« Dans les profondeurs crasseuses de la prison de Kulbak, où sont enfermés les plus grands guerriers de Dragul, les détenus se rassemblent autour de Nargash le gobelin et de ses dés taillés dans l’os. Des cris et des sifflements résonnent sur les murs tandis que les dés s’entrechoquent sur le sol en pierre. Les prisonniers aux mains rapides placent des paris encore plus rapides autour d’un morceau de tissu miteux orné d’un crâne grossier.
Pour participer à ce jeu, un détenu doit faire ses preuves en volant des engrenages aux gardes de Construct qui passent. Vous avez rempli vos poches ce soir, laissant de nombreux gardes rouillés vaciller lors de leurs rondes.
Nargash sourit lorsque vous vous approchez et ajoutez votre butin à la cagnotte. C’est un joueur réputé, et ses dés ont mené bien des âmes à la ruine. Mieux vaut garder son sang-froid. Une partie de crânes d’émeraude est sur le point de commencer. »
: 1-6 joueurs (jusqu’à 8 avec l’extension)
: 30-45 mins
: Paris, Stop ou Encore, lancers de dés
J’aime bien l’idée mais j’avoue ne pas avoir tout pigé de la vidéo. Et je me demande aussi dans quelle mesure l’anglais pourrait être bloquant pour les anglophobes, vu qu’il y a plein de cartes différentes.
Un joueur est le lanceur de dés et les autres sont les parieurs.
Le lanceur choisi le nombre de dés qu’il veut lancer (de 3 à 7) et paie son éventuel coût. Commence alors des lancers de dés en mode stop ou encore. A chaque lancer il doit garder minimum 1 dé et le placer sur le plateau. A chaque nouveau lancer, il devra placer des dés d’une valeur supérieur au lancer précédent. Les lancers s’enchainent jusqu’à ce que le lanceur les a soit, tous placés, a raté un lancer (ne peut pas placer de dés) ou quand il décide de s’arreter. A ce moment, le lanceur récupère une mise s’il en a gagné une et passe les dés à son voisin.
Il y aussi des petites variantes avec le 3 qui est un dé que tu peux relancer (s’il a été posé sur le plateau au lancer précédent). La face crâne est une face bonus qui remplace n’importe quelle autre face mais cela va modifier les conditions de victoire pour les parieurs.
Pendant ce temps là, quand le lanceur est dans ses lancers de dés, les autres joueurs, les parieurs, misent sur la réussite ou l’échec du lanceur. Ils peuvent parier sur la façon dont il gagne selon les cartes placés en début de partie. cela peut être « il réussi en plaçant tous ses dés », « il réussi en terminant par un 5 » ou alors « il décide de s’arreter avant d’avoir placé tous ses dés ». Les parieurs peuvent placer des paris tout au long du tour du lanceur, mais l’odre des paris aura une conséquence en cas de réussite. Plusieurs parieurs peuvent faire le même pari, mais celui qui aura parié en premier, aura la meilleure récompense en cas de réussite.
En somme, c’est un jeu de prise de risque pour le lanceur. Son but sera de gagner un maximum de gears avec ses lancers de dés sans jamais se rater. Je relance ou j’arrete ? A lui de voir. De l’autre coté les parieurs essaieront de maximiser leurs profits en plaçant les bons paris au bon moment. Le lanceur devra aussi choisir d’utiliser ou pas ses dés avec les faces crânes, selon les paris. Son but étant aussi de faire en sorte que les parieurs ne gagnent pas de gears
J’espère que c’est clair comme explications
Pour ce qui est des cartes, y’a principalement une iconographie sur les paris, et quelques mots en dessous. Ca reste ultra basique comme mots clés. Les cartes blanches avec le texte ce sont juste des rappellent de ce que tu peux faire pendant ton tour et comment tu perds/gagnes.
Merci pour cet effort de synthétisation, ça conforte ce que j’avais cru comprendre, ça me tente bien en tout cas, à voir si ce n’est pas trop le bordel niveau rapidité des mises (que ça se transforme pas en jungle speed^^).
Ouai, il me tente bien aussi.
De toutes façons, dès que y’a des dés, je suis a moitié conquis
Ca ne sera pas au point d’un jungle speed tout même. Mais selon les lancés de dés, y’aura aussi des prises de risques rapides. Je crois savoir qu’on est limité à 3 paris par joueur, donc ça ne va pas être la guerre non plus