tu sais, un jour, tu peux aussi chercher à affiner ta pensée. A la laisser s’exprimer. Elle peut grandir si tu la laisses.
On s’en fout (d’ailleurs, ça ne justifierait pas le ‹ ii ›).
bien avant, l’usage ios ne date pas de 1990, il est juste confirmé par l’Académie (de même que ne pas avoir un confetto sur le bout du nez).
non, c’est une oeuvre collective.
et non, ça faisait déjà bien longtemps. D’ailleurs, ils ont aussi dit qu’on mettait un accent sur le ‹ e ›
scenario → scenari en italien
scénario → scénarios en français
Pour une fois qu’on va dans une simplification, il y a forcément des gens pour venir quand même râler…
Je prétends pas que scénarios ne soit pas Français, je dis juste que si on veut se la raconter lors de diners mondains, on peut parler de scenari.
Après peut aussi écrire en langage sms, il parait que ca simplifie vachement la langue
Dans l’absolu le langage des signes serait, je pense, la solution universelle.
Par exemple :
Pour en avoir un peu causé avec une copine linguiste, il y a pas mal de mots dont la forme a été modifiée pour être plus élégante, à des époques où cela impliquait une discrimination par la langue.
On peut être attaché à telle ou telle graphie, mais c’est bien aussi de savoir ce qu’elle cache (ou révèle, c’est selon )
Si tu dînes avec des italiens ? Non, ce sera juste normal. Si tu dines avec des français, tu passeras juste pour … disons que cela va dépendre de ton âge et de l’apparence de naïveté que tu dégages. Mais ce ne sera jamais une image sympathique.
Note que ces gens parlent peu de scénarisation. Mais plus de logiciel ou de story. Si tu sors un scenari entre deux bouchées de trucs végétaux, tu passeras plutôt pour un boomer.
Finis les pledges, les backers, le crowdfunding, le lore, le gameplay, le deck-building, le bag-building, le engine-building, plus de downtime (et ça c’est bien !), plus de setting (mais c’est rare), plus de f*** blue band…