J’ai un pote avec qui ça marche… mais uniquement pour Star Wars : Rébellion :o)
Saleté 
Tu l’as essayé au moins ?
Ben non pas encore. La rentrée, le boulot, les enfants, les rhumes, les gastros. Je n’ai pas joué depuis fin août.
Je comprend… enfants en bas age j’imagine… les maladies, ca s’arrangent à partir du CP…mais alors…
…garde le malheureux ! Pour l’essayer au moins une fois !
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Personne n’a dit Root?
C’est un calvaire de motiver mes proches à y jouer… Le concept de « chacun joue un jeu différent » c’est pas hyper vendeur (explications longues) alors que les jeux n’est pas si compliqué.
Pourtant j’ai adoré ma partie et je suis fan absolu du travail de l’artiste !
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Étonnamment Root j’arrive à le sortir même avec des casu à peine sortis de time’s up et blanc manger coco. Merci Kyle Ferrin « oh les pions sont trop choupis »!
Du coup maintenant, après un ou deux ans difficiles ou y’en avait toujours un qui débutait (et zou, à chaque fois partie scriptée), tout le monde dans mon entourage connaît les règles d’au moins les six premières factions. D’autres l’ont même acheté aussi.
Et il se passe un truc cool sur lequel j’aurais jamais compté: j’ai plutôt des réflexions du style « pfff, il est tard, la flemme d’apprendre un nouveau jeu. On se ferait pas un Root plutôt ? ».
C’est devenu le dénominateur commun, le jeu le plus facile à sortir ! Même d’habituels non gamers s’en reparlent le lendemain voire font des vannes en dehors au boulot (« fais pas ton vagabond, tu crois que je t’ai pas vu venir ? »).
Root comme gateway game, qui l’eût cru ?!
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Roots j’ai sorti pendant les vacances l’an passé en famille, on a appris en même temps, et on s’est amusé.
Il faut le même groupe et ceux qui accroche une faction la garde souvent.
Y a des scénarios « casse-tête » mais rien n’oblige à les faire.
Moi j’explique le principe de l’invasion de fin d’année au début du jeu (c’est même le premier truc que j’explique « voilà l’événement auquel il faut se préparer […] bon et maintenant on va voir comment on s’y prépare pendant l’année ») mais ça prend 5-10min avec deux petits exemples (une salle et un couloir) et voilà. Après 10min pour expliquer les actions et les cartes et c’est parti.
Ah oui tiens je l’avais oublié celui-ci : la guerre de l’anneau.
Si jamais, tu envisages éventuellement une vente, cela m’intéresserait, en effet 
(je le cherche - en vain - depuis un bon moment, sur le forum…)
En attendant, je ne peux que t’encourager à l’essayer et à y jouer 
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Dune (le vieux): trop long et 6 joueurs
Respublica Romana: trop long et trop veule
et pourtant j’ai tellement de souvenir des annees 90 avec ces deux merveilles
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Les jeux où tu peux sortir un joueur de la partie, ca n’a plus trop la côte, dans mon cercle de joueur c’est pas envisageable…
C’est sûr que quasi-plus aucun éditeur ne s’y risque désormais…
Mais j’ai pas le souvenir que ça nous gênait tant que ça. Le premier éliminé souvent regardait le jeu des autres, ou servait « d’équivalent MJ » pour arbitrer, enfin selon le jeu on trouvait quoi.
Et puis dès qu’un autre petit camarade est éliminé, y’a pléthore d’autres jeux à lancer en parallèle à côté, tout en gardant un oeil sur la partie.
Je comprends bien qu’il ne faut pas que ça, que c’est aujourd’hui considéré comme une erreur de design…
Sauf que j’en suis pas sûr, ou disons que ce n’est pas systématiquement une erreur.
La preuve ? Éliminer ce type de game design a éliminé de facto certains jeux, comme ceux cités.
C’est dommage, il faut de tout. Un jeu impitoyable avec les moins bons n’est pas forcément un mauvais jeu. L’élimination directe n’est pas forcément une catastrophe. A tout prendre je préfère peut-être ça au kingmaking…
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Tout dépend des circonstances et combien de temps dure « la mort » du joueur. Si c’est dans les 15/20 minutes bon ça va encore. Il peut aller aux toilettes / recharger les verres vident / fumer sa clope / checker la bouffe. Si t’en as pour une heure, ça devient plus chiant effectivement.
Je préfère aussi les jeux ou le(s) premier(s) gagne(nt) ou alors les jeux avec un nombre de tours définis.
Mais ce n’est pas rédhibitoire pour moi.
Et à l’inverse être forcé de jouer quand globalement tu n’as plus aucune chance ça peut être pénible si ça dure.
Je me souviens d’une partie d’âge de la renaissance cité plus haut où l’un puis un second joueur était foutu aux 2/3 de la parties… Je crois qu’au final ils auraient préféré être éliminer et faire autre chose que subir les 2 heures restantes de jeu. (bon on parle aussi d’un jeu un gameplay qui ne se ferait plus non plus).
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Ah oui, les fameux soirées loup garoux où le même gus mourrait à chaque premier soir en cas où.
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Ah tiens oui le Loup-garou est effectivement devenu un jeu insortable de par chez moi. Pas tant pour le principe de ses éliminations directes que pour l’arbitraire de ces décisions surtout au début.
L’erreur de game design réside là pour moi.
Diplomacy était devenu très dur à sortir, notamment en raison de ça. J’ai du le revendre même si j’aime beaucoup ce jeu.
Mais même sur un jeu moins long, ça peut être chiant de se faire sortir trop tôt. Je me souviens d’une partie de wanted où je suis mort avant même mon premier tour… Là c’est un souci pour moi, car ce n’est même plus une question d’éliminer ceux qui jouent mal…
Peut-être mon meilleur souvenir ludique, quel jeu !