Ah mais carrément ! C’est mon portrait craché !
D’ailleurs je suis tellement négatif que je ne pledge jamais vu que c’est que de la merde les jeux…a part peut-être un ou deux ou…
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Objectivement, vous n’apprendrez rien. Et puis surtout ce type de lieu est à la solde de quelques intérêts économiques qui tentent de préempter le secteur. Cela fait parfois un peu pitié à observer mais c’est ainsi.
Hahahaha je vais bientôt préempter le secteur. Partout. Gyahahaha. Regardez moi toute cette préemptation. Que je suis machiavélique !
La partie des gros jeux de plus de 100 balles est drôle.
Il ne faut pas faire n’importe quoi avec leur univers fétichiste.
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Eh non, une victoire et une défaite
Pour la défaite, il fallait que mon adversaire fasse au moins 7 épées sur 8 dés. Et s’il n’y arrivait pas, il fallait que je fasse 2 épées sur 4 dés pour gagner.
Avant tout faire du fric et l’écologie passera après.
Il a bien expliqué la mentalité des éditeurs de jeu de société traders
Il y a de très nombreux livres disponibles sur le sujet et vous en retrouverez en lien ci-dessous si cela vous intéresse.
J’ai beau chercher, je ne trouve aucun lien, à part de l’auto-promotion pour son bouquin
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Mais bien peu d’éditeurs ont le courage de relocaliser leur production. Ils ont peur de perdre quelques centimes sur leur marge et ne voient pas plus loin que leur bout de nez.
Je me disais bien que c’étaient des creuvards ces éditeurs
Pour qq centimes ils ne font pas tourner l’économie locale
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Fixer 
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Lui non plus n’a pas fait tourner le commerce local d’ailleurs. Il a fait imprimer en Allemagne.
Le préambule est d’ailleurs marrant.
Si vous avez l’occasion sur Google Book, quelques pages dispo
Le plus amusant, c’est d’aller voir les commentaires sur ce livre. Ou plutôt le commentaire. Anonymisé. Mais regardons donc ce que ce commentateur anonymisé à commenté d’autre…
Quelle coïncidence, un joueur (aux goûts de, merde) qui s’intéresse au game design…
Mais qui a tellement adoré l’ouvrage sur le trading qu’il a dévoré le reste des écrits de Bob. Il est du coup aussi le seul à avoir lu ce formidable roman de 100 pages qui se lit en 5 heures (bel exploit). Pour le second, et ces conseils entrepreneuriaux quelle lucidité dans la critique (LOL)
Et puis, franchement, ces deux (parties de son cerveau) -là étaient faites pour se croiser : figurez-vous que l’ouvrage merveilleux découvert par hasard était en fait déjà le troisième de cet auteur inconnu. Et il ne s’en était pas rendu compte. Dingue quand même : trois livres en trois mois qui changent ta vie et tu réalises pas que c’est le même auteur…
Allez, je vous passe le suspens : ce n’étaient pas non plus les premiers ! Deux ans avant, il avait aussi critiqué deux autres ouvrages de Bob : un sur l’accompagnement d’enfants autistes, un sur 100 conneries qui ont fait que Bob a foiré ses deux startups.
Voila voila. Ca c’est un lecteur fidèle, peu importe le sujet, il est là. Bravo !
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Je pense que Robert, c’est son nom de famille 
Moi je ne pense pas, ça fait mal. Et si je pense, je vais dire des mots qui pourraient fâcher 
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Bon je quitte ce topic car jen ai fait le tour je pense mais il m’aura fait la journée…
Merci.
Et une petite citation de Mr Colucci
Y a des gens qui disent : « On est cernés par les cons ». C’est vrai, mais on se rend pas compte à quel point.
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Super topic, formidable trouvaille !
Maintenant j’espère que Bob va quand même venir par ici.
Entourer-vous d’un bon avocat pour la relecture de votre tout premier contrat. Cela vous coûtera 250€ mais c’est un bon investissement. Il peut vous rapporter plusieurs centaines de milliers d’euros en cas de succès.
C’est pas lui qui écrit ça?
Je crois que la question, elle est vite répondue.
Erreur N°10 lors de la création d’un jeu de société : Ne vous lancez pas dans l’auto-édition !
Jamais, jamais, jamais !
Je suis le créateur de la maison d’édition Le Jeu Français et j’ai créé et édité au total plusieurs dizaines de jeux de société
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« On retrouve ce type de campagne de Crowdfunding sur des plateformes comme KS&Consors. Au delà de la mécanique de jeu, souvent perfectible, c’est l’univers qui attire les core fans. Les jeux de société pour adultes ont cette niche très spécifique d’anciens joueurs de jeux de rôle qui adorent tout ce qui se rapproche de près ou de loin aux objets collectors. Plus l’édition sera limitée et plus la campagne sera réussie. C’est le prix qui attire ce type de personnalité. Ils veulent acheter à 500€ et revendre un jour à 1000€. Vous voyez un peu le degré de spéculation qui peut les agiter. C’est la raison pour laquelle il y a de très forts enjeux à leurs yeux sur le contrôle total des « franchises ». Il ne faut pas faire n’importe quoi avec leur univers fétichiste. L’univers des jeux de société pour adultes ne peut se résumer à ce micro segment. Il y a bien plus épanouissant que ce genre de préoccupations, vous le reconnaîtrez. Et puis, très souvent, ce sont les marques elles-mêmes qui pilotent toute cette frénésie parfois un poil fake. On se demande comme cela peut durer aussi longtemps alors que sur le fond, la plupart des mécaniques de jeu sont assez pauvres. »
Écrire ça quand tu as essayé de monter une société de financement participatif de jeux de société c’est quand même triste de mauvaise foi 
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Un catalogue très fourni en effet !
On parle de quels jeux pour adultes là ?
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oulah…
Ceux qui font vibrer.
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