Sacré BA ! Dire que j’avais pas fini le 2 ; je sais même plus pourquoi …
Pourvu que cette nouvelle saison soit aussi bonne que la 1ère !
Ça donne envie en tout cas
Je me demande comment ils vont structurer la série par rapport au jeu. Pour le début, ce sera sûrement assez proche, mais pour Seattle… En tout cas il y a vraiment moyen de faire une bonne saison.
Pas sûre qu’il suivent l’histoire du jeu. D’ailleurs, si scénaristiquement ça passe pas, ils s’en écarteront afin de mieux coller à une production audiovisuelle.
Moi perso ça ne me dérange pas car je n’ai jamais joué aux jeux vidéo.
Et je trouve que c’est pas plus mal, car ça évite de comparer l’œuvre réalisée, et de se focaliser uniquement sur l’aspect technique/acting/mise en scène de la série.
Chouette ! Ah mais non, c’est sur Max … vais pas prendre un abo de plus juste pour ça … fuck l’atomisation des plateformes
Dommage … j’avais beaucoup aimé la S1 …
L’un ou l’autre ne me dérange pas. J’ai du mal avec les critiques reprochant à la série d’être trop proche du jeu (comme si tous les spectateurs étaient aussi des joueurs du jeu), mais aussi avec celles qui reprochent des libertés (2 médis différents, des règles d’écriture différentes). Et puis là comme c’est le réalisateur du jeu est le showrunner de la série, hé bien, il peut bien faire comme il veut.
Y’a peut-être des jours gratuits ?
probablement … je verrai quand tous les épisodes seront sortis …
Si ça n’a pas changé, à l’inscription, y a 7 jours offerts.
Y avait une « promo » à un moment pour avoir 1 mois me semble mais sans garantie
Il y a des fois des pépites que l’on trouve dans un pure hasard entre la douche de la petite et le repas du soir après une journée harassante.
C’est comme cela que je me promenais sur Netflix et que je suis tombé sur une série qui m’a accroché pour la soirée et que j’ai dû couper à regret pour aller moi-même me coucher.
Nous voulons tous être sauvés est une petite série italienne. On y suis Daniele un jeune fêtard qui rentre se coucher mais se réveille dans un hôpital psy sans se souvenir de pourquoi il s’y trouve.
On est rapidement aussi déboussolé que lui, on se questionne et on est rapidement aussi frustré que lui de ne pas comprendre ce qu’il fait là. On ressent son dégoût vis à vis de certains autres patients, on ressent sa colère vis à vis des médecins, et pour finir son désarroi face à ce qu’il a fait.
Le personnage central est extrêmement touchant, mais les personnages secondaires le sont tout autant si ce n’est plus… On y traité de bipolarité, de suicide, de retour à l’enfance, de dépression etc etc.
Je ne sais pas si ces thèmes peuvent vous parler, les maladies mentales ou bien les hôpitaux psy. Je ne connais de base ni l’un ni l’autre personnellement et pourtant on s’attache très très vite à ce petit monde, et on souris bêtement, on s’émeut devant leurs histoires et on espère que nos petits patients vont réussir à surmonter tout cela.
Une série vraiment humaine et qui fait parti de ces petites petites que l’on peut trouver de façon hasardeuse.
Je la conseille vivement.
Eric.
Avec Cumberbatch, ce qui aurait pu augurer d’une bonne série. En fait, il n’en est rien (c’est juste mon avis qui n’est pas forcément partagé ).
New York dans les années 80 (comme ça, ça permet de parler du sort des noirs et des homosexuels, voire des homosexuels noirs, wokisme quand tu nous tiens), un père de famille complètement infect part à la recherche de son fils qui a disparu sur le chemin de l’école. Il perd de plus en plus la boule et s’accroche à une marionnette qu’a dessinée son fils qui ressemble beaucoup à Sulli de Monstres & Cie… (!).
Bon, l’enquète piétine vachement, il y a des résolutions qui sortent du chapeau, des facilités, des sous-intrigues totalement inutiles, il y a 6 épisodes, mais ça aurait pu faire un film normal et non une série en cuttant dans les grandes largeurs.
Le truc c’est qu’on s’intéresse assez peu au sort du gamin (0 charisme) et même quand on le revoit, il n’est pas si en danger que ça. Le père est totalement infect et aurait mérité finalement autre chose qu’un happy end (parfois il faudrait juste avoir les bolox pour rester logique dans le traitement des personnages).
J’ajouterai que Eric n’apporte rien, pas comme la licorne dans Happy!.
Je parle de wokisme, mais la constatation est simple :
- le père, des flics et politiques blancs cisgenres sont ripoux
- le noir homosexuel (d’ailleurs, cette spécification n’apporte strictement rien à l’intrigue) est gentil
- les SDF sont gentils
Les cases sont cochées.
Les acteurs font ce qu’ils peuvent pour sauver le truc, c’est bien filmé, mais vraiment, qui valide les scénarios?
La question c’est pensent-ils séduire le public avec ça ? Je pose la question sérieusement ! Les chiffres sont bons ou pas ?
Eric vu aussi, c’était surtout plutôt osef, un truc qui sera vite oublié malgré le casting.
Le flic aurait été blanc et hétéro ça n’aurait pas amélioré la série, perso c’est pas des petits détails qui pourront paraître woke aux yeux de certains qui sont la cause de l’ennuie que j’ai subi.
Cette année sinon j’ai vu juste avant « mon petit renne » ; peut-être que ça sera woke pour certains mais c’était d’un cran très nettement supérieur avec les 2 acteurs principaux vraiment excellents.
L’histoire d’un pauvre gars qui essaye de devenir comique et qui la plupart du temps bosse dans un bar. Un jour il a le malheur de se montrer un peu trop gentil avec une cliente un peu perturbée. Bref c’est une histoire de harcèlement mais qui aborde aussi d’autres thématiques très actuelles.
Il me semble aussi avoir lu aussi que c’est inspiré de l’histoire qu’à vécu le créateur et acteur principal de la série.
Clairement pas.
Ca manque cruellement de tension, de course contre la montre.
Pour moi c’est surtout au niveau des émotions que ça pêche, j’ai même pas eu envie de lâcher une petite larme pour les moments sensés être émouvants, pourtant il ne m’en faut pas beaucoup d’ordinaire.
Ce n’était pas mauvais en soit, il n’y avait pas de trucs affreusement nuls, juste quelque chose d’un peu terne, qui se veut touchant mais qui rate un peu sa cible (bon moi en particulier, peut être que certains se sont pris la flèche).
Cela dépend si avoir un impératif de couleur de peau a obligé le réalisateur à prendre des acteurs moins bons pour certains rôles.
Non, l’acteur est pas mauvais, c’est la direction qui est pourrie.
Mon petit renne, si ma mémoire ne me fait pas défaut, j’ai vu la BA et je me suis dit que ça ressemblait à Misery. Du coup j’ai passé mon chemin.
(pas parce que Misery c’est nase mais juste pour éviter une sorte de redite)