Hello, je vais suivre ça de près aussi, j’avais testé Through the ages qu’on avait trouvé d’une lonnnnggguueeur, on a l’impression que les parties se terminent jamais. Bref, très intéressé par la réédition
mais on ne joue qu’à 2 donc j’espère que c’est quand même jouable et intéressant (ça a l’air vu les commentaires précédents).
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Il y a un truc de typo dans les règles qui me semble incohérent
Pour les progrès de batiment :
Le prérequis pour la bâtiment est avant (c’est normal)
Citation
Pour pouvoir Construire une Académie, vous devez posséder le Progrès Écriture.
Ecriture est avant Académie et c’est bien le progrès qui a un fond
Pour Les progrès de Gouvernement, le prérequis est après là ça me semble bizarre
Citation
Vous devez déjà posséder Philosophie pour acquérir Vote.
Là c’est le prérequis qui a un fond et pas le progrès
Mériterait un update du premier post avec le lien vers les règles, non ?
On a @froh en train d’agonir dans un coin du Forum avec une flèche en travers et tout ce que trouvent à faire les Cwowdiens c’est de discuter de typo.
Bon j’espère quand même qu’il va pas tout saloper en en mettant partout, l’hémoglobine ça tache…
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Oh, il ne serait pas plutôt en train d’agoniser?.. Ici, c’est davantage les Cwowdiens qui agonissent les éditeurs de reproches 
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Progrès, Civilisations, Chefs
Il est temps pour vous de voir le coté qui rend Clash of Cultures « expert ».
Jusque là c’était plutôt simple, vous récoltiez des ressources, vous construisiez des villes, vous exploriez avec vos colons, vous recrutiez des armées, vous agrandissiez vos cités, et vous vous accapariez le contrôle de merveilles.
Pfiou.
Bienvenue. Dans. La Grosse partie stratégique.
Vous voici devant votre plateau de progrès.
Dans ce plateau, vous allez développer le coté « nouvelles avancées » de votre civilisation à l’aide de petits cubes colorés mignons.
Mais ces cubes sont en réalité des armes de destructions massives, qui vous permettront de prendre le pas sur vos adversaires dans des catégories d’actions intéressantes.
Vous ne pourrez PAS tout faire, et ce plateau est joyeusement divisé en plusieurs sections couvrant les grandes sections de progrès de l’époque. Vous y retrouverez donc des choses comme l’agriculture, l’économie, le développement naval (oui car y’a des bateaux :p), ou encore la guerre pour les moins fins d’entre nous.
Contrairement à la première édition, et à part pour le système politique (j’y reviens), il n’y a PLUS de prérequis. Et cet accès aux différents progrès va vous ouvrir de nouvelles unités à recruter et de nouveaux bâtiments à construire. Car en plus d’un gros rééquilibrage très complet, l’auteur a voulu donner plus de possibilités directement sans la petite perte de temps à développer des technos dont vous n’avez pas forcément besoin à certains moment de la partie. Ce qui ouvre BEAUCOUP PLUS de stratégies.
Vous pouvez acquérir ces progrès de 3 façons principales :
- Dépenser de la nourriture (car oui, les grands progrès ont été fait à un moment où les gens pouvaient manger et n’étaient pas en train d’essayer de survivre dans un coin).
- Dépenser des idées (oui, la ressource idées existe vraiment, mais pas la ressource pétrole, donc pas de pétrole mais des idées).
- Attendre tranquillou la fin de chaque âge, le BILAN durant lequel vous en recevrez un gratos parce que bon, va bien falloir que vous vous bougiez un peu.
Les petites couleurs sous certains progrès sont des « jetons » bonus que vous gagnez lorsque vous développer ce nouveau progrès. Le jaune représente l’humeur. Et l’humeur sert à rendre votre peuple heureux (et donc plus efficace, rappellez vous la présentation des cités). Le bleu représente la culture, et est notamment utilisée pour LES MERVEILLES (mais aussi d’autres trucs). Ce qui vous permettra de comprendre l’ordre dans lequel je vous raconte des choses sur le jeu.
L’action de progresser n’active pas de cité particulière, vous dépensez votre ressource, vous mettez votre petit cube, vous posséder maintenant un progrès dont il suffit de lire l’effet.
Une catégorie un peu particulière existe aussi sur ce plateau : votre système politique.
Contrairement aux autres progrès, vous possédez un pré-requis du progrès JUSTE AU DESSUS (d’où la petite flèche) avant de pouvoir démarrer un système politique.
On a donc un mot en fond marron, un prérequis de progrès, et un mot en fond gris un déverrouillage de bâtiment.
« Suivez donc le Seigneur et allez vaincre nos ennemis »
Le système politique est un point important, vous pourrez choisir entre une démocratie, une théocratie et une autocratie.
Bien entendu les avantages ne sont pas les mêmes et elles possèdent toutes des effets très puissants.
Si la démocratie vous renforce lorsque votre population est heureuse, elle vous permet aussi de rendre vos cités heureuses plus facilement.
L’autocratie par contre, va plutôt utiliser ses ressources à renforcer ses armées tout en rappellant gentiment à son peuple que les gens qui ne voudront pas bosser correctement, ne seront bientôt plus capables de le faire.
La théocratie est l’aspect religieux, et va tenter d’influencer culturellement ses adversaires mais aussi permettra de construire des fanatiques religieux autour de ses temples.
Ce système politique n’est pas immuable. Vous ne pouvez en avoir qu’un, mais vous pouvez le changer à la fin de chaque âge lors de la phase du bilan.
Civilisations, parce que bon, c’est bien trop générique tout ça. Cette partie a été rajoutée par l’extension, et rajoutera de la richesse de jeu et beaucoup beaucoup d’asymétrie.
Il y’a 15 civilisations. Oui. 15. C’est beaucoup. Et c’est très bien.
Lorsque vous commencez le jeu avec une civilisation, vous commencez dans sa région de départ, plus ou moins fertile. C’est intéressant parce que les ressources ne seront pas les même que celles de vos voisins, et ceux qui auront l’avantage de pouvoir récolter plus de métal, ne pourront peut être pas avoir accès à un petit bord d’eau, fort pratique pour développer une flotte (oui, car il y’a des bateaux, je vous l’ai déjà dit dans une autre petite parenthèse, suivez un peu).
En plus de ce petit plateau de progrès sympatoche vient aussi s’ajouter LE PLATEAU DE PROGRES DE CIVILISATION.
Ce petit plateau contient des progrès que vous seul pouvez découvrir. Car votre culture le permet.
Car les phéniciens peuvent par exemple développer des Birèmes.
Les celtes ont des druides (je ne garantis pas l’efficacité de celui-là).
Les babyloniens créent des ziggourats.
« Il nous faut plus de ziggourats… »
Ce plateau de progrès vient en complément de votre plateau de progrès, mais les progrès sur celui-ci sont un peu particulier puisqu’ils viennent se débloquer automatiquement lorsque vous acquiérez certains progrès du plateau principal.
Je finirais donc en vous parlant des chefs, les leaders qui ont mené ces civilisations durant leur âge d’or, et ont parfois vécu leur chute.
« Viens donc tâter de mon armée, mécréant »
Chaque civilisation vient avec 3 leaders (pour un total de 45 donc).
Quelques différences avec la première édition, vous ne démarrez pas avec un de ceux-ci mais vous devez les recrutez, et ce n’est plus une sorte de fantôme, il participe AUSSI aux combats.
Vous ne pouvez en avoir qu’un, comme dans Highlander, et donc si vous en acquiérez un nouveau, vous perdez le premier (et sa tête).
Quelquefois, ce sont des combats qui vont vous forcer à abandonner votre chef, parce qu’il sera un peu trop mort pour continuer à faire son travail correctement.
Ces leaders viennent vous apporter des effets, en général là où ils se trouvent, afin de renforcer vos armées et/ou vos cités.
Inutile de préciser que la gestion de votre chef est un point assez sympatique qui vous permettra de faire quelques actions d’éclat à des moments clés.
Loin de vous imposer une stratégie, le choix des leaders, et le plateau de civilisation viendront appuyer un aspect existant de la civilisation que vous représentez. Si les vikings sont des navigateurs nés, vous n’êtes cependant pas obligés de vous orienter militaire. Libre à vous d’utiliser ces mêmes avantages pour explorer. Et c’est ça qui est bien avec Clash of Culture lorsqu’il est couplé avec son extension, le gros point fort c’est la variété des stratégies autour d’actions pourtant assez simples. Une liberté de développer comme vous le préférerez votre civilisation jusqu’au firmament.
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Du coup pas de typo ici c’est normal. Le progrès de gouvernement est un peu spéciale. Et il y’a une différence de couleur de fond pour le mettre en évidence (on débloque un bâtiment, mais on à un prérequis de progrès).
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par contre, je suis pas certain d’avoir suivi. Y’a des bateaux dans le jeu ? 
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C’est possible. P’têt ben qu’oui. P’têt ben qu’non. J’y reviendrais p’têt quand j’parlerais des éléphants de guerre. Oui, car il y’a des éléphants. Des éléphants de guerre.
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J’adore le ton que ça prend ! 
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Surtout si on les jette dans la gueule de l’adversaire
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J’ai mis à jour l’article avec plus de ziggourats.
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Ah oui, j’ai hâte de sortir les éléphants de guerre de mes drakkars.
S’ils tiennent sur une arche monté par un vieux, ils tiennent sur un drakkar.
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Il nous faut plus de ziggourats.
Cette phrase a résonné en moi, de manière sonore, quelques minutes avant que je ne la resitue.
L’asymétrie ne vient qu’avec l’extension ?
Mais dans ce cas aucune chance que je joue sans l’extension 
Ah ben j’vous ai dis qu’il fallait jouer avec l’extension depuis le début. Faut comprendre que ça a transformé un jeu ‹ okay › en un jeu culte.
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Pas mieux. J’ai lu la phrase et je l’ai aussitôt entendue dans ma tête avec une certaine intonation avant de comprendre…
Minute nostalgie. 
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15 seulement ? Et l’empire Toltèque ?
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Du coup, c’est plus vraiment un arbre.
Sur le papier, je trouve ça un peu dommage, mais comme j’ai jamais joué au jeu, mon avis vaut pas grand chose 