En vendant autre chose que des jeans ?
Et le fait de leur faire de la pub en bien, fait que d’autres personnes achètent chez eux
En vendant autre chose que des jeans ?
Et le fait de leur faire de la pub en bien, fait que d’autres personnes achètent chez eux
En fait, la recherche de frugalité du consommateur peut faire écho à une recherche de frugalité de l’entreprise. La logique de la croissance financière constante est une construction sociétale liée au capitalisme. Mais il y a des entreprises qui font le choix de vivre, de travailler sans chercher à grandir à tout prix.
Donc ça peut faire sens, même dans le textile qui est un secteur complètement wtf en termes de croissance, de voir des PME (TPE ?) chercher une croissance raisonnée.
Par contre, je ne sais pas comment tu fais pour user un Levi’s à l’entrejambe au bout d’un an. Enfin, j’ai une idée mais bon (NSFW).
Blague à part, les pantalons usés entre l’entrejambe, cela se réparent très facilement chez un couturier pour qq piécettes
Je te soupçonne d’avoir écrit tout le reste de ton message juste pour finir par ça
Levi’s je trouve ça vraiment pas quali pour le prix perso.
Faut que tu passes aux kilts.
J’ai peur de ce qui s’userait si je ne portais pas de jeans.
Perso c’est surtout les coins de la poche du jean qui s’abîme vite à cause des smartphones.
Tu peux tenter la vasectomie, réalisée avec un sécateur.
C’est le post « Désir de nouveauté », il est possible d’avoir des blagues nouvelles ?
Il manque la réponse E :
« Voilà les Daltons. »
Comme souvent avec Jo Dassin, c’est de l’appropriation culturelle.
Je sais pas si le terme d’appropriation culturelle est le bon dans le cas de Jo Dassin mais oui la plupart de ses titres sont des repompes de vieux standards américains (mais pas traduits, les paroles sont remplacées par des trucs qui n’ont rien à voir en français )
Oui, je ne sais pas dans quel mesure c’était du pillage ou bien s’il y avait un cadre plus légal et sain avec paiement de royalties mais c’était presque la base tellement tous les artistes de cette période faisait ça (en connaissance de cause ? Les maisons de disques ?).
C’est peut-être plus noyé dans la masse et mieux encadré de nos jours mais ça reste tes courant, parfois sans qu’on s’en rende compte. Et il y a encore quelques problèmes de droits/plagiats qui arrivent.
Bref, la remarque est intéressante mais ça n’était pas vraiment le sujet de la blague.
Comme Johnny, Schmoll et plein d’autres. Et ça existait dans l’autre sens (l’exemple célèbre c’est Comme d’habitude > My Way). Il me semble que dans les années 60 ça se faisait parfois sans demande ou cession de droits d’auteur car en l’absence d’accords internationaux le droit le permettait (au moins dans le sens us > fr) ; en tout cas il y a une histoire comme ça, il faudrait vérifier je ne me souviens plus bien. Ça avait l’air d’être un beau bordel la propriété intellectuelle à l’époque (souvenez-vous dans les bouquins on voyait la mention « tous droits réservés - y compris pour l’URSS »).
Ce que je trouve fou c’est qu’on hésitait pas à changer complètement les paroles en mode "rien à battre"comme dit @BaneRequiem.
Pour Joe Dassin on va quand même rappeler qu’il était binational et qu’il est né à New York. La famille a juste fui le maccarthysme et a déboulé en Europe - son père était pas le dernier des clampins niveau cinéma, ça n’a pas du être trop difficile.
:: edit :: on s’est croisé @masterzao !
C’est pas Myke Brant ça plutôt ? Je les confonds toujours… Y’en a un qui louche et l’autre « censuré ».
J’avais fait exprès une réponse à la con car je n’avais pas envie de commenter plus que ça les images.
Une encyclopédie le @Papier
J’ai pas mal bossé sur les notions de copie et de plagiat (et donc des droits qui s’y rapportent) quand j’étais aux Beaux-Arts mais uniquement dans le domaine plastique. D’où mon imprécision sur le domaine de la musique, mais l’histoire est assez connue, je pense que quelqu’un ici viendra complèter et corriger. J’ai échangé mon cœur de rocker contre un foie de punk.