4h d’onanISSme, c’est une sacrée performance.
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Il y a une grosse montée de sève sur Cwowd ou c’est moi ? 
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C’est le printemps qui arrive tôt cette année
A moins que ça soit la livraison de deux des plus anciens pledges que l’on a en cours 
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Oh le monde du back est petit 
Je n’ai pas encore eu le temps de le tester (oui je suis aussi l’un de ses 25 chanceux backer du premier lot:grin:) mais ton retour donne fort envie d’aller lancer ces petits cubes diamants !
(Edit: soyons précis ! 
)
Sacrilège !
Ce ne sont pas des cubes 
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Bonjour à tous,
J’ai aussi profité d’un moment seul à la maison pour me faire un Leaving Earth cette semaine. Mode facile pour commencer en douceur. Prochaine partie vendredi si tout va bien en medium (j’y vais doucement ^^')
Récit d’une partie : Leaving Earth
Journal de Bord de la Mission Spatiale : À la Conquête de la Lune et de Mars
En 1956, dans le contexte de la Guerre Froide et de la course à l’espace, la NASA lance un programme ambitieux visant à explorer les confins inconnus de notre système solaire. Notre mission : sonder la surface de la Lune et de Mars, et percer les mystères qu’elles renferment. Ce n’était pas seulement une question de prestige national, mais une quête pour étendre les frontières de la connaissance humaine.
Les Premiers Pas : Développement et Défis
Le programme débute par le développement de deux types de fusées : la petite Juno, conçue pour les premiers essais orbitaux, et la puissante Soyuz, destinée aux missions lointaines. Les ingénieurs, confrontés à d’innombrables défis, notamment des défaillances de moteurs et des problèmes de conception, travaillent sans relâche. Chaque échec, chaque test, nous rapproche de notre objectif.
1957 : Les Premiers Lancements
Le lancement de la première fusée Juno est un semi-échec : elle ne décolle pas, mais n’explose pas non plus. Un succès mitigé, mais un pas en avant. Après plusieurs ajustements, le troisième lancement marque l’histoire : l’humanité a réussi à envoyer sa première fusée dans l’espace. L’euphorie est palpable, mais nous savons que le chemin est encore long.
Vers la Lune et Mars
La construction d’une Soyuz suit. Les premiers essais sont décevants, mais nécessaire pour les ajustements. En 1959, le succès d’une Soyuz en orbite marque le début de notre véritable aventure. Le développement d’une technologie de rendez-vous spatial nous permet d’envisager des missions complexes : séparer les fusées pour envoyer des sondes vers la Lune et Mars.
Le lancement en 1963 est un ballet spatial soigneusement orchestré. Trois Soyuz se détachent en orbite terrestre, le reste poursuit vers ses destinations lunaires et martiennes. Margo Madison, cheffe des vols, dirige les opérations avec une précision et un calme qui inspirent toute l’équipe. Lorsque les sondes se séparent avec succès, un mélange de joie et de tension envahit la salle de contrôle.
Découvertes et Déceptions
La première sonde, en orbite lunaire, reste silencieuse. Le stress monte jusqu’à la découverte embarrassante : l’antenne de communication n’a pas été déployée. Une fois résolu, la sonde livre une révélation époustouflante : des traces de vie microbienne dans la régolithe lunaire. Une découverte qui change notre perception de la vie dans l’univers.
Pendant ce temps, la sonde martienne poursuit son long voyage. En 1966, elle atteint Mars mais, à notre grand désarroi, ne révèle rien d’extraordinaire. Pourtant, cette « déception » est en elle-même une précieuse leçon : l’exploration spatiale est imprévisible et pleine de surprises.
Conclusion : L’Héritage de Notre Mission
Notre mission est une réussite. Nous avons non seulement atteint nos objectifs mais aussi ouvert des portes vers de nouvelles questions et curiosités. Qu’est-ce que la découverte de vie microbienne sur la Lune signifie pour notre compréhension de la vie dans l’univers ? Quelles nouvelles aventures nous attendent au-delà de l’orbite terrestre ?
Cette aventure spatiale, ponctuée de défis, d’échecs, et de triomphes, n’est que le début. Elle témoigne de l’ingéniosité, de la persévérance, et de la soif de connaissances qui caractérisent l’humanité. À travers ces pages de notre journal de bord, nous espérons inspirer de futures générations à regarder vers les étoiles, armées de curiosité et d’audace, prêtes à dévoiler les secrets de l’univers.
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Moi je dis que c’est pas très sport de poster quelques jours après le mien un CR mieux rédigé et avec des photos de meilleure qualité ! 
Blague à part, merci pour le CR, ça fait plaisir de voir que ce jeu si particulier continue à sortir !
Par contre, il ne faut pas hésiter à jouer assez rapidement en mode difficile après la découverte du système de jeu (ce que le livret de règles conseille d’ailleurs en solo), les missions faciles étant VRAIMENT faciles, et les moyennes pas bien compliquées non plus.
Et pour l’avoir enfin sortie de ma pile de la honte, je ne peux que conseiller vivement l’extension Outer Planets (bon, il faut réussir à se la procurer maintenant…)
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C’est bien parceque j’ai vu ton CR que j’ai posté le mien. Et c’est pas du tout pour comparer mais bien pour alimenter l’intérêt de ce jeu qui est absolument génial !
Je tenterai peut être en difficile vendredi en fonction du temps que j’aurai.
J’ai les 2 extensions encore scellées ! Il me manque juste les cartes de replacement.
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Chanceux, je n’ai pas Stations malheureusement, il faudrait que je surveille pour le trouver en occasion…
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C’est quoi cette histoire de cartes de remplacement ?
Ça me fait penser à la fusée Shadok ton histoire.
Les Shadok pensent que comme il y a une chance sur un million que la fusée décolle, il faut se dépêcher pour bien rater les 999.999 premiers essais.
Je ne vous remercie pas tous les deux, mon envie pour ce jeu était redescendue et v’là t’y pas que ça r’commence.
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Ce sont les cartes de la V2 de Stations
This is version 2 of the Stations expansion, with upgraded reusable rockets, fuel generation, and Ceres features.
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Merci, va falloir que je me mette à sa recherche du coup
Si il y en a un deuxième, je suis preneur. Si quelqu’un voit ça, sur un stand du FIJ même si c’est très peu probable.
EDIT : la version PNP de l’upgrade kit
Bon, j’ai très honte de passer après les excellents CR de mes VDD mais je vais faire très synthétique (euphémisme !) pour dire quelques mots à propos de mes dernières parties solo.
Star Wars : Clone Wars - Pandemic System
Acheté pendant le destockage Asmodée, je ne l’aurais pas pris plus cher.
Très agréablement surpris par la qualité du matos : gros dé, figurines très très correctes vue leur taille, cartes toutes différentes et illustrées et nommées d’après (forcément) les personnages et véhicules de la période.
Je n’ai fait qu’une première partie, Obi-Wan et Aayla Secura contre Asajj Ventress, qui nous a terrassés au bout d’une heure de jeu.
Ça se joue bien, c’est fluide. À la différence d’un Pandémie classique la gestion de main me paraît plus importante, ainsi que la gestion des cubes (ici, les p’tis droids de combats). Le fait qu’il faille gérer l’Antagoniste permet de bien le différencier des autres jeux de la gamme.
Je pense en revanche qu’il faut a minima aimer un tout petit poil Star Wars pour vraiment apprécier le jeu et se raconter des histoires dedans sa tête.
Survivez jusqu’à l’Aube
J’en ai un peu parlé dans le topic dédié, une seule partie solo (et deux multi, dont une gagnée).
Un gros arrière-goût de Set a Watch, pour un jeu plus accessible (niveau règles) mais plus punitif je trouve.
Au moins l’avantage c’est que quand on perd, ça arrive vite.
Petit doute en revanche sur la rejouabilité, à voir.
Under falling skies
Normalement on ne le présente plus, j’aime toujours autant.
Et j’y suis toujours aussi nul, mais je persévère : un jour je survivrai et pourrai me lancer dans la campagne !
Parties jouées en une vingtaine de minutes, parfait pour la pause déj’.
ROVE
Flemme. Je recopie.
Island Siege
Enfin tiré de sa Pile de Schrödinger, c’est un solo amusant, qui se joue très vite, et que je sortirai volontiers en multi aussi.
Une seule partie - après un affrontement en schizo pour m’approprier les règles - gagnée plutôt facilement car apparemment l’automa est très dépendant de sa main de départ. Ce qui peut s’ajuster, donc à refaire.
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Dragonfire
Second jeu de deckbuilding à avoir débarqué ces dernières semaines et petit retour habituel mais pas tant que ça, vous verrez.
C’est un jeu que je recherchais depuis quelques temps mais plus activement ces derniers mois.
Je suis passé à côté de deux bonnes affaires et puis j’ai finalement trouvé le jeu avec plusieurs extensions pour un prix très correct.
J’avais beaucoup aimé mes trois parties de Shadowrun crossfire et je me doutais bien que sa version heroic fantasy me plairait davantage et c’est bien le cas.
Deckbuilding à campagne (ou non), avec une quantité de héros pléthorique ainsi qu’une ribambelle de capacités à coller (oui oui), il y a vraiment de quoi faire.
Le côté autocollant n’est pas vraiment gênant dans le sens où, la quantité de héros est telle que je doute que tous seront joués. Les capacités sont en plusieurs exemplaires donc pas de problème, et puis au pire je place un sticker blanc sur le sticker déjà en place et bingo.
Sinon, en dehors de l’aspect campagne et progression du personnage, les deux aspects qui me plaisent beaucoup sont le fait de mettre directement dans sa main les cartes que l’on achète au marché et le fait que l’on puisse attaquer qui l’on veut même si la rencontre n’est pas en face de notre personnage (sauf pour les rencontres de type « lieu »).
En bref, le jeu me plaît énormément et fait parti de mes meilleurs deckbuilding, même en « one shot ».
Petit message d’alerte pour les âmes sensibles pour ce qui suit, j’espère que vous y êtes préparés :
Résumé
Pour l’anecdote, il faut savoir que j’avais ici même il y a une dizaine de jours ou plus, que je me débrouillerai pour faire de meilleures photos car je pensais jouer la journée.
Mais en fait non, c’est avec mon nouveau téléphone, et oui, le hasard fait bien les choses, un vieil ami m’a appelé lundi pour savoir si un téléphone m’intéresserait. Évidemment que oui, il me l’a fait à 60€, top, vu que je ne comptais pas mettre plus de 100 balles dedans
Donc voilà, vos yeux peuvent le remercier.
Ce qui est ballot, c’est qu’il ne me reste pas beaucoup de CR à faire, ou alors d’anciens jeux que je n’ai pas « presentė »
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Toute une époque qui se perd 
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Ainsi que mon titre bientôt.
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C’est comme quand les télés led sont apparues, c’est plus joli mais moins chaleureux.
Le petit moment torride sur cwowd, c’est fini. On remballe. Circulez.
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