Ah, j’ai plus de coeur ! 
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Moi je reste persuadé qu’il va pas se représenter.
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c’est ce que j’aurais pensé aussi. Moi j’ai pas suivi le truc sur la réforme des retraites (j’en suis encore loin) mais bcp de retraités de mon entourage ont développé un rejet viscéral de Macron à cause de ce sujet. De là à dire qu’ils y gagneraient à avoir Pecresse à la place…
Ce qui est interessant c’est que derrière l’élection présidentielle, il y a directement les deux grandes familles capitalistes françaises qui s’affrontent.
Macron c’est Bernard Arnaud, et Pécresse (+Zemmour qui sert juste de tremplin à Pécresse) c’est Bolloré.
Et on retrouve cette fracture sous d’autres formes dans la bourgeoisie mondiale également en Angleterre autour du Brexit (la City versus le capitalisme industriel) ou aux US (Trump versus l’appareil démocrate). Les « outsiders » (la finance) qui s’attaquent aux « vieux » (l’ancien capitalisme industriel). Les loups se dévorent entre eux.
Je comprend pas c’est un jeu réservé uniquement aux femmes ? ou il y a une subtilité que je connait pas?
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Alors, je vais te dire, j’ai lu la même chose et j’ai pensé la même chose.
Et juste après je me suis dit « Ah mais c’est ça que les femmes ressentent en fait ?! ».
Donc finalement, pourquoi pas 
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C’est de plus en plus courant maintenant que les règles des jeux de roles soient écrites en utilisant des termes féminins en lieu et places des termes masculins habituels, tu n’avais jamais vu ça ? Ou alors c’est peut-être principalement dans les jeux de roles indé je sais pas vu que je lis pratiquement que ça
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C’est une convention d’écriture que j’ai vu apparaître pour la première fois dans les livres sur la pratique du jeu de rôle de Jérôme « Brand » Larré et Coralie David et qui s’inscrit dans une certaine mouvance du combat féministe. L’idée étant que le terme « joueur » invisibilise les femmes s’il est employé à longueur d’ouvrage, certains auteurs, principalement sur la scène indé, ont décidé de féminiser leur écriture en employant le terme « joueuse » à la place, voir parfois « meneuse » (même si ici, l’auteur emploie « meneur » et « joueuse » ; là encore, un principe décliné dans la trilogie du Guide du JdR chez Lapin Marteau).
On notera par ailleurs que l’auteur d’Insurrection (cf l’interview linkée plus haut) se définit lui-même comme militant LGBT+ (qu’a-t’il fait du QIA ?) et se désigne en tant qu’autrice.
Voilà pour l’explication. Chacun jugera selon ses critères la pertinence de cette forme de militantisme.
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Bof je connait le joueur(euse) qui fait bien le boulot
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Ah mince, je met de suite ce sujet en ignoré pas envie de me prendre la tète avec ce genre de trucs, c’est encore un coup a ce retrouver dans le sujet poubelle de @Jean-Michel.
Bonne chance pour le projet
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c’est marrant, ça fait plusieurs fois que je vois des gens sur ce forum se braquer pour ce genre de choses, je dois être un peu naïf mais ça me surprend à chaque fois, l’humanité est étrange parfois 
…
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J’ai souvenir de débats (très) houleux sur le forum Casus NO quand cette façon d’écrire est apparue sur la scène indé. Elle est le reflet dans la sphère rôlistique d’un certain courant de pensée de notre époque. Mais le phénomène n’impacte pas l’édition « pro » ; D&D, L5R ou encore l’Appel de Cthulhu ne sont pas encore écrits en inclusif.
Il se met dans le « + » de LGBT+ que tu cites avant, c’est un choix pratique.
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Je suis désolé, mais aujourd’hui, il faut dire LGBTQIA+ pour faire partie des « vrai(e)s ». Voir 2ELGBTQQIA+ au Canada francophone (mais l’auteur habite à Bruxelles).
Tu fais ce que tu veux.
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Si seulement c’était vrai… 
Mais là n’est pas le sujet.
C’est pas dans la boite de base de l’appel de Cthulhu qu’il y a un scénario écrit intégralement en inclusif ? il me semble
Possible. Je t’avoue que je ne suis pas trop la gamme. Il suffit qu’un auteur français de la sphère indé et dont c’est la pratique ait été sollicité pour écrire un scénario, et cela se peut. Je doute un peu du fait qu’il s’agit quand même de grosses éditions calibrées mondialement, mais peut-être. Je ne peux pas te dire.
En tout cas, sur les « best sellers » du milieu, je n’ai pas souvenir d’avoir vu de l’écriture féminisée dans les ouvrages.
