Trickerion, persévérance, arkwright, cerebria, gaia project, mage knight, Anachrony et ext, tous les lacerda mettent autour d’1h a être expliqué, voir plus. Trickerion +ext : 1h45 
. A noter : je connais les règles par coeur a chaque explication et j’explique tout a chaque fois des le début. Je me rappelle d’1 partie d’On mars où on avait un timing serré : 1h05 d’explication chronometrée où j’étais déjà epuisé a la fin des règles 
.
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Pourquoi infliger l’extension à des primos joueurs ?
Ca me rappelle un gars à l’asso qui avait embarqué des gars qui jouaient pour la 1ère fois à TM dans une partie full extension (oui, oui, même Turmoil)
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Oops, l’habitude !
Je modifie dans le message d’origine !
Ça dépend vraiment des personnes alors
Trickerion : entre 30 et 40 min perso - a des primo-joueurs
Cerebria : 45 minutes max
La famiglia je l’ai expliqué en 40min. On découvrait tous
Tout s’est bien passé, aucun retour à la règle
A part 1 ou 2 trucs quand ils ne me croyaient pas 
(genre s’attaquer entre membres d’un même clan, c’est interdit)
Concernant le manque de paranoïa/traîtrise, peut être que l’auteur l’a volontairement ignoré car ça aurait rajouté des mécaniques (guessing, double guessing ?) à un jeu déjà riche, non ?
Pour les victimes ignorées, sans remettre cent balles dans la machine, il faudrait qu’un jour on accepte une fois pour toutes qu’on ne joue qu’à des putains de jeu ! Si je veux avoir une réalité historique sur le sujet, je regarde des documentaires ou lis des livres.
Est ce que mémoire 44 aborde le massacre des civils par les allemands ou les viols perpétrés par les américains lors de la libération de la France ?
Même dans les wargames qui sont en général plus proches de la réalité historique, je ne suis pas sûr que les moindres exactions soient représentées
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C’est pas tout à fait la même chose. Là on parle de faire des attentats à la voiture piégée, ou de vendre de la drogue, le jeu ne se déroule pas sur un champ de bataille.
Et il est de notoriété publique que la mafia lèse plus de civils, directement ou indirectement, qu’elle ne fait de victimes dans ses rangs. C’est je crois ce décalage qui a pu choquer dans ce jeu où seuls les mafieux comptent.
Enfin, et comme je l’ai dit, on parle des années 80. Parmi les italiens qui se plaignent certains ont pu directement souffrir du terrorisme (pas leurs grands-parents ou arrières-grands parents). La proximité oblige sans doute à une certaine retenue.
Encore une fois, je ne suis pas sûr de savoir quoi en penser. Mais le sujet est complexe et mérite mieux comme réflexion que « ranafout’, laissez-nous jouer ».
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Attends, DeepL fait du doublage de vidéos ?
QUEWAAAAA ?
Turmoil, pour une première partie ? C’est un gros batard. J’ai fait un partie avec Turmoil, full extension. J’ai fondu, jamais rejoué à Turmoil. Pourtant j’avais une douzaine de parties derrière moi.
Aucune vidéo dans mes liens… Essaie-les la prochaine fois ! 
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Je suis globalement contre la censure des œuvres artistiques. Par contre je trouve cela sain que cela suscite le débat quand le sujet dérange - ou quand c’est clairement une démarche de propagande.
Pour ce jeu, on est dans un pur euro, donc hormis les illustrations, le cadre choisi et certains choix d’actions pour coller, ben en réalité… on l’oublie très vite.
Ça pourrait être des vikings, des gobelins, ça serait pratiquement la même chose.
Pour coller davantage, il faudrait des cartes d’événements par exemple qui rappelle l’histoire comme on a dans 13 jours, Twilight struggle, etc
Moi je suis plus euro, donc ça me va très bien.
Le thème, le narratif c’est largement secondaire. Surtout si ça ajoute du random.
Par contre un thème qui donne du sens et qui permet de se projeter dans les actions, même léger, c’est cool ça aide toujours.
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Mais tu peux comprendre que pour d’autres joueurs, dont je suis, pour qui le thème est prépondérant, cela pose un problème.
Et attention, pas de « t’es pas la cible vu que c’est une mécanique ». Si, j’apprécie beaucoup les eurogames dès lors qu’ils ont aussi du thème (Brass est un de mes jeux préférés).
Sur le papier celui-ci, j’en suis (un euro à interaction directe avec du take that, ma came absolument). Sauf à dire que ce serait un jeu abstrait, ce que je crois personne ne défendra sérieusement.
On pouvait sûrement tenir compte des victimes civiles et des dégâts causés sans rajouter une couche de random. Et sans rajouter une surcouche de complexité. (Je vais être limité pour faire des propositions, n’ayant pas -encore- joué, mais y’a toujours moyen d’imaginer un malus en cas de voiture piégée, par ex).
Considérant que le sujet des crimes de masse de la Mafia sicilienne est frais, non clos et douloureux, c’était une bonne façon de devancer les critiques et peut-être, d’apaiser ceux pour qui en l’état, jouer sur ce thème n’est pas possible. (Et plus respectueux que « y z’ont qu’à pas jouer » lu ailleurs).
Édit: le problème est strictement le même que celui du colonialisme et son traitement dans les jeux, pour moi.
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Tout simplement car un Trickerion chez moi c’est 2/3 parties/an vu la quantité d’autres bons jeux à faire tourner et en fonction des dispos des autres joueurs a gérer également. Donc si il faut attendre 2 ans et ne jamais avoir de nouveaux joueurs a la table avant d’enfin sortir l’extension, c’est pas gagné 
. Heureusement les joueurs sont confirmés donc ils absorbent…
Si on vous écoute on ne doit faire que des jeux de bisounours tout plat sans saveur.
Faire un jeu sur la mafia ne veut pas dire faire l’apologie de la mafia.
Quand on sait que le thème de Coffee Trader à la base était sur la production de drogue et que pour ne pas choquer il a préféré se tourner vers le café je trouve ça dommage.
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Non.
Bah un peu quand même si rien dans le jeu ne vient apporter un handicap au fait de choisir une option qui tue en masse des innocents. Apologie, sans doute que c’est trop fort en effet et ce n’est pas le bon terme ni le bon risque.
Mais banalisation des violences, ça oui.
Je trouve ça au contraire intelligent.
Tu as souffert en jeu du changement de thème ? Il t’a paru, je te cite, « tout plat et sans saveur » ?
Parce que comme tel, je peux le sortir avec un public bien plus nombreux…
Pourquoi cacher la vérité ?
Si les joueurs n’arrivent pas à faire la part des choses qu’ils fassent autre chose.
Ce n’est pas parce que je vais jouer à la Famiglia demain que je vais décider d’aller faire sauter des bombes ou que j’encourage des gens à le faire.
Ce n’est pas comme ci les fonds pour l’acheter allaient financer le FLB ou l’IRA.
Ça devient n’importe quoi.
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Alors Coffee Trader, je n’ai pas forcément envie d’y jouer. Mais avec le thème « production de drogues », ouais, ça m’aurait botté.
Mais j’ai encore SuperGang. Un jeu où l’on vend de la drogue, on braque des petits commerces, tue des flics et où on peut finir le travail et faire un tour à l’hôpital pour abattre un membre d’un Gang adverse blessé. A l’aide de cibles et de pistolet à fléchette. Et, ah oui, j’ai fait mes premières parties, j’avais pas 12 ans.
J’ai mal tourné depuis.
Je suis gauchiste.
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Je suis totalement dans la même dynamique que @zythum de ce côté là, un jeu n’est rarement qu’un jeu justement, à moins d’être dans l’abstrait, et encore ça peut se discuter pour certains. Un thème est très souvent lié à un imaginaire, et celui qui est mis le plus en scène dans le monde du jeu est (de façon écrasante) celui d’un homme occidental des pays du nord.
Avoir ce profil n’est pas un problème en soi, mais avoir conscience des biais qu’il engendre et du recul nécessaire à avoir avant de traiter un thème non pas simplement comme un décor carton pâte, mais comme quelque chose qui peut avoir un impact sur le public, passe par un décentrement. Compte tenu du profil type du joueur moyen de JDP, il est logique que le problème éthique, confinant parfois à un manque de respect historique (Les humains du paléolithique ont été « blanchis » par l’éditeur dans Paléo) soit un point aveugle aux yeux de certains. Là encore vient se poser la question de la maturité du milieu du jeu, sa capacité à s’ouvrir à d’autres regards, à chercher d’autres angles en ce qui concerne le contenu thématique et finalement à tout simplement se pencher sur ses impensés.
Pour finir, je ne saurais que trop recommander cette table ronde (en anglais) de Homo Ludens. Il est assez intéressant de remarquer que la communauté des wargamers/joueurs de jeux historiques, est beaucoup plus au fait de ces problématiques que le reste du milieu du jeu :
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15% de remise ça sera le même prix qu’en magasin quoi (voir plus).
Je n’ai pas le souvenir d’avoir entendu des propos comme ça quand le disparu Serge Laget avait sortir le « Gang des tractions avant ».
J’aurai largement préféré que le thème de Coffee Trader soit autour de la production de drogue, ça aurait rajouté du sel dans l’interaction entre joueur.
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Je n’ai jamais dit que jouer à des jeux à thème « maléfique » changeait la trajectoire de quelqu’un.
De la même manière que jouer à un jeu vidéo violent ne rend pas violent (mais y’a eu beaucoup de littérature là-dessus et c’est complexe).
Je dis que ça banalise une forme de violence. C’est différent. Et que ça peut être irrespectueux de gens qui ont eu à souffrir de ces violences.
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Supermeeple aurait-il pris le risque/pari de le sortir si le thème avait été la drogue ? Perso, j’en doute. Donc la question se pose surtout du côté éditeur : comment mieux vendre mon produit, dans un marché de niche et/ou grand public ?