[Appel à co-création d’un jeu politique de transformation]
« Sommes-nous capables, collectivement, de transcender nos croyances, nos cultures, nos traditions… pour imaginer un système qui garantit à chacun sa dignité, son confort et son droit à la distraction ? »
Et si cette question devenait le point de départ d’un jeu de société ?
Un jeu pas comme les autres. Un jeu créatif, politique, inclusif, et profondément humain.
Un jeu où l’on ne simule pas le monde d’hier… mais où l’on imagine celui de demain.
Le pitch :
Dignité (titre provisoire) est un projet de jeu coopératif (ou semi-coopératif) dans lequel chaque joueur incarne un concepteur d’un nouveau système de société.
Le but ? Créer un modèle durable et équitable où chacun peut vivre dignement, dans le confort, sans jamais renoncer à la joie, au jeu et à la diversité des croyances.
Mais attention : chaque joueur arrive avec ses propres valeurs héritées du passé (cartes tirées en début de partie), et il faudra composer avec… ou les dépasser.
Les mécaniques (esquisse) :
Forum d’assemblée : Les joueurs débattent et votent pour instaurer les règles du jeu… au fur et à mesure de la partie.
Cartes “Valeurs & Conflits” : Liberté absolue ? Méritocratie ? Bien commun ? Spiritualité communautaire ? Ces cartes orientent vos choix… et créent des tensions.
Triple jauge à équilibrer : Dignité – Confort – Distraction . Si l’une tombe à zéro, la société implose.
Évolution dynamique : Le jeu change avec les décisions collectives. Rien n’est figé. Tout est négociable.
Pourquoi ici, sur Cwowd ?
Parce que vous êtes des créateurs dans l’âme. Des passionnés de mécaniques, de sens, de vision.
Parce que si un forum peut accoucher d’un vrai projet ambitieux et transformateur, c’est bien celui-ci.
Et surtout parce que : on veut le créer avec vous.
Objectif à court terme :
Former un petit groupe de curieux (auteurs, testeurs, illustrateurs, philosophes de bistrot…) pour bâtir une première version jouable.
Si l’idée vous titille : commentez, critiquez, proposez !
Et si vous voulez rejoindre un petit groupe de co-conception, faites signe ici ou en MP.
On a déjà joué à sauver le monde dans Pandemic.
On a simulé l’effondrement dans This War of Mine.
Et si cette fois, on imaginait comment ne pas s’effondrer ?
À vos cerveaux, camarades ludopenseurs
: 3-7 joueurs : 30-60 min : jeu de composition semi-coopératif
La page Ulule : 🙏Societas - Ulule
On dirait l’intelligence algorithmique
Je me dis 200 vues ça se fête alors je vous présente le mougeon en exclusivité. Il s’agit d’une chimère entre le mouton et le pigeon, pour vous, pour nous !
Mise en place du jeu
Tout d’abord, il s’agit d’assembler deux cadres avec les éléments en bois se trouvant dans la boite.
Le premier cadre sert à composer un tableau de société dite « enviable ». Inversement, le second un tableau de société « à changer ».
L’ensemble des tuiles à disposer dans ces deux cadres constitue une pioche à l’aveugle contenue dans un pochon.
Deux paquets de questions, les premières ouvertes et les secondes fermées, sont posées sur la table. Pour les questions ouvertes, chaque joueur se voit attribuer quatre jetons (A, B, C, D) afin de voter.
La partie peut alors commencer…
Déroulement d’un tour
Le premier joueur pioche une tuile. Il décrit ou lit ce qu’il y voit sur la face qui se présente à lui sans que les autres joueurs n’en distinguent le contenu.
C’est alors qu’il présente la tuile à ces derniers et les sollicite en leur demandant :
« Ma description vous inspire-t-elle ? »
Tous les joueurs sont alors invités, s’ils le souhaitent, à donner leur avis sur ce que leur suggère l’image ou le texte présent sur la tuile.
Deux possibilités se présentent alors :
Si les joueurs décident à la majorité, après concertation, de considérer la tuile comme représentant un composant d’une société enviable, alors le joueur l’ayant pioché la dispose dans le premier cadre (qui représentera donc celui de la société enviable).
Dans le cas contraire, si les joueurs considèrent la tuile comme non-pertinente, celle-ci sera disposée dans le second cadre (représentant alors celui de la société à changer).
L’objectif est donc de constituer des esquisses de société.
Décompte des points
Les tableaux peuvent comporter de quatre à seize tuiles selon leur format.
La pose des tuiles se succédant, le joueur qui pose la dernière dans l’un ou l’autre des tableaux se voit attribuer l’ensemble des tuiles qui le compose. Il marque alors le nombre de tuiles qu’il détient sur la grille de score. Soit en positif, soit en négatif, en fonction de la nature du tableau (respectivement enviable ou à changer).
La partie s’achève lorsqu’un nombre de tableaux significatifs a été composé (ce nombre est à déterminer en début de partie en fonction du nombre de joueur et du temps de jeu souhaité).
Rôle des questions
Certaines tuiles comportent une icône question ouverte ou question fermée.
Questions ouvertes (collectives)
Lorsqu’un joueur pioche une tuile avec cette icône, la question est posée à l’ensemble des joueurs qui optent chacun pour la réponse A, B, C ou D avec leur jeton et à bulletin secret.
La réponse du joueur ayant pioché la carte vaut 2 et celle des autres joueurs 1. Si la majorité a donné la même réponse que le joueur initial alors celui-ci peut choisir soit de marquer 3 points positifs sur sa grille de score soit de retirer jusqu’à trois tuiles des tableaux et les remettre dans le pochon.
Questions fermées (individuelles)
Le joueur qui a pioché une tuile sur laquelle se trouve cette icône se fait poser une question de type QCM. Si sa réponse est juste , il peut choisir de marquer 2 points ou de retirer deux tuiles des tableaux de son choix.
Conditions de fin de partie
Lorsque le nombre de tableau à composer a été atteint, un décompte des scores de chacun est effectué. Le joueur qui marque le plus de points positifs remporte la partie.
Voilà pour ces quelques précisions.
N’hésitez pas si vous souhaitez que j’apporte des compléments.
Je tiens d’abord à exprimer ma profonde gratitude aux courageux 3 % d’entre vous qui ont cliqué sur le lien de notre page Ulule : vous osez faire la différence, et chaque geste compte vraiment.
Pour les autres, je comprends : ce projet n’a peut‑être pas encore trouvé son public. Vous avez l’impression que tout est déjà écrit d’avance, que notre jeu n’a jamais même eu sa chance d’être jugé à sa juste valeur… Et c’est justement ce qui blesse.
Le système actuel ne se remet pas en cause : il exclut sans vergogne, il persiste dans son inertie. Dire simplement “dommage” serait ajouter une touche de plaisir à la foule anonyme, ces consommateurs indifférents, incapables de voir au‑delà de leur petite bulle communautaire.
Societas ne sera pas une bulle de savon, une énième pâle copie des mêmes mécanismes d’auto‑congratulation : notre ambition est de proposer quelque chose de vrai, de vivant, de sincère. Mais pour cela, il faut que vous soyez là, vous, ceux qui croient qu’un jeu peut être plus qu’un simple produit, qu’il peut tisser du lien et réveiller des émotions.
Ne croyez pas que je baisse les bras : la remise en question est en marche, le bouton de “
” n’a pas encore été activé, mais il clignote ! Et ce n’est qu’une question de temps.
Merci du fond du cœur à celles et ceux qui prendront un instant pour poser un regard différent sur ce message, sur ce projet.
Bien à vous,
– PS : J’ai parfois l’impression que les campagnes qui décollent sont déjà financées avant même d’avoir commencé : l’essentiel n’est plus le financement, mais la promotion. Ceux qui ont les moyens d’investir dans leur propre création (directement ou via des comptes multiples) atteignent leurs objectifs sans vraiment solliciter la communauté. Imaginez le déséquilibre : si je disposais déjà de mes 2 800 €, je n’aurais qu’à les réinjecter dans ma campagne pour la réussir, et tout le reste ne serait que bonus !
Les dés sont donc pipés : faire appel aux contributeurs, c’est en réalité faire appel à soi-même. Voilà pourquoi le marché regorge parfois de jeux en stock… L’adage “l’argent appelle l’argent” prend alors tout son sens, malheureusement au détriment de la qualité et de la créativité.
Je comprend la frustration de voir que son projet n’emporte pas l’adhésion.
mais blâmer le monde entier de n’avoir rien compris c’est peut être manqué d’introspection justement.
Ce n’est que mon avis basé sur mon expérience perso donc à prendre pour ce que c’est.
Première erreur selon moi, et on la retrouve beaucoup dans le spectacle vivant également: Avoir un message à transmettre et créer une œuvre pour le faire. ça n’a jamais marché et ça ne marchera jamais, sauf rare coup de génie. Une œuvre doit se suffire a elle même pour pouvoir porté un message.
Deuxième erreur:
adopter une démarche ouvertement militante. Ton message ne sera entendu que par ceux qui sont déjà acquis à la cause. et ça sera un repoussoir pour les opposants et la plupart des indécis/sans opinions. Alors que la cible ça devrait être eux justement (ou alors on se tape dans le dos entre nous et rien ne bouge).
troisième erreur: Ce derniers messages est un coup de grâce au projet et peut être aux projets futurs. Toute proposition politique, et s’en est une, ne peut s’affranchir d’une communication stratégique. La passion est importante mais ne suffit pas, seule, à emporter l’adhésion.
Des primo porteurs ont eu de très bel réussite. Mais il ne cherchait pas à vendre un message, ils proposait avant tout un jeu.
Je te souhaites de rebondir et de continuer à faire des propositions
Exactement, ce jeu est très suffisant pour constater que « le monde du jeu » n’est pas prêt à accepter une intrusion dans son univers très cloisonné, là où des éditeurs malins font la pluie et le beau temps. Ils s’auto-achètent et font mousser leurs propres productions. Le jeu est effectivement devenu un produit comme un autre nécessitant des investissements (et donc des prises de risques [modérées, dans le cas du crowfunding]). Toujours est-il que la majeure partie de ceux qui adhèrent à ce système d’auto-émulation truqué ne sont que les pions d’un système qui n’est toujours pas essoufflé.
Pour exemple, la multitude de topics qui reviennent et qui glorifient les indénombrables extensions de jeux commerciaux à outrance. Et que malgré tout, certaines personnes achètent tout ça parce que d’autres ont acheté avant eux. Ainsi les règles du commerce (ici de jeux) se reproduisent sans aucun scrupule.
Vous faites bien d’employer le passé car je doute de ces réussites honnêtes aujourd’hui !
Je ne blâme pas le monde entier, je parle ici d’une communauté ludique qui malheureusement s’auto-sclérose sans s’en rendre compte et qui rechigne par là-même à donner des chances à des jeux qui pourraient proposer une vision différente de la sienne.
En même temps je comprends, qui accepterait de se tirer une balle dans le pied pour en extraire son cancer ?
Bref, merci François_B de votre contribution , ça me permet de rebondir justement.
On ne peut pas se réclamer de la liberté, et en même temps mépriser ainsi ceux qui font preuve de libre arbitre. Humanité sans compassion ? Indifférence pour toute tentative qui n’émane pas de leur communauté ?
Il ne s’agit pas de compassion ici, mais d’un acte commercial : vous souhaitez vendre un produit. Mais il n’y a pas d’acheteur. C’est que votre produit n’a pas suscité d’intérêt. N’y voyez pas un complot. Mais interrogez-vous sur votre campagne et votre jeu :
une page difficilement compréhensible : votre mise en situation aurait dû montrer comment le jeu se joue et non pas comment X décide de proposer le jeu et comment ouvrir sa boîte. Vous ne montrez pas beaucoup de mise en situation, de matériel, de règle.
un jeu aux règles difficilement compréhensibles : comment faire pour gagner ? On gagne seul ou à plusieurs ? On ajoute ou on enlève des parties du ou des tableaux (2 par joueurs, 2 pour tous collectivement ? ce n’est pas expliqué).
des illustrations faites par IA sans le préciser.
Vous faites preuve d’une certaine forme de fermeture d’esprit : vous n’acceptez pas que les joueurs considèrent le jeu comme un moyen de se distraire. Et alors ? En quoi est-ce problématique ? En quoi devrions-nous avoir tort ?
Vous avez voulu proposer un jeu idéologique. Pourquoi pas. Mais acceptez que cela ne suscite pas toujours l’intérêt de ceux qui fréquentent ce forum. En revanche, je n’accepterai pas de me faire insulter parce que je n’ai pas exprimé de l’intérêt pour votre jeu (d’après ce que vous avez écrit : je n’aurais pas de compassion, je ne serais qu’un benêt qui ne cherche qu’à me distraire quand je joue, puisque je n’ai pas pledgé…).
Votre démarche m’a rappelé celle d’Etat-Monde, le jeu qui avait été proposé sur Tric Trac (par la société des Apatrides). Je me rappelle d’un véritable harcèlement (par le nombre de sujets ouverts), à base de propos lunaires et déjà complotistes. Et je n’ai pas eu tort de faire le rapprochement : vous en étiez l’auteur. A ce moment, vous aviez reçu des critiques constructives, bienveillantes, dont vous n’avez jamais tenu compte. Vous répondiez toujours à côté, avec des propos condescendants et un ton qui déplaisait (moqueur, victimiste, …). Vous vous enfermiez dans votre tour d’ivoire, persuadé que vous aviez raison contre la multitude que vous vouliez convaincre, voire convertir à votre idéologie. Vous vous étiez positionné déjà en victime du système (éditeur, communauté TT, joueurs en général). Je constate que cela n’a pas changé. Vous accusez un système qui n’existe pas, au sujet de l’existence duquel vous n’apportez aucune preuve, en témoigne la citation suivante :
Cette intervention est méprisante à l’égard de ceux qui existent bel et bien (et ont parfois un petit succès). Votre remarque à l’emporte-pièce est acerbe et traduit une forme de jalousie. Et qu’est-ce que ce « monde du jeu » dans lequel vous mélangez allègrement éditeurs, auteurs, autoéditeurs, joueurs… ?
N’agissez pas comme une autruche : affrontez la vérité en face (votre jeu n’intéresse pas), tenez compte des critiques qui sont faites au sujet de votre jeu, de votre campagne de financement participatif pour progresser et faire en sorte que votre idée suscite l’intérêt. L’intérêt ne se décrète pas, il se construit. Changez votre approche, travaillez votre sujet, tenez compte des remarques. et vous aurez peut-être plus de succès.
Enfin, je trouve que la démarche prosélyte est dangereuse : dans 2 de vos niveaux de pledge, vous vous proposez d’intervenir dans des classes de collège. Le système scolaire n’est pas un lieu de prosélytisme, de propagande politique ou idéologique (quelle qu’elle soit). De toute manière, vous ne représentez pas d’association agréée par l’Etat qui pourrait être amenée à intervenir auprès d’élèves. Votre règle du jeu, vos propos, votre idéologie : tout ceci manque de cadre, de rigueur. Comment alors vouloir intervenir auprès de jeunes avec un esprit aussi brouillon, voire parfois sectaire (cf 1er paragraphe).
Je suis dur dans mes propos, mais je crois que de toute votre démarche, c’est bien ce dernier aspect qui me choque, me révulse, m’effraie. Et pour cause : j’enseigne au collège et je sais à quel point le prosélytisme peut y faire des ravages. L’école est là pour apporter des savoirs construits, avérés, reconnus, pour apporter des savoir faire, des savoir-être, pour permettre à chaque élève de devenir acteur de sa vie d’adulte, de faire preuve d’esprit critique.
Et bien Warlath,
je vous remercie pour votre belle production qui donne de la matière à mon ouvrage et le fait remonter en tête de gondole !
Vos propos m’intéressent. Comme vous semblez l’exprimer, il n’y a pas de compassion dans l’acte commercial ici dans le domaine du jeu… J’ai donc cru qu’il puisse y en avoir et me suis lourdement trompé sur ce plan.
Pour la parenthèse, je pense que si je disposais de la somme demandée pour faire aboutir mon jeu, je me serais amusé à créer des multicomptes pour le financer parcimonieusement en ajoutant des commentaires suscitant l’intérêt du public. Peut-être aurais-je dupé mon auditoire qui serait alors rentré dans le jeu…
Je pense que vos propos permettront de mettre d’accord la communauté sur le fait que mon jeu n’a pas lieu d’être comme, vous le rappelez bien, mes autres tentatives.
De là à considérer mes jeux comme prosélytes, seriez-vous à même de définir de quelle type d’idéologie il s’agirait. Peut-être que justement l’objectif de ces jeux est de permettre d’exercer cet esprit critique dans un système qui se noie dans le politiquement correct.
Si l’objet pour réaliser des prestations à l’école est d’
quel est l’intérêt pour l’élève qui n’a qu’à recopier ce qui existe déjà ?
Soit, restez en là dans votre analyse, vous faites parti de ce système que je critique et qui fonctionne très bien sans moi.
Tel que nous interagissons sur ce topic, nous n’avons rien à attendre l’un de l’autre. Continuez à éviter les sujets de fonds dans votre enseignement, ils ressortiront à l’évidence d’une autre manière.
Mais qui êtes-vous pour savoir comment je dois fonctionner ?
Merci de me donner raison. Encore une fois : mépris et condescendance.
Votre ignorance en matière d’enseignement est profonde. Vous ignorez tout de ce que doit être un enseignant, de ses compétences, de ses postures, de ses missions, de son rôle. Un élève ne recopie pas ce qui existe déjà comme vous l’affirmez péremptoirement. C’est une vision très passéiste, rétrograde, très 3e république que vous nous proposez-là ! Il faudrait revoir le logiciel, surtout lorsque l’on souhaite intervenir auprès d’eux comme vous en aviez l’intention. Un élève est formé à réfléchir, raison pour laquelle il acquiert des connaissances (sans connaissance, tout ce qu’il peut faire, c’est de la philosophie de comptoir et être facilement berné), connaissances qu’il construit par une réflexion guidée puis autonome, pour ensuite les interroger.
Tel que vous interagissez dans vos sujets, je n’ai en effet rien à attendre de vous. Continuez de vous persuader que vous avez raison contre le monde entier, même si vous semblez bien seul (puisque vous regrettez que personne n’ait participé à votre campagne, c’est bien que votre manière de présenter vos idées ne suscite pas l’intérêt).
Ah là, je vous ai poussé dans vos retranchements (« vite vite se dit-il, il faut réagir !, c’est moi la République ! ») !
C’est ce à quoi me font penser vos propos…
Je n’en suis plus à la Vème si vous voyez ce que j’veux dire.
Bref vous êtes campé là, à croire que seule la façon dont vous enseignez est la bonne !
Aujourd’hui, toutes les connaissances « avérées » dont vous faites échos ne nécessitent plus la présence d’un prof. Ou alors justement celui-ci engoncera ses élèves dans un rabâchage inutile.
Mais si ! ma manière d’interagir suscite l’intérêt (le dédain) comme vous y participez (peut-être d’ailleurs pour la dernière fois…).
Vous savez mon jeu n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan, je n’ai absolument pas dit que j’allais me supplanter à un programme que vous appliquez du mieux que vous pouvez…
Et puis d’autre part, je ne me faisais aucune illusion en lançant cette campagne. Ce qui m’intéresse c’est justement votre son de cloche sur le sujet…
Merci encore de votre contribution,
Pff…J’avais pas creusé en pensant avoir à faire au un idéaliste un peu vexé et a coté de ses pompes Pardon mais en fait on nage dans le déni et la malhonnêteté intellectuelle.
Warlath est sévère, certes mais il touche juste sur pas mal de point. Vous rendez-vous compte a quelle point vos propos sont méprisants et a quel point ils trahisse votre manque d’empathie et vos difficulté a gérer la frustration?
Là où vous auriez pu faire preuve d’un peu d’humilité devant l’echec, demander les conseils d’une communauté qui, que vous le vouliez ou non semble bien plus calé sur la réalité, vous préférez continuer à blâmer tout le monde pour un echec qui est le votre, et uniquement le votre pour les multiple raison.
Je pense que c’est faux et plutôt que vous êtes touché dans votre amour propre. ce qui est normal vu le nombre de souscripteur. Mais faudrait voir à gérer la situation en adulte et accepté sa part de responsabilité avant de vouloir donner des leçon de vie à des collégiens.
Et je vais quitter ce sujet avant qu’on termine dans « le dialogue de ceux qu’on voudrait pas passer pour. »
Dommage..
Dès qu’on touche à la sensibilité des membres d’une communauté bien installée, elle se rebiffe !
Alors je vais essayer de reprendre les termes dont on m’accable à défaut d’un quelconque intérêt pour le jeu que je tentais de présenter.
« idéaliste un peu vexé, a coté de ses pompes, déni et malhonnêteté intellectuelle, propos méprisants, manque d’empathie, difficulté a gérer la frustration, condescendance, fermeture d’esprit, propos lunaires, complotistes, moqueur, victimiste, une forme de jalousie, prosélyte, manque de cadre, de rigueur, esprit brouillon, voire sectaire. »
Seriez-vous en train de faire une analyse complète de ma personne à partir de quelques messages ici ou là sur des forums de « jeu » ?
Vous êtes en train de juger une personne que vous ne connaissez qu’à travers ses essais ludiques avec des termes qui relèvent de la psychologie. Je pense que si vous m’aviez présenté vos jeux, je me serais intéressé à votre chose ludique plutôt qu’à votre caractère. Mais bon, on se refait pas !
C’est clair qu’à des individus aussi susceptibles que vous semblez l’être je ne risque pas de vendre un seul jeu !
En tout cas j’accumule les tentatives. Mais, dès qu’on touche au sensible, je m’aperçois qu’on ne joue plus. Certains joueurs ne le sont que lorsqu’ils ont un support (de jeu) devant eux, en dehors, même sur un forum dit « de jeu », point de salut !
Il s’agit là d’un forum de discussion sur le jeu, alors ne vous égarez pas à travailler mon égo.
Pour recentrer un peu la discussion sur Societas et en espérant ne pas trop faire preuve de prosélytisme (car prôner la paix pourrait-être considéré comme tel !), je vous présente, ci-dessous, deux exemples de questions ouvertes présentes dans le jeu.
Bonjour et merci pour le partage. Votre projet me fait penser à un type de « jeu sérieux » (je n’aime pas cette terminologie, mais bon), i.e. un jeu qui a un autre objectif premier que celui ludique. J’en produit moi-même dans le cadre de mon travail. Ce sont des approches très intéressantes pour susciter du débat, des réflexions auprès des participants. Par contre, je n’ai jamais essayé (et n’essaierai pas) de vendre ces jeux à des joueurs. Ce sont plutôt des jeux à proposer à des acteurs qui seront en capacité de l’animer, de le faire jouer à d’autres. Souvent le caractère purement ludique de ces jeux n’est pas suffisant pour justifier leur achat par quelqu’un qui recherche avant tout ça.
Donc, si vous avez un concept super intéressant, changez de stratégie de diffusion, et trouvez des relais plutôt que de vous adresser directement aux joueurs (c’est pas eux qui l’achèteront). Voila, dans le cadre d’un festival, d’un atelier, etc., je jouerais avec plaisir à votre jeu, mais aucune chance que je ne l’achète.
Sinon pour vos questions ouvertes : quand on doit choisir entre A, B, C et D, ce ne sont pas des questions ouvertes (il n’y aurait pas de choix proposés pour la réponse).
Je trouve d’ailleurs que vous avez été particulièrement bien accueilli finalement quand on connaît les habitués du coin.
Pour le reste. Je trouve fabuleux votre propension à voir des complots partout.
Je suis plutôt très ouvert au dialogue et serait enchanté de pouvoir en échanger mais votre jeu est sincèrement très obscure et malheureusement les relents de complotisme ont immédiatement stoppés tout potentiel intérêt pour moi.
Bonjour bonomoose,
Merci de votre message et de m’indiquer ce que serait ce jeu à défaut d’être ce qu’il est (un jeu de société)
Aucune chance que vous ne l’achetiez. Bon bah, c’est sympa, au moins vous êtes franc !
J’ai des doutes sur le bienfondé de la classification que vous estimez pour mon jeu. Quand il s’agit de jeux de guerre, ce sont des jeux « ludiques ». quant au mien, direct, sans même qu’il soit testé, on le classe ! Celui-là il sera « sérieux »./
Et comme nous , on aime bien la distraction pure, se foutre sur la gueule c’est plus drôle que de nous remettre en question !
Societas est un jeu, un jeu de société, imaginé pour faire société, pour la société et avec la société (Def : Ensemble d’êtres humains vivant en groupe organisé). Le problème c’est que celui-ci n’est pas considéré comme tel. Si un jeu qui se veut de société ne l’est pas du point de vue d’une communauté adepte de ce type de jeu, la situation parait assez paradoxale…
Qui donc a la légitimité de définir cette appartenance ou pas ?
Pour moi, sur ce forum, nous sommes en train de jouer à la société, d’un côté, une proposition de sujet sur celle-ci, de l’autre des réactions, quelles qu’elles soient sur la valeur de cette proposition. Toujours est-il que, comme dans la société d’un point de vue politique, l’exclusion y fonctionne plutôt bien…
Pour ce qui est des questions ouvertes, disons que celles-ci sont alors semi-ouvertes compte tenu du choix D.
De quels complots s’agit-il ? Le fait d’affirmer que la communauté « ludique » s’auto-émule ? C’est pas vraiment complotiste ça ! C’est un état de fait. Un fonctionnement a visée purement mercantile d’une bulle spéculative. Le domaine du jeu n’échappe pas à la règle.
Vous avancez le terme « obscur » avec des « relents de complotisme ». Pourriez-vous expliciter davantage ? à moins que vous ne préfèreriez user de votre négation totale qui met fin à toute discussion.
Je préfère parler de jeux de plateau ; jeux de société est trop ambigu.
Je vais vous le dire directement : rien dans votre jeu de semble montrer qu’il a un caractère ludique (que l’on peut prendre du plaisir à y jouer). C’est en grosse partie pour ça que votre proposition n’intéresse pas : elle n’a pas l’air d’être un jeu.
Bravo en tous les cas pour vos réponses ; je ne sais juste pas si les réponses sont sincères ou si c’est du troll, mais vous avez réussi à vous mettre tout le monde à dos.