la création de perso est assez longue, et qu’à chaque fois qu’on change de corps… bah faut créer son nouveau perso. Infernal.
J’ai connu ça dans Nephilim, c’est vrai que c’est contraignant, mais aussi très fun.
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Ouf…difficile de faire un classement mais après près de 35 ans de JdR je dirais (attention mode nostalgie on) :
Ars Magica : de la magie à n’en plus finir avec une diversité illimité de choix pour les personnages
L’oeil noir : le premier jdr rencontré
ADD 2ème édition : le deuxième découvert, très simple 6 caractéristiques et pas besoin d’une liste de compétences, donc simple à prendre en main (une fois qu’on a compris le THACO)
INS/MV : pour le délire
JRTM et Rolemaster : les armures de mithril, la moria…et les tables de critique
Toon : aussi pour le délire
L’appel du Cthllhu : pour la folie qui s’installe en toi
STTNG (ICON) : pour aller « where no one has gone before »
Star wars D6 : utiliser la force…
et GURPS : pour explorer l’univers qui nous plait
(+ Mega 2, Nephilim, Vampire, Pendragon, James Bond, Stormbringer, …)
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Tu m’as rendu nostalgique avec ta liste… 
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Marrant, Ars Magica a été une de mes plus pénibles expériences de JDR.
La faute au MJ bien sûr, qui n’ a jamais réussi à insuffler d’épique dans nos aventures. Mais je dois avouer que je n’ai jamais pigé ce système d’expérience que tu gagnes si tu restes dans ton laboratoire. Moins tu joues, plus tu progresses. Étonnant non?
Pas exactement.
Entre 2 aventures, tu passes du temps dans ton laboratoire qui te permet soit d’augmenter des compétences, soit des arts soit de créer des sorts…tu utilises ce temps « perdu » et selon ce qui arrive, cela peut générer des idées pour le MJ
Oui j’ai grossi le trait dans mon message mais c’est bien ça, au final ça revient au même : l’expérience acquise ne dépend pas des aventures que tu joues, mais des expériences dans ton labo - que tu ne joues pas. Corrige-moi si je me trompe.
Après je le redis, si j’en garde un mauvais souvenir c’est surtout dû au mastering.
L’expérience vient des 2.
Vu qu’une campagne est censé se dérouler, au must, sur plusieurs décennies pour suivre le cycle de vie d’une alliance, cela permet de faire apparaitre la progression des personnages sur ce cycle de temps long…mais il faut que le groupe accepte ce concept qui n’est pas standard dans un JdR
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Allez, j’y vais aussi de ma petite larme nostalgique en écrivant, et surtout en réveillant ma mémoire…
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Guildes : la quête des origines.
Le JdR « école française » dans ce qu’il avait de meilleur, un background original qui pouvait faire rêver comme jamais et permettait une multitude d’ambiances… J’avais lu sur le grog une remarque finalement très juste, « le premier cyberpunk med-fan » et c’était tout à fait ça, mêlé au souffle de l’exploration. Et une direction artistique de toute beauté par le Multisim de la grande époque (le JCC associé était ma-gni-fi-que, d’ailleurs les illustrations avaient été reprises pour Citadelles). Y’avait un paquet de taf pour le MJ que j’étais, mais quelle claque ! Et puis hélas un gâchis par la tournure de la campagne officielle et cette sale maladie des univers « à secrets » qui évoluent pour mieux te vendre des mises à jour du background, perdant petit à petit de sa magie et finissant banalement par une 2e édition très plate et qui saccage son objet (les intrigues politico-commerciales des guildes s’appuyant sur un continent infini non maîtrisable…). Tiens, Léo V. avait participé à la 2e édition, celle qui a raté
. C’est Noël, c’est cadeau. -
Ars Magica
Parce que quand même. Pareil, une vraie claque, et pour une fois la magie est traité pour ce qu’elle est : surpuissante, et sans se soucier d’équilibrer artificiellement pour faire croire qu’un barbare ou un archer à la moindre chance contre un mage expérimenté…
Et une très belle revisite du folklore médiéval européen. -
Shadowrun
Commencé à cheval entre 1ere et 2e édition, autant dire des règles simulationnistes hardcores qui pouvaient rebuter (bon courage pour gérer simultanément une baston en réel, avec des gens à pieds, en véhicules, dans le plan astral et dans la matrice
) mais quel univers incroyable… Au final on simplifiait allègrement les règles pour un résultat privilégiant l’ambiance. Et quelle ambiance ! C’est poisseux, y’a des détectives de film noir, des manipulations de masse par des corpos véreuses, du chrome dans le plus pur cyberpunk, au sens gibsonien du terme… Et des dragons. Qui peut résister ? -
AD&D 2
Pour deux ambiances même pas mutuellement exclusives : les Royaumes Oubliés (un vrai bon univers med-fan en fait, même avec le recul, permettant beaucoup d’ambiances de la high fantasy aux trucs poisseux) et bien sûr Planescape. Du génie sublimé par les illustrations de DiTerlizzi. Qui n’a pas rêvé devant Sigil ?
J’y ai aussi fait jouer la campagne originelle Dragonlance. Classique et de bon goût. -
Legend of the Five Rings
Parce que j’étais fan hardcore du JCC (première époque) et que rejouer là-dedans c’était magique. Et que les écrits, pour certains des auteurs (je pense à Ree Soesbee notamment), pouvaient avoir une vraie prétention littéraire. Je regretterai personnellement un traitement du JdR plus intimiste, moins épique, que le JCC. Fallait s’adapter, et assumer de jouer des seconds couteaux dans un univers où on croisait régulièrement les grandes figures du JCC en arrière-plan. Une expérience excellente… La première fois que mes joueurs ont rencontré Togashi (yokuni…) ils étaient du coup tellement dans leurs petits souliers ! Jouer aux deux versions en même temps (JdR/JCC) potentialisait complètement le truc et assurait d’évoluer dans un imaginaire commun. -
Warhammer
La première et la deuxième éditions, bien craspougnes. Vous vouliez du med-fan putride ? Vous êtes servi. Vous vouliez des héros flamboyants ? Dommage… La campagne de l’ennemi intérieur reste un très grand moment rôlistique. -
In Nomine Satanis/Magna Veritas
On est d’accord qu’on préférait tous jouer à INS qu’à MV ? Ou c’est juste moi ? De la dérision, mais au service d’un vrai univers. Merci Croc. Je vais régulièrement chez le dentiste, je mange des kiwis. Et je fais attention à où je mets les pieds. -
Vampire the Masquerade
Anne Rice revisité en bien. Trop de suppléments, trop de pompe à fric, trop de grosbillisme primaire. Mais si on le joue comme Rein•Hagen (le mec a quand même fait ça et Ars Magica, même s’il vit sur ses acquis depuis, respect) voulait qu’on le joue au départ (punk et intimiste), ça marche. -
Paranoïa
Toute personne ne citant pas ce jeu est priée de se diriger vers l’incinérateur le plus proche… -
Star Wars
Quand même. « L’étoile de la mort, dossier technique », tout ça tout ça… Je suis pas le seul à avoir rêvé devant ça ? -
Deadlands
Un vrai vent de fraîcheur (corrompu, le vent). -
Nephilim
M’a toujours beaucoup plus parlé que l’appel de Cthulhu, personnellement, pour jouer du contemporain. Pitch facile : vous prenez le Pendule de Foucault, et vous considérez que tout est vrai. Miam. -
JRTM
J’avoue, j’ai plus lu que joué. Comme Stormbringer. -
Rêve de Dragon
Pareil. Mais impossible de ne pas le citer. -
Earthdawn
Pas vu cité jusque là, c’était pourtant bien construit. -
Hurlements
Une de mes premières claques. C’était beau, je comprenais pas tout. Mais j’avais envie. Jamais joué à la hauteur de ce que j’en fantasmais cela dit, nous étions trop jeunes pour jouer des personnages complexes. -
7th Sea
Du cape et d’épée sauce américaine, mais finalement ça marchait bien. Comme L5R, potentialisé par le JCC en même temps c’était top. Un peu comme Guildes, peut-être en mieux fini/maitrisé. J’en ai pris la réédition récente par Agate en mode all-in sans réfléchir, et alors que je n’ai pas le temps. Un hommage. -
Heavy Gear
Enfin un bon jeu de méchas ambiance japanime. Excellente gamme entière, pour une fois l’évolution de l’univers était pensée d’emblée avec une signalétique pour MJ devant chaque description (« pas touche, pierre angulaire », « perso avec lequel les PJ peuvent faire mumuse sans risque de flinguer ce qu’on a prévu… ») et une chronologie claire. Beaucoup de possibilités de scénarios très différents. -
Agone
Sympa. Du Guildes en moins bien. Encore une fois, une meilleure promesse dans les livres et le jeu de base que dans la suite de la gamme. Mais une vraie poésie à la française, et quelques trouvailles. -
Raoul
Fallait l’oser. Manu Larcenet aux illus quoi.
Et en vrai, jouable (en one shot). On l’a fait, on s’est bien marrés.
C’était bien un top 20 ?
Nan parce que sinon je peux en mettre d’autres hein.
Allez, un moderne quand même.
21) Dragons
Tout ce que j’aimais est donc toujours là, ouf.
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Mais tout est vrai !
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Là aussi tu me nostalgifisent un grand coup !
J’ai soit joué, soit un peu masterisé quasiment toute ta liste.
C’était l’bon temps !
De bon, et moins bon souvenirs.
J’ai cru ne jamais rejoué et j’ai revendu quasi tout ce que j’avais.
En continuant d’en acheter un peu de temps en temps, juste pour le plaisir de la lecture.
Et finalement, c’est reparti l’année dernière, à fond les ballons !
Même si je ne jouerais sûrement pas a tout…
D’ailleurs je viens de me commander Polaris, en promo chez BBE. Je cherche un bon SF ambiance Space Opera, en fait, mais je n’arrive pas vraiment à trouver.
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Qin
Parce que courir sur l’eau et jouer avec la musique de Tigres et Dragons, c’est quand même merveilleux ! C’est mon JDR coup de coeur. Même si la progression rend les persos complètement pétés et qu’il a fallu tout reprendre dans les règles. C’est d’ailleurs mon perso original qui est mon avatar.
Empire Galactique
Mon meilleur jeu de SF de tous les temps. Un truc de marteau ce jeu. Enfin, disons que mon MJ a su en faire un monde pseristant magistral à la Fondations. Il avait fait une carte du secteur qui se dépliait sur 1m² au moins !
Rogue Trader
Campagne en cours depuis 6 ans. J’aime beaucoup l’univers. Et j’adore mon libre marchand Féodor : Nombriliste, narcissique et soupe au lait qui passe par le SAS quelques sujets de son équipage dès qu’il rencontre une complication… Quand on peut, faut pas se gêner !
Starwars D6
En bon jedi raté, qu’est ce que j’en ai raté des trucs^^
Paranoïa
Parce que c’est vraiment un JDR de fils de … Et que je me suis bien marré dessus
Ars Magica
Moi j’aimais bien apprendre en solo dans l’alliance. Et puis faire la nique aux nobles et au clergé, c’était quand même jouissif !
Ctulhu
Même si j’ai jamais aimé les scénarios officiels, il me reste un souvenir de rouler en trombe dans l’allemagne nazie de 1932 en grosse Bugatti pour bouziller des plans de cultistes et crâmer toute la barraque !
James Bond
Parce que jouer une agent secrète à la Natasha Romanoff 25 ans avant qu’elle sorte au ciné, c’était quand même classe !
J’ai pas de classement mais quand même des jeux chouchoux et des supers souvenirs en fait !
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Empire Galactique, comment ai-je pu l’oublier celui-là !!
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M’étais fait la même réflexion !
Les deux suppléments étaient géniaux de surcroît, ça se trouve encore assez facilement, du moins je les vois souvent chez les bouquinistes. J’adorais le coup des « pélerins gris » (je ne suis plus sûr du nom) : en gros ce sont les premiers colons spatiaux qui voyageaient en sommeil cryo à une vitesse inférieure à celle de la lumière ; ils arrivaient à destination au bout d’un périple durant des milliers d’années tandis que d’autres, partis bien après mais avec une techno de voyage FTL quelconque, étaient déjà installés depuis un bail. Ils avaient une sorte de statut de réfugiés spatio-temporels.
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Je vais dévier un peu, mais depuis que @kordo en a parlé, ça me turlupine de retrouver un bon jeu de space op. Genre… Space Opera (héhé) ou Space Master.
Un jeu sans le côté sombre d’Alien, et pas un jeu issu d’une série ou de films.
J’ai regardé un peu les diverses propositions, mais je ressens pas de coup de foudre.
Polaris je ne ressens pas le souffle épique que l’on ressens en explorant la galaxie et croisant des des civilisations ET.
Dominion et son aspect antico-medieval, pfff… Bof.
J’ai croisé 1 ou 2 autres jeux dans lesquels il y a un environnement religieux comme cadre…
Vous n’avez pas d’autres pistes à me proposer encore siouplait ?
The expanse
Empire galactique
Metal adventures
Star trek adventures
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J’ai The Expanse, je ne l’ai pas encore lu en entier mais j’ai pas mal joué à Dragon Age qui repose sur le même système. Elles semblent assez sympa à la lecture mais en réalité beaucoup dépend de ton lancer de dé (il faut réussir à faire des doubles pour déclencher des effets chèrement acquis par exemple).
En terme d’univers, je ne suis pas sûr qu’on trouve un souffle épique space op, c’est plutôt « réaliste » (avec par exemple beaucoup de point de gestion de la pesanteur selon d’où tu es issu et où tu te trouves).
Il est dans ma to-do list, je ferais un retour… un jour.
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J’y vais aussi de mon petit classement, qui n’en est pas vraiment en un : je serais en fait bien en peine de déterminer ce que sont les meilleurs JDR. Mais je me risque à jeter ici la liste de ceux que j’affectionne particulièrement, par nostalgie ou parce qu’ils représentent pour moi les sources prépondérantes de l’imagination lorsque l’on parle jeux de rôles.
Te Deum pour un massacre j’apprécie tout particulièrement les jeux historiques et le contexte des Guerres de religion constitue à cet égard un univers propice à toutes sortes de péripéties et de niveaux de jeu.
Vampire la mascarade en son temps, Requiem désormais. Là encore, ce qui me plaît particulièrement est la possibilité de dresser un univers riche et foisonnant où intrigues et relations de pouvoir peuvent librement s’exprimer.
Maléfices La nouvelle édition est superbe. J’aime ce jeu pour le cadre historique de la Belle époque et surtout pour le dosage de surnaturel proposé, loin d’un fantastique cauchemardesque, plus proche de l’irrationnalité et de l’étrange.
Wastburg Incarner un garde urbain dans un univers médiéval-très-peu-fantastique a quelque chose de réjouissant dans la banalité crasse de ce jeu où roublardise et opportunisme sont les composants essentiels.
Vermine J’attends là aussi la nouvelle version avec impatience.
Shadowrun Parce que c’est le premier jeu auquel j’ai joué et parce que malgré l’improbabilité de tout ce qui compose son univers, cela fonctionne !
Pavillon noir Quoi de mieux pour jouer du pirate historique ou de l’aventure maritime en général ?
Terra incognita Je trouve que ce jeu est une merveille d’invention, d’écriture et d’évocation à l’aventure.
League of adventure Simple, efficace, de l’aventure, de l’aventure :
Imperator Un jeu plus récent pour jouer dans la Rome antique.
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The expanse : j’avais commencé à regarder, puis partir sur une autre piste. Il faut que j’y retourne.
Empire galactique : j’y ai un petit peu joué vers la fin des années 80. Je trouvais les idées sympas mais… je ne sais plus. J’ai revendu il y a un certain nombre d’années
Je vais regarder les 2 autres.
Merci thanos17
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« Stella Inquisitorus » ?