Avec des espèces de trolls qui courent partout en gueulant… J’vais faire des cauchemars ce soir !
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Voilà - mais c’est visiblement suffisamment fréquent pour que certains éditeurs éprouvent le besoin de faire des boîtes plus grosses. Ce qui dévie quand même du sujet d’origine 
Des boutiques de jeux de plateau. Avec des gens comme nous, pour qui le placement d’ouvriers n’a rien à voir avec Pôle Emploi, et pour lesquels le deck building n’est pas de la construction navale.
C’est tout de même moins hostile qu’un Primark en période de solde.
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Comme l’été dure toute l’année sur la Côte d’Azur et que le soleil ne se couche vraiment jamais, c’est effectivement une certaine façon de voir les choses…
Bonne réponse ?
Andrei Novac évolue dans le milieu du jeu de société :
I used to run NSKN Games before the merger with Board & Dice (2011-2018) and after the merger I am the manager of Board & Dice (2019 - present).
Board & Dice, c’est Teotihuacan, Tekhenu, etc.
Il a fait un message intéressant sur la répartition des différents acteurs (coûts, taxes, marges, etc.) dans le prix d’un jeu.
A noter, il avait fait un précédent message début août sur les transports mondiaux actuellement et le prix des jeux de société
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C’est bien le ressenti que l’on a depuis un moment …
Il faudrait un investissement assez conséquent pour une boite afin de produire avec toutes les technologies chinoises (et leur savoir faire ?).
Et au final pour quel gain ? Même avec le shipping, ça reste moins cher de produire en Chine qu’en Europe.
Il y a d’autres avantages : proximité, emploi et surtout écologie !
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ce qui n’est pas dans les objectifs d’une entreprise
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Et qui reste à prouver
Tout ça se discute. Écologie, que ce soit produit en Europe ou en Chine, ça ne change fondamentalement rien. Emploi… il est probable que produire en Chine fasse au contraire travailler 3 à 10 fois plus de personnes qu’en Europe. Proximité… ça a du sens pour des denrées comestibles. Pour des produits manufacturés, c’est du novlangue pour protectionnisme, préférence nationale/européenne etc.
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Y a quand même une différence niveau écologique, au delà des normes qui ne sont pas les mêmes, c’est quand même l’impact sur le transport, et ce n’est pas anodin.
Surtout quand on se retrouve avec des matières premières qui font l’aller-retour pour être transformées…
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Le transport de fret longue distance n’est pas nécessairement le pire en ratio coût/efficacité écologique.
La réponse à la question de départ pour moi n’est pas évidente, ça doit se modéliser et se calculer (mais c’est pas du tout dans mes cordes et j’ai très peu lu sur le sujet).
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Va dire ça aux familles des chinois que tu mettrais au chômage
Bah ça dépend… C’est pas parce que l’objectif premier d’une entreprise est le profit qu’on ne peut pas en avoir d’autres qu’on essaie de maximiser dès qu’on a atteint le premier.
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Je n’ai pas cette vision de l’économie et du capitalisme. Selon moi :
Une entreprise ne se dit jamais « mon profit est suffisant/atteint ». Hormis quelques exceptions (associations ou entreprises à taille humain), pour moi, la philanthropie d’entreprise n’existe pas. Il y a toujours une motivation derrière : crédit d’impôts, image, règlementation, marché, accord, …
Oui, j’ai peut être une vision pessimiste de l’économie.
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je pense que tu as une vision réaliste de l’économie. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne peut pas y avoir des exceptions plus optimistes (cela dit, je n’en connais pas. même dans des entreprises dites libérées où, en théorie, les richesses sont mieux partagées, le but reste quand même de faire un max de profit)
Parce que ça intéresse vraiment quelqu’un le taux de chômage en Chine ? Bigre.
J’avoue que ramener cette industrie en Europe pour créer de l’emploi en Europe a plus de sens que de s’inquiéter des licenciements en Chine.
Et effectivement, au niveau des normes, on n’est pas parfaits, mais c’est mieux qu’en Chine.
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Ce qui est une autre forme de racisme / supremacisme / colonialisme : un français vaut toujours plus qu’un chinois. Autre application de la loi du mort-kilomètre
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Le transport ne représente qu’une petite part de l’impact écologique des produits.
Oops, I did it again…
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