(on se tutoie ? ^^)
Pour l’artbook, on est parti sur un 48 pages (donc une vingtaine de double-pages), format proche du A4 à l’italienne. Ma partie écrite sera autour de 3000~3500 mots. Entre explications, images légendées, anecdotes et parties plus techniques.
La technique c’est d’ailleurs un pan très important de Detective où j’ai passé un temps fou à faire des recherches pour imiter les vieux documents, de vieux papiers, polices de caractères, textures & co. J’ai d’ailleurs fait d’énormes progrès de ce côté-là grâce à Detective. Il y a certain docs où je mettrai volontiers au défi de déceler le vrai du faux.
Et au passage, quid des Easter Eggs? En cachette, en solo, j’ai glissé par mal de références et clins d’œil. C’est assez pointu mais plutôt ludique. Sans spoilers, on peut trouver un rapport psychiatrique signé d’un certain « Frederick Chilton », un autre doc de police par « Rollo Tomassi », des relevés effectués par R. Steel, S. Templar, A. Monk…
Oui c’est bien là l’idée
Et tiens, en aparté, à propos du « (ou à cause de) », j’ai lu sur d’autres sujets des acteurs de projets KS venir discuter ici et, à mon sens, faire du « publi-reportage » avec une emphase et une envie de convaincre parfois gênantes…
Pour ma part, pour être très clair, quand ça me passionne je m’exprime avec passion (pouf pouf) et enthousiasme. Et bien entendu, si un jeu se vend bien c’est tout bénéf, autant sur la visibilité de mon travail que financièrement car j’ai un intéressement (d’ailleurs sur la quasi-totalité de mes projets désormais).
MAIS, à mes yeux, il n’y a rien de pire qu’un joueur qui se trompe et foire un achat, ce qui a été martelé des années par un certain M. Phal sur TT ^^
Je reconnais volontiers que ça met une certaine pression car aujourd’hui, et comme toujours d’ailleurs, les budgets jeux ne sont ni extensibles ni élastiques et arriver à se tromper de jeu c’est dommage, surtout au vu de la quantité de sorties, on ne devrait plus se tromper et toujours trouver son bonheur.
J’en ai aussi fait les frais et je suis en train de complètement siphonner ma ludothèque pour revenir à une échelle disons humaine, passer de plus de 600 jeux à un lot jouable sans « rebus ». Voilà, tout ça pour dire que je trouve la proximité joueurs / acteurs ludiques parfois trop ténue et à mon avis, ça va finir par mal finir, dans le sens où tout est noyé dans un flot de boniments à plus savoir qui est sincère et honnête dans le lot. A suivre