En tous cas il me semble qu’un chiffre similaire était déjà mis en avant il y a plusieurs mois.
Soit c’était sur évalué à ce moment-là, soit c’est sous evalué aujourd’hui.
En tous cas il me semble qu’un chiffre similaire était déjà mis en avant il y a plusieurs mois.
Soit c’était sur évalué à ce moment-là, soit c’est sous evalué aujourd’hui.
Hum, je ne comprends pas … pourquoi remettre ce chiffre en question ??
(Il me semble que c’est le chiffre actualisé officiel ou admis comme tel).
C’est le chiffre du ministère de la santé du Hamas. Sur les précédents conflits, il a été confirmé par l’ONU (en général, l’ONU a légèrement réaugmenté les chiffres).
Si on se base là dessus, il semble être « plutôt » fiable.
Il ne tiendrait pas compte des personnes sous les décombres, et vu le type de conflit (bombardements), ça peut représenter une partie importante des victimes. C’est en tout cas l’hypothèse de militaires, moi j’y connais rien.
C’est ce que je disais, et les disparus (soit parce que toute la famille est morte, etc.).
Le chiffre sera probablement supérieur, mais ça reste un chiffre. 10x plus ou 10x moins ça resterait de trop.
Deuxième fois qu’on est d’accord aujourd’hui. Malheureusement.
Malheureusement les victimes ne se limitent pas aux morts. Combien de blessés, de mutilés, endeuillés et traumatisés ? De personnes qui crèvent de faim ?
Disons déjà que la phrase : “les Palestiniens accepte qu’on occupe leurs terres” manque quand même de nuances. L’acceptation est tout de même “modérée “ on va dire. Et le “leurs terres” est partisan au vu de la présence continue des Juifs sur ce territoire les 3000 dernières années.
=> Histoire des Juifs en terre d'Israël — Wikipédia
Ca a toujours été un territoire multiculturel, l’appropriation par une des cultures (“leurs terre”) est simpliste. Autant par les Juifs que par les Arabes.
Le jour où un Néanderthal revient, on doit tous partir ?
Parce que, là, on parle de gens qui habitent quelque part et d’autres qui viennent d’ailleurs en disant « dégage, j’ai peut-être un ancêtre qui vivait ici il y a 20 siècles » (car la présence, en nombre au moins significatif, est au contraire discontinue et alors qu’ils ont tous deux des ancêtres en commun, en plus, sympa la famille !).
Donc oui, leur terre. Celle où ils vivent. Et sur laquelle vivait leurs parents, grands-parents…
Et oui, ils ont accepté de la partager lors des accords d’Oslo.
Tu ne trouves pas que cela manque de nuances ?
Edit : je ne voulais pas entrer dans la polémique de kikikétela avant. C’est un sujet merdeux. Juste que parfois la nuance, le non manichéisme, c’est bien
La population juive en Palestine en 1850, sous l’empire ottoman, était de l’ordre de quelques % (<10% de la population totale) avant qu’émerge les premiers penseurs de la nécessité pour le peuple juif d’avoir un foyer où se défendre et vivre en sécurité.
Et cela ne représentait pas 1% de la population juive mondiale de l’époque.
Franchement, non (et même si je ne suis pas pour remettre en cause le droit d’Israël à être là désormais). Ces gens vivaient là à temps plein. Les juifs qui se sont installés là et ont fondé l’Etat d’Israël venaient d’ailleurs. Ben Gourion, par exemple, y est arrivé parmi les premiers sionistes (rien de péjoratif historiquement) à 20 ans depuis sa Pologne natal. Il peut certainement revendiquer la terre comme sienne pour l’avoir conquise mais cela se fait avec l’acceptation de celui qui vivait là avant (acceptation négociée, contractuelle, tacite ou contrainte)
Edit : erreur de ma part, Ben Gourion est en fait de la seconde génération de sionistes partis vivre en Galilée. La Première Aliyah (vague d’immigration de juifs vers l’actuelle Palestine, environ trente mille personnes) ayant eu lieu à partir de 1880. Je l’avais oubliée.
Alors que cette semaine l’armée israélienne a lancé une nouvelle opération d’envergure sur la ville de Gaza, dix experts indépendants des Nations unies ont accusé Israël de « mener une campagne de famine ciblée à Gaza ». Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, est l’une des autrices de ce compte rendu. Elle a répondu aux questions de RFI.
Désolé pour ceux qui vont être choqués par son sensationnalisme :
« Il y a des taux de mortalité accrus, particulièrement chez les enfants, qui sont les plus vulnérables au manque de nourriture et à la déshydratation. Toute la population fait face à une détérioration générale de la santé et du bien-être. Les derniers à avoir perdu la vie à cause de la famine sont des enfants. Ce sont des enfants qui avaient été hospitalisés, mais il n’y a pas de quoi les soigner quand ils sont amenés à l’hôpital ».
Même le Shin Bet (securite interieure) admet que " Le comportement d’Israël peut être considéré comme un crime international et une violation des conventions internationales" (en parlant des prisons).
On le savait déjà mais maintenant que c’est reconnu par le sacro saint droit peut être que certains arrêteront de relativiser :
Pas plutôt de l’antisionisme ? Anti Netanyahou ? Autre ?
Je ne vois pas ce qu’une religion fait là dedans.
Les universités ont pour chaque matière enseignée des profs pour et des profs contre (choisis ton sujet) qui souvent ne se supportent pas les uns les autres. Je caricature pour faire vite.
C’est une sorte de garant intellectuel, une formidable source de réflexion pour les étudiants qui peuvent se forger une opinion propre en entendant des points de vue et des arguments différents.
C’est ce qui protège notre système démocratique pour moi.
D’ailleurs, l’article de @Plopinou est un exemple de ce que je veux dire : Il y a des opinions différentes, même au-delà des universités elles-mêmes. C’est ce qui fait leur force.