La question serait plus tôt, que fais tu de ta version si la réédition est moins chère ?
Plus sérieusement je ne suis pas certain de saisir ta réflexion. Le mieux est de te faire une idée lorsque tu auras connaissance du contenu initial de l’offre et des SG qui seront débloqués.
@kristovm entendu, merci de ta précision ! Quoi qu’il en soit tu seras le bienvenue sur la page KS le jour du lancement pour « juste jeter un oeil » sans que l’on te demande " je peux vous aider ?"
Je crois que rendre les usines Sexy et agréables à regarder est un métiers en cours d’évolution !
Il doit y avoir des places à prendre.
Néanmoins cet univers à cette époque ne reluisait hélas pas par son côté glamour.
J’espère que vous avez passé de belles fêtes en solo comme en famille (dans une ambiance compétitive ou collaborative).
Toute l’équipe de C and C Publishing et de The Crowdfunding Agency se joint à moi pour vous souhaiter beaucoup de réussite dans vos projets et la santé pour les accomplir!
Comme votre première bonne résolution de l’année 2023 est de visiter la page de la campagne de Coal Baron qui sera lancée le mardi 17 janvier 2023 sur Kickstarter, je suis convaincu que vous serez intéressé par la nouvelle illustration de la boîte du jeu.
Pour rappel, la première version de l’illustration n’a pas vraiment convaincu les joueurs et joueuses intéressé(e)s par le projet.
Aussi C and C Publishing les a écouté et vous propose enfin une nouvelle mouture qui apparait beaucoup plus centrée sur le thème du jeu et a reçus de nombreuses optimisations visuelles.
Ce monsieur porte un costume noir, couleur réservée aux petits boutiquiers et affairistes, mais indigne d’un vrai dandy. Sa pochette est très inélégament portée, sans panache. Le nœud de cravate semble être un affreux full-windsor au lieu d’un demi. La montre de gousset est portée de travers. Et nadir de l’horreur, le dernier bouton de son gilet est boutonné . Si l’on ajoute l’amplitude de volume des manches (et leur longueur trop prononcée) ainsi que le revers de la veste, microscopique et informe, on est en présence d’un bourgeois nouveau-riche, mais pas du tout d’un dandy.
A la limite, la nonchalance des mains dans les poches pourrait être un léger signe de dandysme, mais bien trop faible face à toutes ses horreurs sartoriales.
Et en plus ce monsieur travaille… comble du commun et du vulgaire pour un dandy dont l’aristocratique oisiveté ne saurait être perturbé que par un éventuel et nécessairement génial don artistique.
Pas trop fan de cette nouvelle illustration pour ma part, et surtout déçu du changement de titre : Gueules noires claquait beaucoup mieux et sentait bien plus la mine !