[JDR] Discussion: Et chez vous, on masterise quoi en ce moment?

Terreurs de l’au-delà

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Euh… C’est autorisé, ça ? :thinking: :nerd_face:

Perso, ma limite c’est quand c’est encore édité et/ou trouvable. Là je m’abstiens. Dans le cas contraire j’ai l’impression de faire vivre le truc et que tout ça serait perdu autrement.

Osef en vrai je suis pas admin :laughing:

<= Je m’autocite car je me rends compte que c’est une réaction typique du mec Neutral Good :rofl: (cf l’autre discussion)

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Il y a des jeux comme trophy dark ou spire, Channel fear…où tu sais que les PJ vont mal finir et d’entrée de jeu tu peux dire aux joueurs d’imaginer qu’au moment où leur perso eévolue, c’est comme si on retrouvait un texte de leurs (hauts) faits et qu’en fait on joue pour voir comment ça fini (mal ou pas).

C’est bien Channel Fear ? Car je l’ai dans mon panier lulu (parmi une brouette d’autres) et je sais pas si je vais le laisser avant de valider

Règles simples et surtout la proposition de jeu est chouette, le plus dur j’ai trouvé c’est d’essayer de décrire ce que tu ‹ vois › à la 3e personne puisque tes parties sont en fait des extraits vidéos ou sonores de ce qui a été retrouvé de ton enquêteur disparu. Mais nous on y a joué à la première personne et ça s’est très bien passé. En plus j’aime beaucoup ce que fais Yno, donc pour moi, c’est un super jeu. Idéal pour des one-shots et surtout pour des mini campagnes, tu ne peux pas trop jouer sur des temps trop long car sinon je trouve que tu risques de perdre de l’intensité dramatique.

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Pour ma part, campagne de Rolemaster en préparation, dans le monde dédié de Shadow World.

Purée, en panne de cœurs à donner, j’ai mis en standby ma lecture du topic meme et viens faire un tour ici.
Et les coeurs me manquent à nouveau cruellement…

donc :heart: ici, et sur plusieurs posts qui ont suivi.

hehe. Un mécanisme qui colle tellement bien à l’univers et extrêmement riche en potentiel narratif dans une campagne.

j’ai ‹ fait › une partie de Cthulhu, une fois, au lycée. Je suis mort en 5 min. J’ai pas compris. Le scenar commençait par une enquête de meurtre bizarre dans un chateau. Je n’entre pas avec le groupes et trouve rapidement un passage secret dans les jardins. Et on me tire dessus.
Bon, le pote MJ était fan de Lovecraft, mais sans expérience de jdr.
Moi, c’est sur que ça m’a marqué…

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L’intérêt et l’opportunité à la mort d’un PJ dépend surtout du jeu et de l’ambiance.

En terme de jeu :
Perso je n’ai jamais tué un PJ à Star Wars en campagne. j’ai des joueurs qui ont sacrifié leur perso pour la bonne cause mais ils savaient ce qu’ils risquaient. Quand je sentais qu’un joueur commençait à avoir fait le tour de son perso et je lui laissais l’opportunité de partir en beauté (soit par un sacrifice, soit par l’atteinte d’un but longtemps recherché, etc.).

A Bloodlust (c’est un cas particulier quand même) par contre, ce sont les dés qui décident et le MJ doit être sans pitié sur la difficulté. Il est arrivé à un joueur de perdre plusieurs porteurs dans la même séance !

En terme d’ambiance :
C’est sûr qu’un scénar One-shot horreur/Slasher, même à Star Wars, tu vas zigouiller du PJ, ce sera même le but du MJ dans la première moitié du scénar !

Moi j’ai tendance à être trop gentil. Je trouve que ca permet quand même une plus grande latitude aux joueurs et don une plus grande prise de risque et plus d’inventivité.

Quoi qu’il arrive, je pense que la mort d’un PJ doit toujours avoir un but : ça peut être la sanction, mais c’est vraiment le dernier recours, alors qu’une bonne vieille amputation est largement plus pénalisante pour le joueur et pour le groupe :stuck_out_tongue:.

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pour moi, faut surtout éviter qu’elle arrive en prenant le joueur par surprise. Même si ça peut impliquer une perte de réalisme, il faut qu’il ait perçu que ses choix pouvaient mener à cette conclusion. Et quand elle est jouée / mise en scène avec le joueur, ça peut effectivement être top.

J’en profite pour glisser une citation d’un de mes jdr fétiches (j’étais mj, gniark, gniark, gniark) :
« Le citoyen xxx est prié de se présenter au centre d’extermination le plus proche pour une exécution sommaire. Merci de votre coopération. »
En plus, dans Paranoia, on (ne) meurt (que) 6 fois. Que du bonheur.

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Pour moi l’idéal c’est de voir la pratique du JdR comme du théâtre d’improvisation.

Chaque joueur (et le MJ en est un) gère et décide ce qui se passe pour son cadre (donc pour les PJ, leur personnage, pour le MJ le monde, dans un système « classique ». Mais ça peut aussi être partagé, il y a des JdR sans MJ, etc.)

A partir de là, seul un joueur peut décider si son personnage meurt.
Parce que tuer le personnage de quelqu’un sans son accord, je n’y vois aucun intérêt (et plein de désavantages).
Si la raison invoquée est du style « c’est pour que ça joue sérieux », alors je dirais que vous ne jouez pas avec les bonnes personnes (comme au théâtre).
Si des personnes ne sont pas impliquées, alors pour moi c’est qu’elles ne sont pas là pour jouer. Et donc qu’elles n’ont rien à faire là.

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Oui ou pour nuancer, seul un joueur devrait décider si il risque la vie de son personnage mais je pense qu’on est raccord.
Et parfois, c’est une décision qui est prise dès le début de l’aventure, parfois c’est lié à une situation.

De toute façon, et je pense qu’encore une fois on se rejoint, je pense qu’un JDR, c’est une forme de contrat entre l’ensemble des joueurs (et donc tu as raison, MJ compris), on est là pour faire plaisir et se faire plaisir, pour se faire confiance, et on se met d’accord sur les enjeux et le degré d’investissement de chacun. Même si c’est souvent tacite !

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Sur le sujet, Rôliste TV avait fait du bon boulot (ça peut s’écouter plutôt que d’être regardé)

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Channel Fear, je l’ai utilisé en initiation pour la facilité d’accès de ses règles et son univers qui parle à tout le monde : une « télé-réalité » avec des enquêteurs du paranormal.
Bon point : l’auteur fournit une playlist musicale vraiment raccord avec son univers.

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Bon ma campagne D&D Dragonlance continue sa route tranquille avec mon groupe habituel, rien de neuf de ce côté là.
Mais je poste ici surtout pour vous dire que je viens de faire découvrir le jeu de rôle à un collègue (46 ans), il est fan des ldvelh et on est ensemble pour les gardes de nuit à l’hôpital. Du coup, on a profité de temps mort dans notre garde pour que je lui fasse découvrir Ironsworn en mode 1 MJ / 1 PJ (jeu parfait pour de courtes sessions).
Il kiffe à donf’ et semble chaud pour essayer d’autres jeux de rôles. Hum… mon esprit tordu commence à entrevoir la possibilité de monter une table de jeu au boulot :smiling_imp:

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et on s’étonne que de pauvres vieux décèdent faute de soin dans les salles d’attente des urgences…
:kiwi_fruit: :upside_down_face: (moi aussi je bosse de nuit et moi aussi il m’arrive de m’occuper)

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Première session de jeu de rôle " Tales from the Loop" au travail, sur la pause de midi. Ça s’est bien passé, ils ont aimé. On remet ça la semaine prochaine.

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Nous après une pause aoutienne nous allons partir sur de l’anneau Unique

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