excuses acceptées.
Pour moi oui ça respecte les règles
pour moi la règle du 7 lettres, je la trouve un peu dommage car ça ne force pas à aller chercher des titres à rallonge ce qui était l’essence/l’esprit de la règle 
MAIS l’important c’est que chacun trouve du plaisir donc ce sera accepté !
Ah bein des titres à rallonge j’en ai, j’ai reçu ça dans une box epub offerte lors du confinement. Pas du tout mon style de lecture mais que ne ferais-je pas pour valider le défi :
Ça sera Scarlett & Browne - Récits de leurs incroyables Exploits et Crimes de mon côté !
Février fini sur le fil hier soir avec moi aussi avec Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo. Je n’en ai pas eu la même impression que l’autre lecteur(tice) du mois. Je suis une bonne cliente quand il s’agit d’Hugo, j’étais tombé sur un extrait de ce texte au brevet et il m’avait laissé de bon souvenir et pour le bac j’étais la seule qui aurait préférée tomber Hugo plutôt que sur Candide.
J’ai adoré la préface, sous forme d’une sorte de discourt qui pourrait être destinée à l’assemblée nationale. malgré la concentration qu’elle demande pour sa lecture. Victor Hugo écrit de la prose avec un rythme de poète et j’ai eu la voie de Luchini dans la tête durant toute ma lecture, quelle délectation.
La mini pièce de théâtre par contre à été une purge à lire heureusement qu’elle n’est pas longue et puis il faut dire que je n’aime pas du tout ce style d’écriture.
Le récit en lui même, vu par les yeux d’un condamné de la haute société est plutôt logique. Je vois mal une personne de la population classique analyser ce qui lui arrive de manière aussi pointu. On sent que l’auteur nous pousse à réfléchir à chaque aspect qui justifie selon lui l’abolition de la peine de mort (il reprend l’exemple de Jean Valjean condamné pour le vol d’une miche de pain et l’approfondi pour voir comment il peut mener jusqu’à l’échafaud). Par contre, on reconnaît moins la plume d’Hugo dans ce récit qui se veut peut être plus tout public pour toucher le maximum de monde.
Pour mars je vais lire Widjigo et pour le roman graphique j’hésite entre Culottées ou L’arabe du futur.
Entre Culottées et L’arabe du futur, je préfère l’arabe du futur parce que cela raconte une histoire qui se suit sur les tomes. Culottées c’est plein de petites histoires sur des personnalités féminines très intéressantes c’est aussi à lire si tu peux faire les deux
Voilà, challenge de mars validé hier soir 
J’avais commencé Scarlett&Browne le 28/02 au soir et j’ai terminé hier soir.
C’est un roman jeunesse (je dirais à partir de 11/12 ans) dans la veine de Coeur d’Encre mais avec un rythme effréné.
L’intrigue se situe dans une Angleterre post-apo (mais pas futuriste, c’est une dystopie contemporaine).
L’héroïne est une aventurière voleuse de grand chemin qui fait une rencontre. Qui va bien sûr ébranler son monde.
Les personnage sont très attachants et loin des clichés habituels. Qu’il est bon de quitter le manichéisme dans les romans jeunesse !
Le tome 2 de la trilogie devrait sortir en juin et je l’attends
En parlant de Boulgakov, Le Maître et Marguerite j’avais trouvé ça bizarre, mais vachement bien (j’ai lu ça il y a looooonnngtemps).
Manchette 
Ce mot n’existe pas en français, il est donc interdit, déso’
Franchement, Werther c’est bien, mais Zweig est largement au-dessus pour moi en « qualité littéraire » pure. Tu nous diras ton avis !
Le mot est pas valide au scrabble …
Tu feras attention, ton mot n’est pas autorisé au Scrabble.
Challenge de mars, expert, terminé !
« Le jour où l’humanité a niqué la fantasy » et c’était cool !
Et pour en parler : musique :
J’ai découvert Karim Berrouka totalement par hasard via « Fées, Weed et guillotines » (35points) chez un bouquiniste de Besancon. Un titre débile pour une historie aussi loufoque qui aurait pu être écrites par fils caché de Terry pratchett et Frederic Dard. J’appris à ce moment là que le monsieur était aussi le chanteur de Ludwig von 88 (ceux qui sont en train d’encouragé louison si vous avez cliqué sur « play »). J’ai plus tard lu « Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu »(55points ! ) un peu moins barré mais variation autour du mythe quand même bien sympathique. Puis le recueil de nouvelles " Les Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables" (69points, promis c’est vrai !) assez inégal mais rattissant large dans les styles avec un peu de tout. Dont une variation autour du mythe de la dame blanche qui m’a beaucoup trop fait rire…
Donc j’attaquais déjà conquis ce « Le jour où l’humanité a niqué la fantasy ». Et bordel que c’était bon. Que c’était con. Que c’était punk.
C’est un roman chorale où tout les personnages se sont passés le mot pour être le plus barré possible. L’auteur connait les clichés de la Fantasy et en joue, s’amusant à réinventer les créatures connus (fées, lutins, licornes, sirènes, etc, etc) leur donnant d’autre forme. Et elles sont toutes furieuses de l’image que la fantasy actuelle renvoie d’elles. (oui c’est absurde). Les créatures fantastiques ont donc un plan machiavélique pour faire payer à l’humanité, et les « héros » vont tout faire pour les en empêcher.
Forcément ça part un peu dans tout les sens, la trame général en elle même est assez convenue et on devine assez facilement les révélations final, mais la façon de narrer tout ça est tellement sympathique que tout est pardonné. Je l’ai lu en deux jours, du mal à le poser car j’avais envie de découvrir la nouvelle situation absurde qui allait découler. Mention spécial pour le 2eme chapitre avec un lutin cracheur de flammes et le combat « final » entre deux punks et un « méchant », tellement absurde qu’on dirait une la partie de D&D entre lycéens.
Bref si vous voulez savoir à quoi ressemble VRAIMENT les lutins et comment les punks ont sauvé le monde…
Petite note sur l’édition : on se plaint des boites vides de certains jeux de plateau mais dans l’édition de livre ça fait plusieurs fois que je me retrouve avec des bouquins qui font beau pavé (430 pages dans ce cas) mais qui sont artificiellement gonflé. Chaque chapitre sera forcément sur la page de droite, avec le titre qui prend un bon tiers de la page. Avec en prime le découpage en 3 parties, chaque partie étant elle aussi annoncé sur sa page de droite dédiée. Ajoutez à ça des chapitre relativement court (ils dépassent rarement la dizaine de pages) et vous vous retrouvez avec un bouquin qui doit contenir pas loin de 50pages blanche…
Je ne savais pas qu’il était aussi auteur de romans.
Ton CR donne envie !
aaaarhhh c’est la panique ! La ville de Lille s’est faîte hackée et donc il n’est plus possible de réserver ni de récupérer ses réservations 
Vont-ils réparer à temps pour que je puisse récupérer ma lecture de Mars ? 
sérieux, mais on vit sur quelle planète ?