Finalement, j’édite pas le post précédent et je poursuis notre coverage Du Village des jeux ici.
Pour cette 3ème soirée, on attaque tôt, vers 19h. Sans ma 51a oups, ma compagne ou, à la sauce @gold, Mme Jaitresenviedejouermaisjevaisdabordretournerbouquineraucc.
Il y aura donc avec moi Takeda Shinger et Leeroy Jenkins (les deux rôles étant complètement interchangeables entre ma 13a et mon 16a)
On commence par, Les Gardiens des Saisons, jeu clairement pour enfants, annoncé à partir de 7 ans, voir même 5 ans tant qu’il y a un bon lecteur dans le groupe. Bonne transition des jeux de parcours aux prémices des DC.
Materiel sympa, avec un livre cartonné où chaque double page représente une saison avec des chemins. D’astucieux ‹ trous › permettent à nos personnages de changer de saisons (page), à condition qu’ils soient tous placés sur un trou (portail) compatible avec les pages qu’on souhaite tourner (sinon, ça rajoute un trou dans le livre ). Le principe est basique, on pioche une carte qui nous donne le nombre de déplacements autorisés pour chaque perso (ah oui, c’est un jeu co-op) et pour le méchant loup. On cherche les bons trésors (en fonction d’un des nombreux scénarios possibles) et on gagne au passage quelques pouvoirs spéciaux.
… et en ce qui nous concerne, on se fait capturer par le loup en 15 min chrono !
Mais très chouette découverte, pour qui a de jeunes enfants.
Ensuite, découverte de Level 8, le remake de Level up (voir le topic dédié). Je confirme que c’est un bon jeu transgenerationnel, proche du rami, avec un principe de passage de niveau interressant : tous les joueurs qui ont réussi à poser leur challenge passent à leur niveau de contrainte de pose suivant. Le 1er à finir la manche saute un niveau.
Puis c’est au tour de Sea Salt and Paper, dont on avait commencé une partie il y a 3 jours, inachevée pour cause d’invasion de gynes et de candidats à la continuité de l’espèce. J’y avais aussi déjà joué au PEL avec ma 13a Truc et c’est toujours aussi sympa, même si j’y jouerais pas des heures. Et puis moi, j’ai toujours du mal avec leurs icônes et j’arrive pas à retenir quelle carte fait quoi…
On enchaîne ensuite sur des jeux déjà évoqués, avec 51a, re-oups, ma compagne qui nous a rejoint : Trio, Challengers, Mantis
(une des 2 photos que j’ai pensé à prendre…)
Et enfin on cumule une dizaine de parties de Kites, le jeu très thématique où il faut faire voler nos cerfs-volants en s’arrangeant pour qu’aucun des 6 (?) sabliers de couleurs différentes ne s’écoule entièrement. Pour cela, on joue chacun son tour une carte qui permet de retourner certains des sabliers. Bien sûr, les sabliers ont des durées différentes. Faudrait pas que ça soit trop facile. Pour corser le tout, on peut ajouter progressivement diverses cartes pénalisantes comme l’interdiction de parler pendant un tour ou l’échange obligatoire de cartes.
Moi qui ne suis pas très jeu de rapidité, j’ai étonnament apprécié celui là (et le reste de la famille aussi). Peut être parce que c’est un co-op. C’est original, rapide, péchu, y’a du challenge et plein d’option pour ajouter progressivement de la difficulté au jeu. J’ai pas regardé à combien c’était sensé tourner, mais à 4, c’est fun.
Voilà.
L’autre photo que j’ai pensé à prendre, une vue un peu plus large du festival avec, vous les aurez probablement reconnu, Incognito1 et Incognito2
La suite au prochain épisode, vu qu’ils en redemandent, et, même si on a finalement quasi joué à tout ce qu’on ne connaissait pas, on va peut être aller à l’étape suivante.
En attendant, ce soir c’est sucettes chaudes et churros, et demain c’est feu d’artifice et, chance insolente, ‹ Soirée Ludothèque de rue › dans le village. Aucune idée de ce que ça nous réserve…