Onward - par Skytear Games - livraison en déc. 2025

Après vu les fautes dans Skytear Horde, faut soit bosser avec @Transludis pour du boulot de qualité, soit rester en VO :ninja:t5:

Ras-le-bol des fautes de ouf ou des règles écorchées dans nos jeux de société :scream:

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J’ai lu le livret de règles, ça me paraît assez simple, sans prise de tête. Je devrais faire quelques partie sur TTS ce week-end, ca me permettra de savoir si j’y vais ou pas et surtout si j’ai un partenaire de jeu pour celui là :laughing:

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Preneur d’un retour si jamais tu as le temps.

J’ai trouvé leur news d’hier pas mal du tout notamment avec la comparaison avec GoA II, même si partial évidemment. Je viens de terminé la lecture des règles de ce dernier et c’est sûr qu’en terme d’accessibilité on est dans 2 catégories différetentes.

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La dernière update me laisse à penser que je préfère la mécanique de deckbuilding de Skytear, plutôt que juste récupérer les cartes des héros joués ici.:thinking:

La seule chose qui le ferait backer et franchement ça fait cher, ce serait de récupérer les fig des extensions qui me manquent. Ce qui supposerait de trouver leurs cartes par la suite et de raquer pour un all-in fig onéreux.:sob:

Pour avoir bien suivi GoA 2 à l’époque (que j’avais revendu par manque de joueurs) c’est clair qu’on est sur deux jeux très différents : j’ai trouvé GoA bien plus expert (pas de hasard) et tactique pour une expérience qui rappelle une partie compétitive de MOBA. Le genre de jeu que tu n’as envie de sortir qu’avec tes habitués mais qui peut aussi suffire à vous occuper pendant des années.

Onward semble plus adapté à sortir avec des amateurs de JDS mais non-compétitifs. Mais mes casus ont besoin d’une VF pour que ça puisse sortir à table facilement :person_shrugging: (et j’aimerais bien avoir les compétences de certains du forum de PnP russe pour modifier et remettre en page pour l’impression des cartes de jeu !)

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Personnellement (en ayant Skytear all-in, GoA II, et connaissant un petit peu Onward) :
LA grosse différence c’est que si je veux jouer à deux, c’est Skytear ou Onward, au dessus c’est GoA.
Skytear se joue jusqu’à 4 sur le papier, mais personnellement (comme pour onward je pense), ça reste un jeu de duel.
Il y a plein d’autre différences mais pour moi c’est la principale et du coup ça met bien chacun des jeux dans une catégorie bien à part.

Pour ce qui est de Skytear vs Onward, pour moi pour le moment, je trouve Skytear un peu plus dans mes goûts pour un jeu à deux car un peu plus « expert ». Onward se veut un peu plus « streamline » un peu plus simple dans son approche tout en se rapprochant un peu de ce que fait GoA avec moins de chaos (hasard) que Skytear et des règles beaucoup plus simple d’approche.

Ceci étant dit, je compare le All-in de Skytear avec les règles 1.5 à un Onward qui va sortir, et sachant qu’ils ont déjà dit vouloir faire une extension à Onward (si la campagne est un succès) je pense qu’on va voir arriver de nouvelles mécaniques avec l’extension qui peut être le rapprocheront plus de Skytear.

Pour le moment, ils le disent eux même ils ont voulu un jeu plus accessible que le premier, ce qu’il est, mais qui du coup pour moi fait qu’il est un peu en dessous, mais en même temps plus fun et moins prise de tête.

C’est pour cela que je back Onward, et que je n’ai pas l’intention de me séparer de Skytear car suivant l’humeur et les joueurs avec qui je joue, je pense (pour le moment) qu’ils ont chacun leur place.

Je mets beaucoup de « pour le moment » :sweat_smile: car tant que je n’ai joué à une version physique d’un jeu, j’ai du mal à me projeter :blush:.

Mais il est clair que niveau expertise l’ordre est très clair : Onward < Skytear < GoAII tout en gardant en tête que GoAII est injouable en Duel alors que les autres c est l’inverse, ne peuvent être joués que en Duel (en tout cas pour moi)

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Pas sympa pour notre ami @Oufledingue :grinning_face_with_smiling_eyes:

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My bad : l’idée n’est pas de manquer de respect à quelqu’un (surtout si c’est lui qui a fait la trad, il est toujours ultra sympa sur le forum), mais dans la famille j’ai des profs et des dev, et si il y a trop de différences entre vo et vf, ou différences vs les règles officielles, la famille ou les amis ne veulent plus jouer.

Donc obligé d’en parler, vu qu’à la fin la facture est salée si le ou les jeux ne sont plus joués.
Surtout avec l’effet d’accumulation.
Dédicace spéciale Matagot qui a généré un PTSD à des joueurs et joueuses du groupe…

Interrogation : les éditeurs locaux laissent-ils assez de budget et de temps à nos chers traducteurs/traductrices tout en programmant une relecture ? 🕵🏾‍♂️

Si ça n’est pas le cas, ça pourrait expliquer des trucs.

En tout cas force & courage à celles & ceux qui se motivent pour qu’on ait des jeux de société traduits :grinning_face_with_smiling_eyes:

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je pense que c’était sur « fautes de ouf »…

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Surtout que quand il faut des trad, il faut pas de faute !

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Ah c’était une blague ! J’avais pas compris par écrit :joy::joy::rofl:

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Ça dépend vraiment de l’éditeur.

Du pire au meilleur :

  • le type extrait le texte, le passe un coup sur Deepl (avec un abonnement pro) puis copie-colle tel quel, sans aucune relecture parce que pas le temps/pas envie/manque de connaissance linguistique dans la langue de destination et pas de locuteur la maîtrisant sous la main. Rarement vu dans le milieu du jeu de société (je ne doute pas que ç’a dû se faire à l’occasion par contre) mais déjà constaté dans d’autres domaines par exemple du matériel médical et des appareils de cuisine.
    S’il est malin, il ne dévoilera pas la nature de la méthode employée mais balancer la traduction telle quelle à la communauté tout en demandant de l’aide à cette dernière : paf, boulot de traducteur et de relecteur gratuitement assurés par la communauté :wink: .
  • l’éditeur confie la traduction à un amateur, qui réalisera alors une trad contre une somme symbolique ou (plus souvent) un paiement en nature, à savoir des produits de la gamme, un pledge gratuit, etc… La qualité sera hautement aléatoire dans ce cas, tout repose sur le sérieux de l’amateur en question. Parfois, la localisation sera vraiment d’excellente qualité (pour prendre un exemple, j’ai même déjà vu des gammes traduites par des amateurs puis reprises par des pros, les premiers faisaient un bien meilleur taff que les seconds), à tel point que personne ne suspectera qu’un amateur s’en est chargée. D’autrefois, elle sera complètement claquée au sol mais ce sera découvert au moment de la réception des pledge.
    Cette solution est assez répandue dans le milieu du jeu de plateau, notamment quand ton jeu de plateau auto-éditée n’intéresse pas d’éditeur.
  • Il demande à un traducteur pro de s’en occuper donc avec établissement d’un devis, blueboard s’ils sont plusieurs à oeuvrer sur la trad, etc… Le résultat final va dépendre de la compétence du traducteur (et de son expérience dans le domaine ciblé) mais aussi (et pour une large part) du délai qui lui sera accordé pour faire son rendu. C’est en pratique souvent là que les choses se gâtent.
    Genre, si tu as une semaine pour traduire et mettre en page un jeu de 52 cartes (dont plusieurs identiques), c’est jouable (pour peu que le maquettage ne soit pas en sus). Un source book bien dense de 450 pages à localiser en un mois, là ça va pas le faire du tout par contre.

Sans surprise, plus on te confie les fichiers définitifs tôt, plus tu auras de temps pour te pencher dessus et pour réaliser de multiples relectures et retours du client par la suite.

Pour avoir travaillé avec différentes sociétés, parfois on va te confier les fichiers avec un délai de réalisation extrêmement serré (le plus souvent pour éviter les fuites) alors tu enquilles tout au kilomètre : même en étant très concentré, il y aura des coquilles. S’il n’y a pas de possibilité d’effectuer plusieurs relectures, elles ne seront pas toutes détectées.
Ils arrivent aussi que l’éditeur opère des modifications dans le fichier final, fait qu’il en mentionne publiquement mais…cet empaffé ne te donne que les anciens fichiers, rendant ton travail obsolète…et il se réveille quelques temps avant la fin du délai pour te les communiquer (bien sûr, en ne précisant pas ce qui a été erraté).
Games Workshop, pour citer une entreprise connue, était coutumière du fait à une certaine époque.

  • Certains importateur ont leur propre équipe de traduction in house mais ce n’est pas toujours une garantie de qualité finale.

En résumé, quand la traduction est bonne, fonctionnelle ou mauvaise, ça dépend :

  • de la compétence du traducteur.
  • de la qualité de communication entre le traducteur et l’équipe de conception (quand tu localises, tu as souvent besoin de poser certaines questions…si le client ne répond pas, c’est compliqué).
  • du délai qu’on t’accorde pour la réaliser (temps de relecture ? combien de relectures possibles ? Complexité du travail demandé en lui-même ?).
  • de l’état des fichiers : c’est bien d’avoir le rendu final par exemple et le texte totalement finalisé (ça évite par exemple les changements de lexique et les problèmes de wording).
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