En 2009, je passe dans une coloc de potes à Strasbourg. « Viens, on fait un jeu ».
Moi : « un quoi ? »
Ils me posent devant une partie de Dice Town. J’en chie, je capte rien, mais je découvre un monde ! Mais bordel, pourquoi on m’a pas dit avant que ça existait ?
Quelques semaines plus tard, je pousse la porte de chez Philibert à Strasbourg, je vais droit chez le vendeur :
« Bonjour, j’y connais rien. Vous me recommandez quoi comme boite ? »
« Oh bah ça c’est une valeur sûre » me dit-il en me tendant un Catane.
J’ai payé sans même regarder l’arrière de la boite. Très bonne pioche, on l’a poncé pendant 1,5 ans avec mes frérots, à 2-3 parties par semaine. J’y suis retourné peu après, reparti avec Aventuriers du Rail Europe et Dice Town, tiens, tant qu’à faire.
Peu après, premier boulot en Suisse, premiers salaires… et le choc : Agricola.
On a bien tapé la trentaine de partie avec madame durant la grossesse du premier…
A partir de là, ça a été l’avalanche euphorique… puis l’âge de raison, avec dégrossissage de la ludo (actuellement toujours entre 50 et 60 boites en comptant les petites genre Hanabi). Quand y’en a un qui entre, c’est pas mal d’en faire sortir un autre…
(Les KS commandés et encore non-reçus on est d’accord, ça compte pas…).
Bref, le chemin classique.