Le démarrage ne correspond bien entendu pas à nos attentes. Il est évident que nous n’avons pas encore réussi à convaincre suffisamment de joueurs, mais nous ne désespérons pas d’y parvenir dans la suite de la campagne grâce à certains ajustements.
Quoi qu’il arrive, le projet ne sera pas abandonné.
Je vous remercie par ailleurs pour votre liste de commentaires constructifs, et je vais essayer d’y répondre point par point :
Le but des fichiers STL réside dans la livraison rapide du jeu et le faible coût (comparé à une boîte physique) que cela représente.
Le système de déplacement est vraiment pertinent. Tous ceux qui l’ont essayé (je vous invite à regarder les DDJ ou la vidéo chez Hiigy) en ont pensé du bien. Je n’ai pas envie de dire « l’essayer, c’est l’adopter », mais c’est presque ça ! 
Concernant la présence des points, nous travaillons à les rendre de plus en plus discrets, notamment sur les tapis en néoprène qui seront proposés.
Pour les figurines, comme mentionné précédemment, j’espère que les suivantes vous convaincront davantage.
Pour les anciennes figurines, nous demandons juste un peu de patience. Nous allons en réintroduire certaines au fur et à mesure que le lore déplacera le jeu vers l’est des États-Unis.
Pour « l’éléphant dans la pièce », oui, nous comprenons évidemment les réticences de la communauté. Cependant, sans croire en l’éventualité d’une quelconque rédemption pour Mohand, nous aimerions que vous croyiez en notre bonne foi. Comme expliqué plus tôt, il est le créateur du jeu et est donc le plus légitime pour continuer à le faire vivre… d’une autre façon, en se concentrant strictement sur la sculpture et la direction artistique, car nous pensons (comme toujours, les goûts et les couleurs) qu’il a un réel talent dans ce domaine.
Notre plus grosse erreur est probablement de ne pas nous être assez montrés pour expliquer tout cela et incarner le renouveau de ce jeu. Nous allons rectifier le tir sur ce point.
Pour finir, il est évident que le nom de notre société fait rire (ou pas du tout) beaucoup de monde. Je réaffirme ici qu’il s’agit d’une malheureuse coïncidence. Je peux d’ailleurs vous confier un secret qui n’en est pas un : ma première société dans le domaine de l’audiovisuel s’appelait Happy Few Production… Je suis très « happy » comme gars, visiblement un peu trop !
Après, libre à vous de croire ou non, de critiquer ou de conseiller, d’être positif ou non. Je ne peux pas y faire grand-chose à part vous montrer des choses qui vous plaisent, mais je vous souhaite en tout cas une bonne fin de journée et un bon week-end.
