Exactement celui que j’ai choisi !
Et avril validé avec les contes initiatiques peuls !
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Classique
Janvier : De type Polar ou Thriller
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, WurrzounetFévrier : Publié avant 1900
Réussi par : Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,Mars : Un roman graphique
Réussi par : Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,Avril : D’un auteur africain
Réussi par : mkoll59, Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, AntoinetteExpert
Janvier : Fiction écologique/écologiste
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, AntoinetteFévrier : Publié avant 1900
Idem menu ClassiqueMars : Dont le titre contient au moins 40 points au scrabble
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuitAvril : D’un auteur africain
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Dites, est-ce que Starfish est une dystopie?
Il est dans ma PAL d’ebook, ça me plairait bien s’il pouvait valider les 2 de mai, j’ai bientôt terminé le Thriller d’un auteur africain d’Avril.
Je dirais oui à la lecture du résumé.
D’ailleurs discworld c’est une dystopie ? J’en ai un en cours !
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Celon moi c’est plus :
petit spoil et encore
Le discworld c’est plutôt un compte rendu géant de JDR 
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Tout à fait. Et donc une dystopie ! Merci pour la confirmation 
Alors l’auteur lui même conteste écrire des dystopies (dans la post face de « au delà du gouffre », avec deux nouvelles se situant dans le monde de starfish)
Mais (vu ce que j’ai lu dans les nouvelles) je suis d’accord c’est carrément dystopique !
En parlant de dystopie ou pas : j’ai fini « l’orange mécanique » d’Anthony Burgess (dystopie ou pas ? j’ai trouvé un blog expliquant que oui alors moi ça me suffit !).
Roman qui a donné le film de kubrik. Petit détail que j’ai découvert en lisant le bouquin, le film suit très exactement la trame du bouquin, sauf le chapitre final qui n’existe pas dans le film. Résultat le final entre les deux change radicalement. (Pour la petite histoire, d’après wikipedia, Kubrik c’est basé sur la version américaine du roman dont le dernier chapitre a été censuré…)
Et donc le bouquin suit le narrateur, Alex, jeune homme chef de gang de 4 personnes ultra violente. C’est coupé en 3 parties, les agissements de la bande, l’arrestation du chef et narrateur puis sa libération.
Le langage utilisé dans le roman passe par des mots d’argots inventé par l’auteur. A la fin on a un petit index avec la traduction des mots. Au début je faisais les aller retour mais j’ai arrêté très rapidement n’y allant qu’en cas de doute sur le sens d’une phrase. Cet argot lui permet de décrire des scènes ultra violente tout en les laissant supportable.
Le coté dystopique vient du pouvoir en place qui n’hésite pas a utilise des méthodes pas super éthiques sur les prisonniers et faire appels à des milice au moins aussi violente que les délinquants qu’elles doivent traquer.
Et pour l’anarchy, je me suis lancé dans Berrouka, comme en mars, avec le club des punks contre l’apocalypse zombie. C’est pas la même ambiance ! 
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Merci ! Du coup banco, je vais lire ça en mai. Je suis vraiment à la bourre pour le défi, 580 pages pour le bouquin précédent, même si je lis vite, je ne lis pas tous les jours et ça prend du temps! J’en suis à presque 80% et c’est un livre que je vous conseille. j’ai un peu l’impression de lire World War Z mais en beaucoup beaucoup beaucoup moins chiant.
Je n’ai ni lu ni vu Orange mécanique 
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Mois de mai semi-validé avec Transparence de Marc Dugain.
Les dystopies c’est pas franchement mon fort, même pas du tout, mais là on est sur un challenge une copine m’en ayant tellement parlé en bien que j’y suis allée les yeux fermés.
J’aurais dû les ouvrir !
L’intrigue démarre bien. Dans les années 2060 en Islande une femme est vue pousser une autre femme du haut d’une falaise. Formellement reconnue la coupable est la PDG de l’entreprise Transparence qui est sur le point de dévoiler leur projet qui va changer l’humanité.
Les réponses de ce qui nous tient en haleine - qui est la coupable ? qui est la femme poussée ? pourquoi ?… - arrivent bientôt trop vite et le reste du récit revient à nous expliquer comment on en est arrivé là, sans rythme, sans saveur.
La prouesse de ce livre est son anticipation finalement assez proche et à de nombreuses reprises on se dit que oui ça serait possible et que peut-être que l’on connaîtra cela, tout en était inquiet du résultat.
Alors mon challenge de mai est semi-validé puisque j’en ai abandonné la lecture au milieu pour commencer celui d’Abundance de Jakob Guanzon dont je sens déjà que j’en dirai bientôt le plus grand bien dans le fil des lecteurs compulsifs.
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Et mai doublement validé avec : le club des punks contre l’apocalypse zombie de karim berrouka. J’ai déjà dis en mars tout le bien que je pensais du monsieur alors on va se contenter de causer zombies.
comme le titre le laisse deviner ça cause d’un groupe de punk dans une apocalypse zombies.
C’est tout pour moi. Merci de m’avoir lu.
…
Donc un groupe de punk disais-je. 7pour être exact.
Les deux punks destroy
Les deux punks à chien
Le punk anarchiste
La punkette anti tout
Et le punk à tout faire spécialiste des film de zombies
(d’ailleurs ce point est sympa, c’est pas super courant des histoires de zombies où les gens connaissent les histoires de zombies je trouve)
Bref on suit tout ce petit monde dans un paris envahi de zombies (aucun changement pour le métro donc, comme le fait remarquer un punk).
C’est très débile, bourré de réf, punk, politique, botanique (oui oui…) et cinématographique.
Forcément il faut un méchant, vu que la mode en ce moment des œuvres de zombies c’est de montrer que l’homme est un zombie pour l’homme et quoi de mieux pour ça que… Le medef (oui après j’ai dis que c’était des réf politique, pas que c’était forcément subtil hein…).
Bref c’est très con (oui je radote un peu). On prend des acides pour oublier que le perif est peuplé de zombies. Puis des antidépresseurs pour oublier qu’on a plus d’acide. Puis on fume de la weed (de mauvaise qualité, limite du foin en fait) pour oublier que les pharmacies sont vides. Ah et on découvre l’âme mélomane des zombies…
Au final je ne sais pas trop si je préfère lui ou fée weed et Guillotine. je penche pour le second car je suis plus San antonio que max brook. Plus audiard que romero… Mais c’était bien cool quand même ! Et no futur !
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Classique
Janvier : De type Polar ou Thriller
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet
Février : Publié avant 1900
Réussi par : Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,
Mars : Un roman graphique
Réussi par : Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,
Avril : D’un auteur africain
Réussi par : mkoll59, Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette
Mai : De type Dystopie
Réussi par : Kyera
Expert
Janvier : Fiction écologique/écologiste
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette
Février : Publié avant 1900
Idem menu Classique
Mars : Dont le titre contient au moins 40 points au scrabble
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit
Avril : D’un auteur africain
Idem menu Classique
Mai : D’un auteur ouvertement anarchiste
Réussi par : Kyera
Mise à jour pour mai, réussit pour moi avec 1984. Ça a été laborieux et je n’arrive pas à savoir pourquoi. Peut-être une sorte de mini panne de lecture, peut-être l’arrivée des beaux jours où traditionnellement j’arrive moins à lire, peut-être le style de l’auteur que je trouve un peu lourd, peut-être un peu de tout ça.
L’histoire et assez basique et je trouve plus un prétexte à une analyse politique de la société qu’autre chose. Le style d’écriture ne m’a pas convaincu. D’habitude j’aime les textes qui poussent à réfléchir mais là ça n’est pas passé.
C’est un peu l’envers des challenges : d’un côté on découvre de nouveaux livres qu’on aurait pas été lire mais de l’autre côté, on lit un livre dans un temps imposé alors que j’ai toujours pensé que chaque livre à son propre temps.
Je lirais le même livre lu quand c’est le bon moment en 10 fois moins de temps que si je me « force » à le lire. C’est comme ça que des livres que j’avais très envie de lire ont attendu quelques années dans ma pile à lire.
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Mois de mai validé avec la lecture de L’Homme des jeux de Iain M Banks (1988).
Un livre qui s’inscrit dans le cycle de la Culture de l’auteur (10 bouquins) mais que l’on peut lire indépendamment.
Une lecture que j’ai plutôt appréciée : un premier tiers un peu laborieux avec une mise en place de l’Univers assez touffu mais les 2/3 restants sont un régal.
On va donc suivre Jernau Morat Gurgeh, le meilleur des joueurs-de-jeux (qui n’a jamais besoin de relire une règle XD), un membre de la Culture, qui va découvrir et participer à l’Azad : le jeu sacré de l’Empire Azad.
Choc de 2 civilisations très (?) différentes qui vont s’affronter par jeu interposé.
C’es très chouette, il y’a aussi des vaisseaux intelligents, des drones millénaires, des planètes de feu…
Ca m’a donné envie de découvrir d’autres livres de la Culture… mais d’abord le 5e tome de Terra Ignota à terminer et un livre écrit en 1986 à trouver
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Classique
Janvier : De type Polar ou Thriller
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet
Février : Publié avant 1900
Réussi par : Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,
Mars : Un roman graphique
Réussi par : Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette,
Avril : D’un auteur africain
Réussi par : mkoll59, Kyera, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette, Mzelle
Mai : De type Dystopie
Réussi par : Kyera
Expert
Janvier : Fiction écologique/écologiste
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit, Antoinette
Février : Publié avant 1900
Idem menu Classique
Mars : Dont le titre contient au moins 40 points au scrabble
Réussi par : mkoll59, Kyera, Mzelle, Wurrzounet, la_chemise_de_la_nuit
Avril : D’un auteur africain
Idem menu Classique
Mai : D’un auteur ouvertement anarchiste
Réussi par : Kyera
Défi réussi pour avril un poil en retard. J’ai commencé mai mais j’ai accumulé du retard, je vais tenter de le rattraper.
Je conseille vraiment la lecture de « L’année du Lion » de Deon Meyer. Une fièvre mystérieuse a décimé 90% de la population. Nico et son père tentent de survivre parmi les pilleurs et les chiens redevenus sauvages. Nico est obligé de mûrir rapidement, avec son père ils vont fonder une nouvelle communauté mais bien que l’humanité soit réduite à peau de chagrin, les dissentions pour le pouvoir demeurent.
Un bouquin qui se lit facilement, avec beaucoup d’action mais aussi une réflexion un peu philosophique sur la nature de l’homme.
Juin : check !
" Juin : Publié l’année de ma naissance"
Encore une fois ça prêtais à confusion. « Publié » OK mais quoi ?
La date de l’édition que j’ai chez moi ?
La date de première publication en VO ?
La date de la première traduction VF ?
J’ai rapidement écarté la 1ere (désolé San antonio) et hésité entre les deux autres. Soit la roue du temps (Publication VO de 1990) ou le silence des agneaux (Traduction 1990). J’ai opté pour le 1er, dont j’avais les 2 premiers tomes (en VF) en me disant que comme ça j’aurais mon livre pour juillet aussi… Sauf qu’en la VO les deux ne forment qu’un donc j’ai lu les deux… (Je considérais que sinon c’était pas valide…)
Donc la roue du temps, Tome 1 l’œil du monde
C’était long et chiant et ça a très mal vieilli.
On est sur de la fantasy ultra classique, héros est un pauvre berger qui va se révéler avoir un destin de ouf guedin, échapper à toutes les embuches par miracle et dont toutes les filles tombent amoureuse de lui au 1er regard, etc etc
Héros est donc obligé de fuir son village avec 3potes, accompagnés d’une magicienne badass et d’un guerrier mega fort, qui s’avéra être un roi ils partent au Mordor détruire l’anneau unique et…
ah non pardon c’est pas le seigneur des anneaux c’est simplement un « hommage », réalisé avec la finesse d’un scénariste de netflix. (Les héros échapperont par exemple aux méchant en passant par le bac… la dernière fois que j’ai vu tant de grâce je regardais un combat de boxe poids lourd).
Non le but des héros sera de rejoindre la ville des magiciens. En chemin ils affronteront bien des périls, dont le principal sera d’éviter que le rigolo de la bande fasse n’importe quoi. La moitié des « évènements » du livre aurait pu être évité si « Mat » était attaché à sa selle.
En soit ça me dérange pas trop, ça me rappelle mes lectures d’ado et puis bon sans un squelette dans la moria on aurait pas de balrog…
Mais putain que le style d’écriture est méga lourd, à un moment je me suis même demandé si l’auteur n’avait pas à la base écrit un manuscrit de 300pages et que l’éditeur lui aurait dis « ok mais tu me quadruple le nombre de pages » tellement c’est rempli de répétitions digne de la rédaction d’un 6eme qui se rend compte que son brouillon fait 3pages alors qu’il doit rendre 2 copie double.
Une petite ferme sur le trajet ? oh le héros se rappelle sa maison.
Une grande taverne sur le trajet ? oh c’est vachement plus grand que celle de la maison
Une femme sur le trajet ? Oh elle n’est pas habillée comme à la maison
Un lac sur le trajet ? oh on dirait le lac de la maison.
Et répété ça pour chaque ferme, chaque maison, chaque femme croisé sur la route…
Quand c’est pas littéralement un chapitre qui commence par un résumé des 3 précédents (merci de s’inquiéter de ma mémoire à court termes) en insistant en plus sur le coté répétitif du schéma narratif… Je m’attendais à avoir un petit « namek va exploser dans 5minutes » tellement on tire sur la corde pour rallonger le tout.
Résultat au bout de 1000 pages les mecs ont fait 30km dans la campagne, rigolo c’est fait maudire dans un passage qui vous fera dire qu’en fait les lemmings ont un putain d’instinct de survie en comparaison…
Et dans les 200 dernière pages… je sais pas trop.
J’ai deux théories, la 1ere comme je disais c’était qu’à la base le manuscrit faisait 300pages et que l’auteur a gonflé le bouquin en rajoutant des épisodes nazes au milieu jusqu’à être accepté.
La 2eme c’est que le mec c’était rendus compte qu’il avait écrit 1000 pages de vent et que s’il voulait avoir une chance de faire un tome 2 fallait p’tet qu’il se passe quelque chose…
Résultat en 200pages on va changer de quête, partir chercher un lieu légendaire, le trouver, tuer 2 asservis (les super lieutenant mythique du grand méchant que tout le monde croyait morts et enterrés) qui passaient par là, défoncer l’armée du méchant qui menaçait de déferler sur les peuples libre, accomplir une prophétie, « tuer » un être mythique et loot 3 objets dont un tellement légendaire que c’est une quête digne des dragon ball que cherche des millier de personnes…
Alors en soit c’est pas super rapide en rythme mais quand les 400pages d’avant c’est deux gus qui se font une rando en forêt je vous jure on a l’impression de lire un speed run.
Bref les 200 dernières pages m’ont clairement donnés envie de lire la suite mais si c’est pour me fader 800 pages de promenade champêtre je suis pas sur que j’aurais le courage…
Une petite note sur la traduction :
Je suis pas du genre à gueuler sur les traductions, je laisse passé avec un sourire amusé des erreurs grossière, généralement les vouvoiements / tutoiements. Mais quand on met en avant « un nouvelle traduction » et que derrière on laisse passé des trucs aussi grossier que « il mit une bonne minutes à répondre » à la question « ça va ? » après s’être cassé la gueule d’un muret et sans que personne ne bouge en attendant sa réponse… Ça rend des passages ridicules. C’est pas le seul passage qui a une traduction un peu « aléatoire » de termes anglais, mais c’est clairement le pire…
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Validé pour moi aussi, je ne me suis pas posée autant de question sur le terme parution. J’ai regardé l’année de parution de l’histoire et j’ai pris la VF.
Du coup, je suis parti sur un basic : une oeuvre de Prachett, j’avais le choix entre la 8eme fille où Mortimer et j’ai choisi la 8eme fille. Une relecture mais sans beaucoup de souvenir de la premier fois (je suis d’accord c’est une honte 
).
Une histoire du disque monde c’est une valeur sûre. Beaucoup d’humour, des descriptions de scènes drolissimes et le tout soupoudré de quelques réflexions sur la société bien senties… Bref j’adore.
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Mois de Juin validé avec la lecture de Forrest Gump de Winston Groom publié en 1986.
Lecture en VO pour garder « l’originalité » non conservée en VF d’écrire comme Forrest parle (avec des fautes). Le niveau de lecture reste très accessible.
Pour l’histoire, ça va pas beaucoup plus haut que le « sympatoche ». Je pense lui préférer le film moins extravagant dans ses péripéties. Bizarrement les parties à la NASA avec Forrest dans l’espace, puis survie dans la jungle avec des cannibales et un compagnon orang-outan n’ont pas été conservées par Zemeckis 
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Bon j’ai dévoré en 8 jours les 700 pages de Bravoure (le tome 2 du Livre des Terres Bannies) de John Gwynne avant de réaliser que le thème de juillet était Fantastique et pas Fantasy 
Je vais donc partir sur Le Trône d’Ebène de Thomas Day qui validera historique et fantastique à la fois.
PS : Bravoure c’est très très bien
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De cet auteur j’avais lu Du sel sous les paupières qui était une très bonne surprise.
Juillet : De type Historique validé avec :
-
Le Réseau Jane de Heather Marshall : On y suit plusieurs femme à différentes périodes au Canada à travers des histoires d’avortements, d’abandons forcés ou de grossesses difficiles. Le réseau Janes c’est le nom donné par l’autrice à l’ensemble des femmes et hommes (médecins/ infirmières/ bénévoles/ …) qui aidaient à pratiquer des avortements dans les meilleurs conditions possibles avant que la loi l’autorise. On découvre aussi comment les foyers accueillaient les filles/mères et leur volaient leur bébé pour le revendre à de « bonnes familles ». On passe d’un chapitre à l’autre et d’une scènette à l’autre pour balayer touts un tas de petites histoire vécues à l’époque … et le tout est rassemblé dans un roman qui garde une grande cohérance et du suspense jusqu’à a fin. Je l’ai dévoré, je me suis projeté dans ses histoires d’autant plus fort que je suis une jeune maman.
-
Une femme blessée de Marina Carrère d’Encausse : j’ai hésité à validé le challenge avec celui là et puis je me suis dit que le récit est malheureusement encore trop contemporain. Mais j’ai envie de partager ma lecture quand même parce que là aussi le sujet est important. L’autrice est médecin, c’est elle qui présente le magasine de la santé sur france 5. Le texte en lui même est vraiment très bon, même si quelques petites fois, on sent que l’histoire est au service de la cause qu’elle défend (j’ai parfois eu un peu de mal notamment avec les dialogues qui ne sonnent pas tout à fait assez juste) mais promis c’est 3 fois rien. Ici on va suivre Fatimah qui arrive à l’hôpital des grands brulés suite à un accident de réchaud. On va découvrir que les femmes de se service sont en réalité rarement là à cause d’un accident et qu’en réalité nombre d’entre elles se sont immolées où l’on été par un proche pour laver leur honneur. Dans un pays où un simple suspicion suffit à remettre l’honneur d’une femme en cause et que tout le monde trouve ça normale, je vous laisse imaginé le nombre de femme gravement brulée accueillies par l’hôpital et le nombre encore plus grand qui décède de leurs blessures. Ce livre c’est le genre de récit de vie qu’on arrive pas à poser et qui en même temps permet d’en apprendre beaucoup sur les mœurs d’autres pays. L’histoire est prenante, le suspense monte crescendo et … bref lisez-le, il est très court.
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Juin : de type Historique validé avec
« Vent glacial sur sarajevo » de Guillaume Ancel.
Guillaume Ancel est un ancien officier de l’armée française. De ses missions à l’étranger il a écrit 3 livres
« Un casque bleu au pays des khmer rouge », sur sa mission au cambodge en 92
« Rwanda, la fin du silence » sur sa mission au rwanda en 94 et donc
« Vent glacial sur sarajevo » sur sa mission à sarajevo en 95.
Ces livres sont tiré pour partis de sa mémoire mais aussi pour partis de ses carnets qu’il écrivait au jour le jour.
Alors oui avec un titre pareil et des missions comme ça vous vous doutez que ça va pas être super drôle, alors je vais mettre la suite en spoiler.
Ca peut choquer, on parle de vrai personnes et de faits pas si vieux que ça.
Ancel raconte donc sa mission de 6mois de janvier à juillet 95 à l’aéroport de Sarajevo.
Pour ceux qui l’ignore on parle d’une guerre civil entre d’un coté les serbes, peu nombreux mais très bien équipé et de l’autre coté les bosniaques, bien plus nombreux mais très mal équipé.
La ville de sarajevo est sous siège depuis 92, les serbes encerclent la totalité de la ville, sauf une petite bande et l’aéroport couvre justement cette bande. L’aéroport étant une zone « neutre » les bosniaques n’ont pas le droit de le traverser. Ils ont donc construit un tunnel dessous, profitant de la proximité de l’aéroport pour « protéger » les entrées. Les serbes ne les bombardent pas de risque de toucher la zone avec l’armée française, ce qui pourrait déclencher une riposte.
Les casques bleu sont présent pour vérifier que les deux camps respectent bien les accords (non utilisation d’artillerie sur des cibles civil entre autre).
Voilà la situation dans laquelle Ancel débarque, avec un rôle de « guidage ». Son équipe est chargée de designer les cibles aux avions qui pourront ainsi déclencher des bombardement plus précis. Pour détruire d’éventuelle agresseur en limitant les risques de dégât autre. C’est la théorie. En pratique aucun ordre de bombardement ne sera jamais donnée. Peu importe les violations. Peu importe les massacres qui auraient pu être empêchés. Le commandement de l’onu (quasiment entièrement français) bloquera invariablement toute demande, parfois à la dernière minute.
Ce récit est dur et donne franchement une vision effrayante des cadres de l’armée française. Des légionnaires seront purement et simplement abandonné dans une situation indéfendable. Les serbes sont prévenue de bombardement qui va arriver, par des militaires français, leur permettant de tendre une embuscade à l’équipe de Ancel. La situation va se dégradé au fur et à mesure. Les deux camps voyant que les casques bleus, chargés de faire respecter l’ordre, n’agissent jamais, ne riposte même pas, vont se lancer dans un concours d’horreur.
Se sentant intouchables les serbes iront même jusqu’à attaquer ouvertement les casques bleus qui auront interdictions de riposter…
C’est un récit éprouvant, qui donne un point de vue de l’intérieur sur l’inaction des casques bleus. Qui montre aussi la différence entre un évènement et ce qui est raconté par l’armée dans les JT de l’époque. Clairement je ne peux pas le conseillé à tout le monde…
Un bémol : c’est un témoignage, écrit plus de 20ans après l’avoir vécu. Forcément il n’est pas fidèles à tout les faits et l’auteur à la fâcheuse tendance à se mettre un peu trop en avant
Mais dans le fond les évènement rapportés sont cohérent avec les autres témoignages que j’ai lu, je pense notamment à celui de Michel Goya qui rapportait qu’une des premiers décision qu’avait pris son équipe en arrivant à sarajevo avait été de ne jamais demander l’autorisation avant de riposter quand ils se faisaient tirer dessus…
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