Mais tellement !
Problème qui n’existe pas avec les offres d’Adobe, par exemple. Pour midjourney, par contre…
Non, non, sans illustration, c’est pour donner un exemple d’exagération dans l’autre sens.
Y’a aussi une question de « temps » non négligeable. Pour avoir parlé avec les 2 gars de serious poulp (1 designer, l’autre illustrateur du coup) au détour d’un festival, c’est un an de taf’ à illustrer et à bidouiller le jeu pour qu’il soit bien. Ils n’auront pas le temps de bosser sur des projets tierces.
Oui, mais les illus, je le répète, n’étaient pas faites sous IA dans ce contexte.
Oui, je t’ai lu, je voulais juste parler des « prompt engineers », ces charlatans.
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J’en profite pour rappeller que je suis formateur en prompt engineering.
Maîtrisez l’Art du Prompt Engineering avec Froh ! !
Bonjour à tous ! 
Dans un monde où l’IA devient omniprésente, la capacité à communiquer efficacement avec ces systèmes est un atout inestimable. C’est pourquoi je suis enthousiaste de partager avec vous ma décision de donner une formation en Prompt Engineering.
Pourquoi le Prompt Engineering ?
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Innovation : Apprendre à créer des prompts précis permet d’obtenir des réponses plus pertinentes et créatives des modèles d’IA, ouvrant la porte à des innovations sans précédent dans nos projets.
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Efficacité : Savoir formuler correctement vos demandes à une IA peut réduire le temps et les ressources nécessaires pour atteindre vos objectifs, que ce soit pour la recherche, le développement, ou même le marketing.
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Compétitivité : Dans un marché du travail en constante évolution, le Prompt Engineering est une compétence de pointe qui peut vous différencier et vous positionner comme un leader dans votre domaine.
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Ouverture d’Opportunités : Cette formation ne se limite pas à un seul secteur; elle est applicable en informatique, en communication, dans les arts, et bien d’autres encore.
Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
En suivant cette formation, vous serez en mesure de :
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Optimiser les interactions avec les IA pour obtenir des résultats de qualité supérieure.
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Développer des solutions sur mesure pour des problématiques complexes.
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Partager mes connaissances et aider mon réseau à tirer le meilleur parti des technologies d’IA.
Je suis convaincu que cette compétence va transformer la manière dont nous travaillons, créons et innovons. Si vous êtes curieux de voir comment le Prompt Engineering peut révolutionner votre approche du travail ou si vous voulez simplement en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter ou à discuter dans les commentaires !
Restons en tête de la courbe ensemble ! !
#PromptEngineering #IA #Innovation #FormationProfessionnelle #CompétencesFutur
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Du coup, c’est du second degré ? 
Non. Si tu me payes la formation aux prix des formations actuelles, je te la donne sans souci. (et j’en garantis une bonne qualité en plus)
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Est ce que ça protège de Skynet ?
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Oui. Avec cette formation, je vous garantis que vos prompts ne transformeront pas ces IAs en Skynet.
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Tu m’as eu, les images qui présentent les mêmes erreurs que de l’IA et que tu as présenté comme de l’IA ne sont pas de l’IA.
Bravo.
J’ai du mal à voir l’intérêt ou l’argument par contre…
Le reste de ce que je dis reste vrai et le problème récurrent reste l’inverse de ce que tu as fait: des gens qui utilisent l’IA en faisant passer ça pour du boulot d’artiste 
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Faut savoir, et c’est important, que je n’ai pas choisi les images en fonction des défauts qu’elles présentaient (autant sur Gudnak je veux bien que le trait soit particulier, autant je les vois toujours pas sur Old Kig’s Crown) et la 1 ere image google sur chaque. J’ai juste pris les deux derniers jeux un peu moins connus que je regardais. Gudnak parce qu’ils lancent une nouvelle campagne, Old King’s Crown parce que le pledge manager m’a été prélevé.
En aucun cas, je n’ai orienté plus que ça ce choix d’image pour tromper. J’ai par contre choisi des styles graphiques peu croisés.
L’argument c’est que cette ‹ chasse aux sorciere › qui part du principe que l’artiste donne une âme au dessin, qu’on reconnaît de toute façon l’IA dès qu’elle est présente, et que tout ce qui est fait par IA c’est de la merde ne tient pas le simple test de détermination (il est difficile de déterminer, dans ce monde digitalisé ce qui est IA ou ne l’est pas).
Je ne vois donc pas comment un artiste ne pourrait pas utiliser l’IA comme un outil et produire de l’art.
Le seul argument qui reste est de l’éthique (base de données qui pointent des oeuvres sur le net, et boulot déjà précaire des illustrateurs) qui est tout à fait entendable.
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Alors pour le coup, pour être parfaitement clair sur ma position, cette histoire d’âme ou de résultat moche, je n’en fais pas un argument anti-IA dans l’absolu. Je dis juste que moi, jusque là et de manière empirique, quand je regarde les jeux qui sont illustrés par de l’image générée par IA, je trouve ça systématiquement laid et sans personnalité (y compris quand je découvre a posteriori, après avoir trouvé le jeu moche, qu’il était illustré par IA). Et tous les jeux que j’ai trouvés beaux (que j’ai vus hein), il se trouve qu’ils étaient illustrés par des vrais gens, que ce soit via du dessin/illustration ou tout simplement un travail de graphiste pour avoir un design qui sert vraiment le jeu. Et ça n’empêche pas des vrais gens de faire un travail de merde. Ca ne va pas plus loin que ça. Mon seul argument qu’on pourrait qualifier d’anti-IA relève de questionnements éthiques.
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Aaaah ça m’avait manqué de lire ce sujet !
Je mets une petite pièce dans la machine avec une vidéo que j’ai vue y a pas longtemps. Le passage sur l’IA c’est à 12:44, mais toute la vidéo est intéressante sur le sujet du stop motion.
(et avant qu’on me catalogue directement parce que c’est une vidéo de l’Humanité, je précise que c’est le sujet du stop motion qui m’a fait cliquer)
La question intéressante qui est posée : « pourquoi vous avez envie de regarder des trucs qui ont pas été fait par des gens? »
L’'extrait de Miyasaki est pas mal aussi, mais c’est surtout l’extrait de Jeff Goldblum dans Jurassic Park qui a fait écho un une point dont on avait parlé ici il y a plusieurs semaines/mois.
Pour mettre en perspective ces extraits, je pourrais aussi mettre un lien vers une interview du patron de suno.ai, une plateforme de génération de musique. C’est lunaire, le gars affirme que personne n’aime le processus d’apprentissage et de création traditionnel, et que son outil est super bien pour permettre à tout le monde de créer sans effort, et en plus ça lui rapporte plein de thune (comme des Harry Coriace piur ceux qui ont la ref). Juste wahou! Ça en dit long sur l’objectif des personnes qui détiennent ces technologies, ne l’oublions pas.
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J’entend bien ta précision. Je répond toujours un peu à plusieurs personnes à la fois et ce n’était effectivement pas ton propos. Mea Culpa j’ai fait un homme de paille sur cette partie.
C’est un argument qui revient souvent le degré de maîtrise. Mais celui-ci est une compétence qui se bosse. Tout comme l’illustration. Et avoir les 2 est une combinaison difficilement égalable en terme de productivité artistique.
Du coup oui, considérer les gens qui utilisent l’outil comme des sous artistes et faire comme si c’était un non sujet pour se la péter (pas toi hein, le gars qui ‹ argumente › dans ta vidéo) c’est pas ce que j’appelle de l’argument.
Sauf qu’en présentant ça comme des images faites par IA en ajoutant le côté « dans des mains expertes » ça créé automatiquement un biais et une curiosité à aller chercher les soucis dans l’image. Je n’avais aucunes raisons de croire que ça n’en étais pas.
Dans la réalité par contre, ce cas de figure n’existe pas. Un porteur de projet ne va pas engager un artiste et présenter ça comme de l’IA.
J’ai vu par contre pas mal de projets avec des images faites par IA ou l’auteur le passait sous silence en espérant que ça se remarque pas ou pire, carrément le nier quand on lui met le nez dans son caca.
On a vu des porteurs de projets faire des trucs bien pire déontologiquement…
Ça pr contre c’est mega mal…. Autant je suis pour l’usage de l’IA si on veut, sans le dire si on veut (celui qui vole la meca d’un PnP pour en faire un jeu commercial pour moi c’est pire par exemple…), mais mentir dessus non ça ça me gènes…
Ca c’était le but, pas forcément de faire une liaison avec les mains expertes, mais de dire que du coup ca veut finalement rien et tout dire l’art, et que l’IA réponds tout à fait à la demande (selon les sensibilités de chacun) et qu’au final, oui, l’artiste peut très bien s’en servir vu que ce qu’il fait est aussi imparfait.
Alors j’ai perso pas croisé de cas où l’auteur le cachait spécifiquement. Au pire il ne le mentionnait pas (mais repondait honnêtement par la suite) genre je crois terraforming mars. Mais vu l’ambiance un peu ‹ chaude › autour du sujet, je comprend parfaitement ça.
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Ok mais en vrai, premier degré, la question n’est-elle pas légitime ? Je suis curieux d’avoir des vrais réponses à ça.
Et je ne parle pas d’IA intégrée a des outils de détourage, lissage des traits ou autre preset de couleur en étalonnage (entre autres), je parle d’IA qui génère la majeure partie d’un « oeuvre ».
À part pour des raisons purement économiques (le gain de temps en fait partie), c’est quoi l’idée ? Et ça profite à qui au final?
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Toute question est légitime. Mais une question doit rester une question et pas impliquer une réponse.
L’IA qui créé la majorité de l’oeuvre ca veut dire quoi ? Y’a bien une personne qui aura scénarise le truc derrière. Y’aura bien une sensibilité qu’il essayera de faire passer autour de l’IA (ne serait-ce que l’ambiance ‹ stop motion › ?). À partir de quand tu considère qu’on devient artiste.
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Sur ce point, je pense qu’il y a dans ce thread une confusion générale entre artiste et illustrateur. On peut être un illustrateur très talentueux sans être un artiste, et vice versa. À titre personnel je trouve que le travail d’Élise Plessis pour l’oniverse relève de l’art alors que le travail en général de Vincent Dutrait relève de l’illustration (il est possible qu’il fasse autre chose que de l’illustration de jeux et je n’ai pas vu, donc voilà), pour prendre un exemple.
Et donc pour en revenir à ta question, depuis Duchamp on « sait » que l’art ne relève pas de la maîtrise plastique mais de l’intention. Donc aucun problème pour être un artiste qui n’utilise que de l’IA, s’il y a une intention artistique au sens de Duchamp.
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