Puisqu’il faut y aller.
Je me présente, je suis l’auteur du jeu, historien de l’Amérique du Nord (Mexique, sud US), première partie du 20ème siècle. Ma spécialisation se termine juste avant l’histoire de Bonnie and Clyde et je travaille généralement sur l’anarchisme, sur l’Histoire du quotidien et des moins que rien.
Je suis aussi l’auteur du jeu historique Which Side?.
Voici donc mon nouveau jeu à contexte historique : Bonnie and Clyde, love and death.
Celles et ceux qui nous connaissent savent que nous ne transigeons pas avec le contexte historique ; que nous ne lésinons pas sur le travail de recherche ; et que nous mettons tout au service d’une expérience immersive.
Pour les autres, vous le découvrirez très vite. Je ne vais pas vous embêter avec un débat qui a débuté sur de l’affect police et sur la surinterprétation d’un mot : « romantique » qui qualifiait simplement l’histoire d’amour entre Bonnie et Clyde.
Voici un article intéressant pour les personnes qui voudraient en savoir plus.
https://scholarworks.sfasu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=2789&context=ethj
Au sujet des comparaisons avec d’autres jeux. J’appuie ce qui a été dit plus haut. Combien de jeux de plateau ou de wargames avec des bouchers, avec des criminels de guerre, des grands patrons, des méchants et ça ne semble généralement poser de problème à personne.
J’ai aussi vu des comparaisons avec GTA, l’expérience de jeu n’est absolument pas la même, nous sommes vraiment très loin d’une quelconque apologie.
Et c’est là que vient la très bonne question de @Herve69100 . Le gameplay. C’est fois-ci encore, il est au service de l’ambiance que nous voulons donner et donc de l’histoire que nous allons raconter.
Pour présenter les mécaniques, je préfère laisser la main à mon comparse @JérémieMcGrath.
Si je dois limiter à une phrase pour ce soir, la voici :
« il est possible d’interagir avec tous les éléments du jeu rencontrés sur son chemin. »
Quant à la page draft KS : oui, d’ici deux semaines maximum nous l’ouvrons au public en français, avant de l’envoyer au traducteur.