le confirme, sortie le 20 janvier! 
C’est la dernière ligne droite avant le grand saut!
En fait pour être exact… le jeu a été traduit en anglais, car il était en français à la base 
Si vous avez la moindre question, n’hésitez pas!
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Y a-t-il un côté narratif ?
Il me semblait bien.
Boktor n’est pas un jeu narratif à proprement parler. Il existe bien un univers et une histoire en toile de fond, mais la partie elle-même ne repose pas sur des éléments narratifs ou une campagne scénarisée.
Nous aimons beaucoup les jeux narratifs et les campagnes, mais avec Boktor, nous avons volontairement pris une autre direction : il n’y a pas une histoire à « terminer ». L’idée est plutôt d’enchaîner les parties, soirée après soirée, avec le même groupe ou des joueurs différents.
Un peu comme certains jouent à Catan depuis 20 ans, notre ambition est d’apporter ce niveau de rejouabilité à un dungeon crawler : un jeu facile à expliquer, qu’on ressort régulièrement, et qui offre à chaque fois des combats tactiques et épiques différents.
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J’ai un peu la même impression : dans l’approche globale, ça me fait clairement penser à Valheim – Le Jeu de Société.
Même philosophie de dungeon crawler / aventure coopérative recentrée sur l’essentiel : montée en puissance rapide des personnages, décisions tactiques immédiates, zéro lourdeur inutile et un format contenu qui privilégie le rythme plutôt que l’exhaustivité.
Le côté « règles apprises en quelques minutes, session sous l’heure, mais avec de la rejouabilité via les tuiles et les boss » est très Valheim dans l’esprit. On sent une volonté de proposer une expérience intense et accessible, sans tomber dans l’usine à gaz ni la boîte XXL.
Si l’équilibrage et la variété suivent, ça pourrait être une très bonne alternative pour les groupes qui aiment l’action coopérative nerveuse, mais qui n’ont plus forcément envie de s’engager sur des campagnes interminables.
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C’est exactement ça!
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je vais suivre de pret , un DC simple et pas trop long !
Ouch par contre j’ai vu l’image des fig et des tuiles , c’est pas fifou !
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