L'image de la femme dans la société (... sujet sans boobs)

chuchote/on
Dimanche soir, en regardant Lapix et Delahousse sans le son, je me suis dit qu’on dirait vachement Barbie et Ken
chuchote/off

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Je réponds juste sur cette BD., pas sur le reste de ton message.
Pour moi, cette BD est une caricature de ce que je trouve partisan et biaisé chez les feministes utra auxquelles @uphir faisait allusion.

La BD ne parle que d’une chose : L’homme DOIT faire comme la femme veut. Et elle tente de donner plein d’arguments pour aller dans ce sens. Arguments fallacieux comme je l’indique ci-après.
Mais… Déjà, à la base, c’est complètement con ! Le but est de remplacer le patriarcat par du matriarcat alors ? C’est juste inveser les pouvoirs ?
On est pas du tout dans la recherche de l’égalité homme / femme.

Passons aux arguments de la BD :

La BD pose un constat : La femme sait ! La femme sait comment tout faire mieux que monsieur. Alors monsieur n’a qu’à écouter, apprendre et se taire.

L’arguement de « la femme sait » est une fumisterie.
Ca veut dire que si on met deux femmes ensemble, elles feront tout de la même façon ou presque et qu’elles auront la même vision de faire les choses ?
Etonnement, si on oppose les femmes entre elles dans la vie, elles ne font pas de la même façon, et parfois, elles se crèpent le chignon !
Je dirai même que les relations belle mère / belle fille sont plus que chaotiques dans pas mal de cas. Même chose pour les mères qui veulent donner des conseils à leurs filles dans l’éducation de leurs enfants. Elles n’en veulent pas de leurs conseils. Elles ne veulent pas que quelqu’un d’autre leur impose une façon de faire.
Contrairement à ce qui est dit, les femmes ne savent pas : Elles ont leur propre façon de faire. Il suffit de demander à un groupe de filles comment elles lavent le linge : Quel mélange, quelle température : Faites le test, vous verrez qu’elles ne font pas toutes de la même façon !
Et on retrouvera la même différence entre les hommes : Nous ne lavons pas non plus de la même façon. On retrouve ces différences dans tous les domaines : recettes de cuisine, fréquence et façon de faire le ménage, les vitres… Bref cela concerne toutes les tâches ménagères, et il n’y a pas de convergence de genre.

Autre postulat : La femme est dans le préventif et l’homme le curatif.

Ca aussi ça sort du chapeau. Et c’est surtout sexiste : Je croyais qu’on devait justement ne pas opposer les genres : La femme à la cuisine, l’homme dans le salon, c’est pas bon. Mais la femme est dans le préventif et l’homme dans le curatif ça on peut ?
C’est une idée reçue, comme il y en a tant : L’homme sait ranger le coffre de la voiture et pas la femme, la femme n’a pas un bon sens de l’orientation…

La BD donne des solutions toutes basées sur le même principe : L’homme doit obéïr ! Pour arriver à dire au final, et bien s’il ne fait pas comme vous le souhaitez, vous devriez peut-être le foutre dehors.
C’est oublier que l’homme peut aussi décider de foutre la femme dehors si elle transforme une relation de couple en relation de maître à exécutant.

Au final, il n’est pas une fois proposé de s’écouter et d’échanger. C’est ce qui me semble pourtant important dans un couple pour régler les conflits et trouver des solutions.
Bref : C’est de la merde !

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Si j’ai cité cette BD, c’était surtout pour les « stratégies d’évitement » aux taches ménagères, plus ou moins conscientes, qui me semblaient plus ou moins familières ( dans le sens déjà observées, pas forcément dans mon cercle familial).

Cette distinction préventif/curatif ne vient pas de l’autrice de la BD, mais de Titiou Lecoq, et est introduite par « les femmes tendant à … et les hommes … ». Dans les bulles de citation, c’est moins nuancé, pour garder un côté condensé sans doute, mais certes un peu raccourci.

J’ai tendance à trouver que certaines situations correspondent plus à des situations de la « génération d’avant », celle de mes parents en gros, où les femmes géraient presque toutes les tâches ménagères car de toute façon « c’est mal fait » si c’est Mr qui s’y colle. Et soit c’est effectivement le cas, soit c’est madame qui a du mal à lâcher prise (ou un peu des deux).
Ma mère a suivi des cours d’école « ménagère » ou un truc du genre.

Mais cette opposition préventif/curatif d’après moi, rejoint la charge mentale : tout prévoir, anticiper, à l’avance pour éviter de tout faire au dernier moment, de façon plus ou moins organisée, ce qui est sans doute gérable si on est solo ou en couple, mais plus compliqué si on a une famille.
Le fait est que cette opposition m’est aussi familière.

Moi je comprends « coopérer » dans les taches domestiques

euh … :
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Or donc, @masterzao, pour en revenir (avec beaucoup de retard, je m’en excuse !) à tes questionnements sur l’aspect juridique des infractions sexuelles. Tout d’abord, tu cites, certes avec une pointe d’humour, l’affaire Johnny Depp / Amber Heard. Un cas très intéressant à étudier, et ce même si je ne vais pas revenir sur les différences entre le système judiciaire US et le système judiciaire français (modèle accusatoire vs modèle inquisitoire, magistrats élus vs magistrats nommés, jury populaire vs juges professionnels, etc…).

Tout d’abord, il convient de rappeler que la plainte (déposée par Johnny Depp) l’était pour diffamation. En effet, Amber Heard s’était fendue d’une tribune dans un journal où elle se présentait comme une victime (survivante) de violences physiques et sexuelles commises par son conjoint (à l’époque, donc, Johnny Depp, bien qu’elle ne le cite pas). Ainsi, la juridiction n’était pas appelée à se prononcer sur le fait que l’acteur ait commis ou non des violences sur sa compagne mais bien sur le fait que les propos qu’elle avait tenu étaient diffamatoire (de nature à porter atteinte à son honneur ou à sa considération), avec à la clef un préjudice (financier essentiellement !) important. Par ailleurs, suite au dépôt de plainte de Depp, Amber Heard avait elle-même déposé plainte contre son ex pour… diffamation également. On parle bien évidemment d’acteurs, donc des personnes au train de vie plus que confortable, et dont l’atteinte à la réputation constitue forcément une perte sèche importante. L’enjeu était donc avant tout une affaire de « gros sous ».

Mais il est important de retenir encore une fois que ce procès n’avait pas vocation à se prononcer sur la réalité des violences tant physiques que sexuelles subies supposément par Amber Heard. Et c’est à mon sens là où ses avocats se sont fourvoyés dans leurs plaidoiries, en tentant de démontrer que « oui, Depp avait été quelqu’un de violent » là où ils auraient dû se concentrer sur « oui, les propos de Depp (en niant les faits et en entamant une procédure) ont porté atteinte à la réputation » de leur cliente.

Néanmoins, ce qui a surtout desservi Amber Heard (et là où je voulais en venir), c’est que sa parole a été très vite décrédibilisée. Les avocats de Johnny Depp, très impressionnants au demeurant (oserai-je dire que c’est une prestation à montre dans tous les Barreaux de France et de Navarre), ont rapidement levé des mensonges dans les déclarations d’Amber, et dès lors, à partir du moment où vous faîtes naître le doute dans l’esprit des jurés, j’ai envie de dire que c’est gagné !

Un exemple très concret ? Ils ont interrogé Amber sur d’éventuelles violences qu’elle avait pu commettre sur sa précédente compagne (avant Johnny donc !), et bien évidemment, Amber Heard, pour ne pas paraître sous un mauvais jour a nié en bloc. Les avocats de la partie adverse ont alors sorti de leur chapeau une une d’un magazine people remontant à plusieurs années et indiquant que Amber Heard avait été interpellée à l’aéroport par la sécurité suite à des violences commises sur sa conjointe au moment des faits. Effet dévastateur bien évidemment ! Qu’importe qu’Amber Heard n’est pas été condamnée suite à cet incident, qu’importe que la victime ait finalement dit que ce n’était qu’une dispute. Le simple fait d’avoir montré qu’Amber mentait sur un point, même sans rapport avec la procédure instruite, fut tout simplement terrible (et se reproduisit plusieurs fois durant le procès).

Dans le jargon, on parle « d’enfoncer un coin » (dans la procédure).

D’où la chose importante que je voulais mettre en avant. Dans ma pratique professionnelle, j’avais coutume de dire à mes victimes, au delà de lui exposer clairement les enjeux de la procédure et l’importance de matérialiser la contrainte comme je vous l’ai expliqué, « ne mentez pas ! ». Il n’y a rien de pire que de découvrir qu’une victime a menti, même sur une détail insignifiant sans rapport avec les faits.

Souvent, et @zythum en a parlé brièvement, les victimes sont honteuses. Parce qu’elles se sont laissé séduire par le / la mis(e) en cause. Parce que peut-être elles ont pu laisser penser qu’elles étaient d’accords pour un rapport. Peut-être ont elles fait le premier geste, ce qui ne saurait induire qu’elles d’accord pour la suite. Bref, ce sentiment peut les amener à arranger la vérité pour d’une part éviter le jugement (typiquement le « oui, mais vu son attitude, faut pas s’étonner que… ») et d’autre part croire que cela va les servir d’un point de vue procédural.

C’est tout simplement faux !

Un exemple concret ; une femme (désolé @hEnA :wink:), en boîte, donc habillée pour l’occasion, et à qui un homme plait, et qui va « lancer les hostilités » en l’embrassant, à tout intérêt à le dire si plus tard cela se termine avec un rapport forcé dans les toilettes. Parce que si elle cache ce « détail », la première chose que dira l’auteur au moment de son audition c’est ; « oui, mais elle m’a sauté dessus et elle m’a embrassé ! ». Or, si vous le découvrez de la bouche du mis en cause, qui plus est avec son avocat à ses côtés, et que la victime reconnaît qu’elle a « omis » d’en parler, je puis vous assurer que le dossier tombe à l’eau !

En d’autres termes, il est important que le témoignage de la victime soit le plus solide possible. Et pour cela, rien ne vaut la vérité. On peut avoir dix rapports consentis avec une personne, ce n’est pas pour cela que le onzième ne sera pas un viol (ou une agression !). Dans des dossiers où souvent il s’agit de la parole de l’un contre la parole de l’autre, il est crucial que celle de la victime soit inattaquable.

Voilà pour le volet Amber Heard. Désolé, j’ai été un peu long.

Pour en revenir sur ce point :

pour les mineurs il y eu des modifications récentes pour détailler de nouveaux types de délits qui vont dans le bon sens, au détriment d’une lourdeur administrative accrue, de procédures plus complexes et longues ?

Les procédures ne sont pas forcément plus longues ou plus complexes, mais en créant de nouveaux délits, on « oblige » tous les acteurs de la chaîne pénale à ingurgiter des textes supplémentaires. Il y a en France déjà plus d’une cinquantaine de codes de loi, du « célèbre » Code Pénal au méconnu Code des Postes et des Télécommunications. Nul n’est censé ignorer la loi, c’est un fait ; mais plus on met de règles et moins il est facile de les apprendre !

Après, je ne vais pas faire mon pinailleur ; dans l’ensemble, ces nouveaux délits, qui concernent essentiellement les infractions qui peuvent être commises sur un(e) mineur(e) par l’intermédiaire d’Internet, sont plutôt pertinent… même si le précédent « corruption de mineur » permettait déjà de caractériser la plupart de ces « nouvelles » infractions.

Ce qui m’amène à ton second point :

Je ne sais pas si c’est pertinent mais je trouvais que la piste de « mieux » définir ce qu’est une contrainte, notamment celles plus floues sur les rapports de force ou d’influence par sa position socio-économique, le poste occupé, etc. semblait intéressante.

Je dois t’avouer que j’aime le flou de la notion de « contrainte ». Cela permet de qualifier par exemple l’influence qu’aurait un(e) professeur(e) de musique sur son élève, un(e) peintre sur son modèle, un ambulancier privé sur une jeune majeure handicapée (cas réel, d’où l’abandon du genre neutre), etc.

Si l’on devait énumérer par le menu une liste des positions qui constituent une « contrainte » par rapport à la victime, nul doute que l’on trouverait des avocats très pointilleux pour trouver la faille qui sert leur client. Alors bien évidemment, cette notion un peu abstraite de « contrainte » nécessite qu’on la caractérise, et cela demande plus de travail que si l’on avait une définition très précise, mais encore une fois, avec une victime bien (in)formée, c’est un « plaisir » (notez les guillemets) de démontrer que oui, l’auteur exerçait bien une « force irrépressible à laquelle la victime ne pouvait que se soumettre » au moment des faits.

D’où, et je n’ai pas changé d’idée, le mauvais message passé par les associations féministes militantes qui consistent simplement à dire que « trop d’affaires de viol sont classées ! » alors qu’il faudrait au contraire conseiller les victimes, travailler avec elle, pour faire ressortir ce pourquoi elles se sont senties « obligées » de faire ce que l’auteur voulait.

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L’attente en valait la peine, c’est toujours aussi « plaisant » de te lire, merci.

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Désolé pour les familles qui ont eu des membres amputés…

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Bizarrement, quand je dis que je contacte une université, le service des impôts, la mairie, jamais personne ne pense que j’ai contacté l’intégralité des personnels de ces institutions. Je ne vois donc pas en quoi TF1 info laisse une quelconque ambiguïté sur le fait qu’il est évident que Mme De Haas n’a pas contacté l’intégralité des membres de la LFI.

De même, je ne vois pas ce que j’ai pu dire qui pourrait laisser entendre que j’accusais Mme de Haas d’avoir « laissé courir tout ce temps ». La calomnie et le très mauvais gout me semble être de l’autre côté.

Le remplaçant de Mr Bouhafs est aussi un arabe de gauche (aucune idée s’il vient de banlieue), qui a été élu d’ailleurs (félicitations à lui) et je n’ai pas vu passer d’insultes racistes contre lui (ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en a pas eu).

Mon point de vue maintenant, c’est qu’une accusation ne devrait pas entraîner le retrait d’une investiture, il y a trop d’abus possible. Dans le cas de Mr Bouhafs, il n’aurait jamais du être investi (toujours de mon point de vue) du fait de sa condamnation.

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Il y a eu Maïté. Le chef Darroze n’est pas un canon de minceur non plus.
De plus, si j’en crois Benoit Hamon (désolé, je ne suis pas aller chercher la source initiale): « En France, 41 % des hommes et 25 % des femmes souffrent de surpoids ». BENOÎT HAMON : « En France, 41 % des hommes et 25 % des femmes souffrent de surpoids » – FactoScope 2017-2022

On devrait donc voir près de deux fois moins de femmes en surpoids que d’homme. C’est d’ailleurs plus la représentation des personnes en surpoids qui ne se fait pas à la télé.

Pinaillage à part, oui, je pense aussi que la beauté (pour relatif que ce soit) est un élément qui est pris en compte pour les femmes et beaucoup moins pour les hommes à la télé. Et que c’est nul (s’il fallait préciser).

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Pour rester sur les journalistes sportifs féminins, celles de la chaîne l’Equipe ne sont pas vraiment des canons de beauté donc on l’a notre avancée.

Euh, ce n’est clair que pour ceux qui sont prêts à le lire comme ça. C’est le propre du journalisme que d’être le plus précis possible, c’est d’ailleurs pour ça que Le Parisien précise bien que c’est une cadre, et non pas le groupe dans son ensemble, éthique journalistique, tout ça…

Décidemment, soit vous ne comprenez pas (ou ne savez pas), soit vous êtes définitivement de mauvaise foi sur ce coup là, Taha Bouhafs était une figure publique bien avant son investiture, des centaines de milliers d’abonnés sur Twitter, une exposition médiatique forte, Zemmour, comme Naulleau en parlaient en des termes peu élogieux sur tous les grands plateaux d’information, lui prêtant des affiliations avec tout et n’importe quoi. Il a même son portrait dans Libé :
Taha Bouhafs, journaliste à clivage découvert – Libération (liberation.fr)

C’est donc, sans commune mesure avec le nouvel investi qui était un parfait inconnu jusqu’à maintenant.

Pour le reste, j’ai le point de vue inverse, donc aucun risque à ce qu’on tombe d’accord.

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C’est à dire que tu penses que l’existence d’une condamnation antérieure ne devait pas faire obstacle à son investiture ?

Sauf qu’encore une fois contacter un organisme n’a jamais été synonyme de contacter toutes les personnes de cet organisme. Donc il n’y a aucune ambiguïté.

Idir Boumertit est un adjoint de la maire de Vénissieux (la plus grosse ville de la circonscription) depuis 8 ans, donc peut-être un inconnu au niveau national, mais certainement pas un inconnu au niveau local.

Edit: D’ailleurs le PS et le PC local ont envisagé une candidature dissidente face à Mr Bouhafs, ils ont menés une campagne raciste aussi?

Sa condamnation est d’ordre politique. Il a insulté Linda Kebbab « d’arabe de service », étant lui même arabe, il est fort possible que l’élément aggravant fût qu’elle soit syndicaliste flic. Il y a bien plus grave.

La fameuse justice politique (de droite donc?).

Effectivement, il me semble impossible qu’on puisse tomber d’accord.

Je ne rebondirais même pas sur votre avant dernier message.

Ben c’est dommage. C’est la confrontation des points de vue même irréconciliables qui est éclairante.

(Juste pour info, il est habituel sur le forum de tutoyer les autres membres. Mettre un vouvoiement instaure une distance qui peut paradoxalement s’assimiler à du mépris, en tout cas est contraire à l’usage.)

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Oui et non. Il y a des cas où je pense qu’il vaut mieux stopper là. Sur ce point je suis d’accord avec @BierrePourdieu

Et, au besoin, je n’ai pas mal pris le vouvoiement.

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Non : sa condamnation est judiciaire : elle a été prononcé par un tribunal : le tribunal correctionnel de Paris pour INJURE PUBLIQUE A RAISON DE L’ORIGINE (qui a motivé sa décision au regard de la LOI); pas par un parti (il a été ensuite « sanctionné » par « son » parti qui lui a retiré son investiture). Etre « arabe », « connu », « journaliste » ne le soustraie pas à la loi.
Et oui : il a été lui-même victime d’attaques racistes odieuses.

Etre arabe n’empêche/n’autorise pas de proférer des insultes racistes ou à raison de l’origine envers d’autres arabes. La loi doit s’appliquer également pour tous.

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J’aimerais vraiment vivre dans votre monde ou la justice est toujours parcimonieuse, insensible à la polémique et au jeu politique. Ce sont des humains qui rendent les jugements, avec leurs sensibilités, leurs positions idéologiques, leur subjectivité en somme. Que la justice rendent des jugements est une chose, c’est son pouvoir, il est accepté. Maintenant, libre à chacun d’aller voir si les « injures publique à raison de l’origine » sont toujours traitées aussi rapidement et avec autant de force, dans des cas similaires.

Mais bref, je m’arrête là, H.S complet.

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Ils rendent d’abord des jugements EN APPLICATION DU DROIT. Ceux-ci peuvent d’ailleurs être contestés.
Tout ce que tu évoques, ça n’en fait pas pour autant une « condamnation politique » comme tu le suggères. Ce qualificatif te permet juste de décrédibiliser cette décision et d’exonérer le coupable. Pratique. Ils sont nombreux à faire ainsi : dès qu’ils sont condamnés, c’est politique, c’est une justice aux ordres, c’est une justice partisane, une justice à deux vitesses … Coucou Zemmour et consorts …

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