Mais où est le fameux Athènes 2004 ! Jeu mythique sur les jeux où il fallait se défoncer le poignet mdr ^^
Concernant les jeux sur les JO, Nintendo et Sega n’ont plus les droits
Les NFT prennent le dessus (mais pas que) Lee Cocker, qui officiait en tant que producteur que la série Mario & Sonic au sein de la société de marketing ISM Ltd, s’est justement permis quelques éclaircissements au micro d’Eurogamer :
Ils voulaient se tourner vers d’autres partenaires, vers les NFT et vers l’e-sport. En fait, le CIO voulait se recentrer sur lui-même et chercher d’autres partenaires pour obtenir plus d’argent.Et c’est déjà le cas, puisqu’il existe actuellement des NFT dédiés aux Jeux Olympiques de Paris 2024, soit « une collection de Pins numériques commémoratifs sous licence officielle nWay ». D’ailleurs, sachez que si aucun Mario & Sonic n’est sorti cette année, le CIO a tout de même confié à nWay et Animoca Brands le développement d’un jeu vidéo à part, « Olympics GO! Paris 2024. »
Jeu désinstallé après avoir vu passer ça 
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TOPSPIN:
Code ANDYMURRAY (valable jusqu’au 9 août).
Le retour en forme de Lazzou!!!
Résumé
Plus déterminée que jamais à ce qu’il semble, Angela a repris sa plus belle raquette dans sa chère ville de Rome!
(Elle attendait d’enfin gagner de nouveau un TS1000 pour enfin confirmer un nouveau statut et les promesses qu’elle avait laissé entrevoir depuis quelques années!!!).
Mais, hélas, ce ne serait pas à Rome! Dès le début du tournoi, on a senti une joueuse très volontaire mais aussi au jeu très hésitant. Beaucoup trop de fautes directes! Et pourtant, notre ragazza est arrivée au stade de la finale! Non sans souffrir terriblement, surtout à cause de ses premiers sets ratés! Elle a d’ailleurs bien failli sortir en demi, contre Schmit, une suissesse imprévisible au jeu erratique, qui a énormément embêté mademoiselle Dickinson. Elle a dû sauver 2 balles de matchs au second set avant de s’imposer dans un tie-break final durant lequel son adversaire courageuse était fatiguée.
Néanmoins, tous ces efforts, physiques et mentaux, d’Angela l’ont certes amenée en finale mais surtout à complètement déjouer contre Swiatek! Cette dernière l’a écrasée implacablement! Cruelle désillusion devant son public fétiche pour Angie!
Mais, notre belle italienne, a repris sa quête dès le tournoi suivant, à Toronto! Elle a retrouvé son jeu et une grande maîtrise des volées! Iga l’affrontait cette fois en demi mais Lazzou a joué un match parfait! Un incroyable niveau tant tout lui réussissait! La polonaise était ébahie et, surtout, impuissante! Ensuite, et enfin, la finale, contre un jeune tunisienne, a été une pure formalité tant la différence de niveau était flagrante!
Lazzou a atteint le statut envié de Star! Ce qui devrait enfin lui ouvrir les portes des grands chelems! Rêver plus grand encore, avec ses fans, voici ce qu’espère l’encore jeune (27 ans) tenniswoman italienne!
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Si comme moi vous êtes fan de football américain. Si les dimanches d’automne sont pour vous les meilleurs jours de l’année. Mais surtout si vos séries Netflix préférées sont The Last Chance U ou QB #1. Si vous avez vu toutes les saisons de Friday Night Lights (spoiler ; la première reste la meilleure). Enfin, si les noms de Michigan State ou des Oklahoma Sooners vous font plus d’effet que les trop classiques Chiefs ou Patriots…
Alors j’ai le plaisir de vous annoncer qu’après dix ans d’absence, le college football est de retour sur console avec le bien nommé College Football 25 développé par Electronic Arts.
La NCAA, ou le championnat universitaire américain, est l’antichambre de la NFL ; là où se forgent les futures stars de la ligue professionnelle. Beaucoup d’appelés et peu d’élus pour rejoindre l’élite ; cela n’en reste pas moins un championnat de très haut niveau, bien que l’organisation soit un peu foutraque, avec ses rivalités, ses stades combles, ses ambiances incroyables. Une véritable institution au pays de l’Oncle Sam !
Sur le terrain, le foot universitaire est aussi plus « jouissif » ; les défenses sont souvent moins bonnes qu’en NFL, les playbooks beaucoup plus ouverts (avec de nombreux trick plays), les réceptions facilitées (le receveur n’a besoin que d’un pied dans le terrain pour valider son catch)… ce qui donne des matchs plus spectaculaires, avec souvent des scores fleuves.
Clairement, c’est rafraîchissant même si personnellement je n’aime pas trop la façon dont le calendrier est établi (il y a des matchs imposés mais la plupart des rencontres sont « arrangées », permettant aux meilleurs programmes de se faire des calendriers « faciles » pour s’assurer l’accès aux playoffs).
En jeu vidéo, on retrouve ces ambiances uniques avec pas moins de 135 universités de la division I et les grandes conférences (Big Ten, Conference USA, ACC, etc.), tous les Bowls, les playoffs et bien sûr les trophées individuels comme le prestigieux Heisman Trophy.
En solo, le jeu propose soit d’incarner le coach à la tête d’un programme (il faut gérer le turnover de ses étudiants -un joueur reste au maximum 4 ou 5 ans en universitaire- pour bâtir une équipe capable d’aller au titre et pourquoi pas de rester au sommet en attirant les meilleurs prospects comme peuvent le faire LSU ou Florida), soit d’incarner un joueur qui tentera d’abord de se faire une place de titulaire (ce qui est plus ou moins facile selon son niveau de départ et le programme que l’on rejoint) puis d’impressionner les scouts pour espérer rejoindre la NFL.
Si la franchise s’inspire des anciens NCAA, on devrait pouvoir présenter son « my player » de College Football 25 à une draft NFL dans Madden 25 pour « vivre » l’expérience d’un athlète de haut niveau.
Il y a également du jeu « online », que ce soit des matchs individuels ou des ligues où il faudra bâtir le meilleur programme pour atteindre (et se maintenir) au sommet.
Je vous le dis, moi qui suis lassé de Madden (je ne les achète plus depuis bien longtemps), je suis très très content du retour d’un jeu de college football sur console. Même si IRL je préfère la NFL à la NCAA (toujours à cause de cette organisation si particulière, pas pour le niveau de jeu en lui-même), manette en main je préfère l’universitaire.
Avis aux amateurs.
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EA, hmm. . .
College Football…
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Pour une fois qu’une bande annonce de EA me fait envie ^^
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Bah écoute, je me suis fait un petit Clemson vs Army hier, remporté brillamment 28-14, avec un shutout des Knights jusqu’au 4ème QT (j’ai un d-line qui m’a fait un match de fou !
). Puis j’ai créé en speed un QB 5 étoiles, embauché comme titulaire à Michigan. Deux matchs, deux défaites, 1 TD, 6 interceptions ! 
Le jeu est hyper agréable, la prise en main au top, et on sent bien la « folie » du collège football avec des jeux spectaculaires régulièrement (et les running backs gagnent des yards plus facilement, ce qui est conforme également à la réalité).
Je joue en All-American (difficulté 3 sur 4) et sans toucher aux sliders, les comportements sont très bons et les drives réalistes.
J’aurai bien joué plus longtemps mais il était déjà 2h30 du mat’ quand j’ai coupé.
Dernier point, l’ambiance sonore est top, avec les vrais entrées sur le field et les vrais champs de supporters. En tout cas pour les universités les plus prestigieuses.
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5M de joueurs en une semaine. Je crois que je n’étais pas le seul à attendre le retour du college football sur console. 
Moi je me lance dans Once Human 
J’aimerai bien un retour de rugby à la sauce fifa aussi j’avais bien aimé pas aussi bourrin que le foot US mais assez intéressant
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Des bons jeux de rugby, j’en ai pas connu des masses quand même. C’est dommage.
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J’ai commencé Tiny Tina’s wonderland en coop il y a quelques jours, bien marrant.
J’aime beaucoup le foot US, je jouais à tous les Madden sur Megadrive à l’époque, dernièrement je me suis pris un NFL bradé sur le PS Store et pensais me faire le mode « carrière » mais j’ai lâché l’affaire, il n’est qu’en anglais et je panne rien aux termes techniques du foot US.
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Malheureusement, le foot US est trop confidentiel en France pour espérer avoir une VF. Ceci dit, même en France, on utilise beaucoup de termes non traduits. 
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Tiens d’ailleurs, j’ai désormais une chaîne twitch avec ma copine, qui s’appelle LesGrosNaz, où on vous montre à quel point on est nul à plein de jeux différents
Je me permettrai peut être d’en faire la pub un joue, juste balancer un lien
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Ah bah, tu m’avais bien chauffé mais ça n’existe pas sur PC! 
J’ai un Madden gratos, je vais peut-être le tester du coup!
Je dois dire que je suivais pas mal le foot US dans les années 90…période de chômage oblige, beaucoup de temps libre la nuit! 
(ah les Bulls de Michaël aussi! pffffff…).
Mais depuis le temps, j’ai énormément oublié les règles du Foot US…les San Francisco 49ers! 
C’est le moment d’y revenir. Les 49ers sont actuellement les Poulidors de la ligue. Souvent en finale, jamais vainqueurs !
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Pire que les Bills ?
Ils n’en sont pas à ce point là, mais ça commence à s’inscrire dans leurs gênes !
Ce soir, mon linebacker freshman joue avec les Ducks contre Ohio State, la fac actuellement numéro 2 au classement. Ca va être tendu !
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Je reviens un petit peu sur le(s) mode(s) de jeu de College Football 25 (en solo ; je ne joue quasi jamais en ligne aux jeux de sport). En l’occurrence, hors « match rapide », il n’y a que deux modes de jeu « en campagne » sur cet opus ; le « road to glory » (sur lequel je vais m’attarder) et le mode « dynasty » (que je présenterai plus tard, quand je m’y serai plongé).
En mode « road to glory » donc, vous prenez en main le destin d’un joueur universitaire créé par vos soins au cours de ses quatre (ou cinq) années de fac. La création commence par le choix d’un niveau de prospect (de deux à cinq 
, ce qui correspond par ailleurs aux évaluations faites par les médias dès le lycée ; oui, le repérage des athlètes commence tôt aux U.S.A, et le choix d’une université par un prospect cinq étoiles est un évènement quasi national). Ce niveau va déterminer vos attributs de départ, un prospect cinq étoiles ayant de meilleures caractéristiques et ainsi ayant plus de chance d’être titulaire, même dans un gros programme. A vous de voir si vous voulez commencer comme un joueur attendu sur un « gros » campus, ou au contraire être un « underdog » dans une petite fac (voir un « underdog » tentant de se faire une place dans un « gros » programme).
Viens ensuite le choix du poste. Côté offensif, on retrouve les classiques QB (quaterback) et HB (coureur), ainsi que les WR (receveur). Côté défense, deux postes sont à l’honneur ; les MLB (middle linebacker) et les CB (cornerback, c’est à dire les joueurs qui couvrent les receveurs adverses). Une fois le poste déterminé, il faudra encore choisir son « archétype » ; il sera ainsi possible de faire un quaterback qui reste dans la poche ou une double menace capable de lancer et de courir, un linebacker « pass rusher » ou plutôt à l’aise en couverture, ou un coureur puissant ou plutôt rapide, etc. Ce profil déterminera vos attributs de départ.
Vous aurez ensuite quelques « skill points » à dépenser (plus ou moins selon votre niveau de prospect) et une caractéristique mentale à choisir (pour les meilleurs prospects). Les « skill points » permettent d’augmenter des groupes de compétences (on ne fait pas évoluer chaque caractéristique individuellement) et certains groupes seront « capés » selon le profil choisi (un receveur de type « menace en profondeur » pourra maxer sa rapidité par exemple, ce que ne pourra pas faire un receveur « de possession »). Quant à la caractéristique mentale, même si elle est acquise, elle ne se débloquera qu’en passant certains paliers (atteindre un certain nombre de followers, gagner la confiance du coach, battre un rival de conférence, etc.).
Viendra l’ensuite le choix de tout ce qui est apparence physique (je passe là dessus, vous connaissez) et pour terminer le choix du programme que vous allez rejoindre. Les 134 équipes de la « 1ère division NCAA » (officiellement appelé NCAA Division I Football Bowl Subdivision !) sont présentes ; vous pouvez rejoindre n’importe laquelle d’entre elle, mais attention, toutes n’auront pas d’intérêt pour votre (futur) talent ! Une jauge d’intérêt ainsi que l’effectif à votre poste vous permettra d’estimer vos chances d’être titulaire rapidement. Allez jouer dans une grosse fac alors qu’elle dispose de très bons joueurs à votre poste (et auxquels il reste quelques années de fac devant eux) peut vous faire faire une carrière universitaire… sur le banc ! C’est réaliste, mais ce n’est pas le plus fun !
Ce processus de création terminée, vous voilà parti pour une carrière universitaire. Chaque semaine, il vous faudra vous entrainer, consacrer votre énergie à différents domaines, gérer quelques évènements aléatoires, et bien évidemment jouer les matchs.
Il y a plusieurs « jauges » à équilibrer au fil des différentes activités.
La confiance du coach vous permettra de devenir titulaire à votre poste (ou de conserver votre place) ; elle se gagne principalement en performant aux entrainements et en match. Plus elle est élevée, plus vous aurez également accès au choix des tactiques sur le terrain, vous permettant ainsi de modifier les appels de jeu.
Les autres jauges seront impactées en dépensant des points d’énergie, qui sont bien évidemment limités chaque semaine.
Les « études » détermineront votre GPA (grade-point average). Cela peut paraître négligeable lorsque l’on prétend à une carrière de sportif professionnel, mais attention ; si vos notes sont trop mauvaises, vous pouvez être privé de match ! Il y aura des examens à passer (au milieu et à la fin de la saison), et il est possible de se faire virer de la fac si on néglige trop cet aspect. En revanche, un excellent étudiant sur ces trois premières années d’études pourra être dispensé d’examens lors de sa dernière année, et ainsi se consacrer entièrement au football (et je précise que tout ceci est totalement effectif dans la réalité ! ).
Le leadership aura un (petit) impact sur la confiance du coach ainsi que sur la « confiance en vous » (composure), vous permettant de démarrer les matchs en étant « in fire » ou au contraire en évitant d’être « cold » après une ou deux actions manquée(s) sur le terrain (ces états impactant vos caractéristiques, et donc votre jeu).
La santé : donnée importante puisque votre corps (virtuel) sera mis à rude épreuve entre les matchs et les entrainements. La maintenir à un bon niveau pour éviter les risques de blessure vous coûtera pas mal d’énergie.
L’entrainement : au delà du « practice » (des mini-jeux propres à votre position qui rapportent des XPs), il sera possible de consacrer des points d’énergie à l’entrainement, faisant ainsi monter votre barre d’XPs (et ainsi passer des niveaux pour gagner des « skill points »)… au détriment de votre santé !
Enfin, la « marque » (brand) vous permet d’augmenter votre popularité (qui permet de débloquer certaines caractéristiques mentales, notamment le « composure » lors des matchs à domicile)… au détriment de vos études.
Bref, vous l’aurez compris, il y a tout un équilibre à trouver pour être tout à la fois un athlète performant, un bon étudiant, et une star du campus !
Il y aura également des évènements aléatoires à gérer ; aller à une fête au risque de se faire choper par le coach ou de rater un examen, être un bon coéquipier ou au contraire « saboter » l’entrainement des copains pour leur piquer leur place de titulaire, signer des contrats avec des sponsors locaux au détriment du temps à consacrer à l’entrainement ou aux études, etc.
Il est possible de faire un Johnny « football » Manziel (un joueur bourré de talent mais à la vie extra sportive assez… dissolue) ou au contraire un gars discret et travailleur comme un certain Tom Brady… passé sous tous les radars des scouts lors de sa carrière universitaire pour devenir le GOAT du foot U.S.
L’avantage est qu’une carrière universitaire « complète » (quatre -ou cinq- saisons de douze matchs, plus les éventuels playoffs) sera au final assez raisonnable en temps de jeu (les matchs sont assez rapides puisque les phases où vous ne jouez pas sont simulées), ce qui vous permettra de « tester » plein de « vies virtuelles » différentes.
Bref, pour moi, c’est vraiment du tout bon ! Surtout que les matchs, qui sont quand même le coeur du jeu, sont vraiment très réussis. Que ce soit l’ambiance propre à chaque fac, ou les actions de jeux qui ont ce « feeling » foot universitaire que je pourrai décrire mais que tout connaisseur ressentira…
Franchement, une grande et belle réussite pour le retour de cette franchise tant attendue par les fans de football. Vu que le succès commercial est là, on peut s’attendre à des opus annuels. Il s’agira de ne pas s’endormir sur ses lauriers comme avec le grand frère qui peine à se renouveler.
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