2 parties, Barbara VS Inkayamba, toujours Sacred Groves.
La première fut une victoire mais je suis quasiment certain avoir oublié des activations ou des cartes Horreur.
Je pioche un objet révélé, couteau, et un non révélé, couvercle de poubelle qui fait bouclier.
L’événement est plutôt amusant, avec un homme d’église qui se dirige petit à petit vers le tueur et qui se sacrifie ensuite.
Lors de la seconde partie, plutôt courte, cette fois-ci il y eut vraiment beaucoup d’activations des différentes Fureurs. En plus tout combotait bien pour Inkayamba, devoir jeter un dé et augmenter la furejr du tueur si échec. Oh. Mais il bénéficie en plus de l’amélioration qui augmente cette quantité de 1. Oh, et puis je ne sais plus quelle autre surprise !
L’événement est d’activer la Fureur divine à chaque décès dans l’une des 3 zones sacrées. Et bien sûr quand il décapita une victime, l’autre victime paniqua mais le hasard du dé la fit rester sur place au lieu de la faire sortir du lieu sacré. Arrivé à chaque fois!
Le tueur, agile et véloce, a rushé les victimes, révélé son pouvoir Final puis a saigné Barbara qui malgré les Guards, n’avait trouvé qu’une dague pour attaquer mais pas se défendre. Pas eu le temps d’obtenir d’autres objets.
Elle avait pourtant réussi à sauver assez de victimes pour activer son pouvoir, l’avait utilisé pour sacrifier les victimes présentes au même endroit que Barbara et le tueur pour faire autant de dégâts que de sacrifiés.
Inkayamba, boosté par sa foi, sa soif de revanche envers les mécréants et bénéficiant d’une bénédiction divine à haut niveau, ne put s’empêcher de rire face aux tentatives futiles de Barbara. La dague s’enfoncait dans le corps du sorcier guerrier, certes. Elle lui était toutefois semblable à une piqûre de moustique. C’est ce rire, mélange de moquerie, de condescendance et de rage, qu’elle entendit alors que sa tête roula sur l’herbe du bosquet sacré.
Repose en paix Barbara.
La prochaine fois, espérons qu’on pourra piocher ton fusil, qui avec une rangée de 4, te permettra de sniper le vilain.