Salut Vvedge et salut à tous les joueurs qui nous suivent sur ce forum. Merci de vos encouragements et de vos retours si constructifs.
Pour répondre à ta question Vvedge, nous écrirons « Proven » pour la version anglaise des Éprouvés.
Voici donc le background du peuple des Éprouvés, un des peuples de sang elfique peuplant les Terres Supérieures de MALHYA.
Jadis, l’existence d’un Éprouvé se limitait à une vie de sacrifices, d’humiliations, d’asservissement et de travail. Mais le temps passa et la Révolte des esclaves mit fin à cette insupportable et misérable condition. Leurs anciens maîtres, les Souverains, furent renversés et battus dans un ultime assaut sur les terres d’Érenar .
Les Éprouvés retrouvèrent leur liberté, celle à laquelle ils aspiraient avant d’avoir été soumis, et s’installèrent sur les rives de la Mer des Brumes où ils prospérèrent en tant que veilleurs des Portes de Tembéras .
Au-delà des écrits, il ne reste aujourd’hui de leur histoire passée, que les traces magistrales de la cité-capitale d’Uzelda qu’ils bâtirent, sous le joug des Souverains, grâce au pouvoir d’altération de leurs mains sur la roche noire.
Depuis, chaque Éprouvé porte fixé à son cou, un anneau de métal honorant la mémoire de ses ancêtres et des épreuves endurées.
De cette histoire naquit en eux une force de caractère incomparable et un détachement évident sur les choses qui les entourent. Laissant peu de place à l’émotion et n’aimant pas se raconter dans de longues et ennuyeuses conversations, ils sont souvent qualifiés de personnages froids et distants, capables parcourir les Terres Supérieures seuls ou en groupe aux côtés d’aventuriers ne connaissant finalement à l’issue de leur voyage, que peu de choses sur eux. Ce qui n’empêche pas les Éprouvés d’intégrer régulièrement les groupes d’aventuriers tant leur connaissance de l’environnement et leur maîtrise des armes d’allonge sont sans égal.
Sachez enfin, qu’un Éprouvé ne se soumet jamais et qu’il combattra jusqu’à la mort ceux qui tenteraient de les priver une nouvelle fois de ce bien si précieux, leur liberté.
Car, comme le précise cet aphorisme gravé sur toutes leurs armes de peuple :
« Plus un genou à terre ne sera le nôtre »