Alors j’avais créé un autre topic pour les bouquins. Mais basiquement c’est assez inégal. Bien entendu c’est Kingdom Hearts qui fait penser à Gameplay RPG/Background puisqu’on retombe sur Jay, le rédac chef / proprio. Et si ses ouvrages sont hyper complets (et trop verbeux), c’est moins le cas sur les ouvrages Final Fantasy ou Chrono.
Ensuite, vu le prix, ca manque cruellement d’images.
Il est con 
On est équipé 
Mais pas sûr que l’univers plaise à madame…
(Y’a plusieurs univers, un sci-fi, un darksoulien et un fantasy)
J’ai un frangin qui bosse dans l’industrie. Ces review bombing sont arrivés souvent ces derniers temps, et les boîtes de jeu se font dessus. L’industrie du JV est en train de se pêter la gueule et ces « fans » de jeux vidéo prêts à tout pour déchaîner leurs idées font partie du pb. Et comme tu dis, il a été montré maintes et maintes fois la forte porosité entre les mouvements masculinistes et le public de jeux vidéos… Je trouve ça triste…
Je pense que tu as dit qqchose de très vrai: si tu n’aimes pas un jeu, tu ne l’achètes pas mais tu ne faus pas du review bombing. Après, si tu achètes le jeu mais que tu ne l’aimes pas, c’est normal que tu donnes ton avis. Mais je n’ai pas l’impression que tous ces coms negatifs aient acheté les jeux qu’ils critiquent… Notamment parce que le review bombing commence souvent avant même la sortie du jeu. Je pense que le review bombing est une mauvaise chose quel qu’il soit… C’est pas comme ça qu’on va faire avancer les choses…
Les idées woke dans la fantasy, ça a commencé il y a longtemps (pour moi, c’est une bonne chose). Equal Rites, par Terry Pratchett, en 1987, déjà, mais je suis sûr qu’il y en avait d’autres avant…
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Encore une fois, ce qui pose soucis ici il me semble, c’est la façon dont c’est amené. Comme il a été souligné plus haut, Baldur’s Gate 3 est inclusif ; on peut y jouer le genre que l’on souhaite, avoir les romances que l’on souhaite, et le jeu ne s’est pas fait « review bomber ».
La même chose pour Cyberpunk 2077.
Et a contrario, Hogwart Legacy qui permettait de choisir son pronom (il me semble) et de jouer un personnage transgenre s’est fait « attaquer » par le camp progressiste (à cause des déclarations de Rowling) alors même que le jeu était inclusif.
Non seulement la « guerre » est loin d’être finie, mais en plus j’ai l’impression qu’elle se durcit.
Ceci dit, est-ce que la proximité avec les élections U.S (où le sujet est extrêmement tendu) comme l’a fait remarquer un intervenant ci-dessus (je ne veux pas l’attribuer à la mauvaise personne) a un impact ? Je ne sais pas. Peut-être une amplification, mais je ne crois pas que l’élection passée, le débat n’existera plus.
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Ce qui est très dommage c’est que du coup le ‹ débat › tends à se focus sur ces raisons plutôt que les vraies raisons des échecs.
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Je ne pense pas que les élections amplifient le phénomène. Je pense que la politique et la société actuelle (reseaux sociaux et cie) font un cercle vicieux, tout se polarise de plus en plus. Un ami m’a dit que les jeunes hommes d’aujourd’hui trouvent que les femmes sont trop mises en avant et pour cette raison vont vers l’extrême droite plus qu’avant. Je n’ai pas lu l’article dont il me parlait (en allemand) donc je ne peux pas en dire plus.
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Clairement l’idée n’est pas de ne pas avoir ces idées mais de ne pas les amener à la truelle en les jetant a la gueule des gens sans finesse.
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En vrai presse ou influenceur = même merde combat.
L’un est soudoyé payé indirectement par des cadeaux/voyages/putes
L’autre par le nombre de vues (et aussi potentiellement directement par l’éditeur)
Mais un lets play te permet au moins de voir le jeu en mouvement, d’entendre l’ambiance sonore, etc… (Dans jeu vidéo il y a quand même vidéo)
Et n’oubliez pas de liker mon post si vous voulez que je continue à raconter de la merde.
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Un test que j’ai trouvé intéressant sur Dragon Age :
Les délires sur le café là genre à 3mn, c’est juste goldé tellement c’est nul et hors de propos dans un jeu de Fantasy. On dirait vraiment des joueurs qui jouent à un jeu de rôle et qui de temps en temps sortent de leur personnage.
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Je vous laisse apprécié ce qui semble être un futur grand n’importe quoi :
Niveau écriture, Bioware a non seulement renié son héritage (le 1er DA, les Mass Effect) mais ils ont surtout fermé les yeux sur ce qui c’est fait dernièrement (CP2077, BG3, etc …)
C’est vraiment à un niveau abyssal.
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Je ne penses pas qu’ils ont reniés, je dirais plutôt qu’il n’y a plus de personnes talentueuses pour l’écriture, elles sont parties.
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Bon j’ignore volontairement votre « debat » sur l’aspect « woke » de dragon age, j’ai déjà donné mon avis dans un autre sujet sur ces termes.
Par contre la ca m’intéresse. En quoi un streamer c’est mieux qu’un journaliste JV ? Ou pire selon vos propos, mieux ?
Parce que dans les faits c’est la même chose. Les 2 reçoivent leur clé de l’éditeur pour parler du jeu. Ou bien les 2 jouent au jeu parce que celui ci les intéresse de base et donc l’avis sera forcément influencé.
Et oui dans les 2 cas ya aussi une minorité bruyante/visible qui ne sera pas a prendre au sérieux puisqu’ils chercheront a obtenir quelque chose de l’éditeur. Je n’emploierai pas le terme objectif puisque par définition, un test (qu’il soit écrit ou streamé) ne sera pas objectif, même si la personne essai de l’être au maximum y aura toujours des biais d’influence.
Bref, je ne comprends pas pourquoi vous chiez autant sur les journalistes JV mais avez autant de complaisance pour les influenceurs. Parce qu’au final tu es autant influencé en regardant un mec jouer a sa manière avec son tchat qu’en regardant/lisant un retour de son expérience d’un journaliste. Les 2 ne sont pas paroles d’évangile mais a l’inverse peuvent aussi être un bon indicateur pour savoir si le jeu peut te plaire ou non
Je pense que tu as mal compris, on ne parle pas de streamer mais de regarder un stream, une personne en train de jouer.
Plutôt que de l’écouter parler, tu regarde comment le jeu tourne et tu te fais ton propre avis si le jeu vaut le coup d’être acheté.
Les streamers qui ont des clés en avance ne valent en général pas mieux que les « journalistes » car ils sont pour la plupart obligés d’être complaisant pour rester dans le cercle des initiés même s’il y a des exceptions.
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Comme je le précise. Moi c’est surtout le jeux que je veux voir tourner. Comme la presse JV ne fait qu’un test et des vidéos cut. Le seul moyen d’avoir le jeu non coupé (voir non commenté, car je me fiche de l’avis du streamers, ce que je veux voir c’est le jeux tourner) pour moi c’est le meilleur moyen de se faire un premier avis.
Et non je te rassure ça ne m’intéresse pas un streamers qui veut me vendre son jeux en disant dans son stream a quel point c’est le meilleur jeu du monde. Limite je préfère couper le son ou trouver un type qui y joue sans parler.
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Je pense qu’il y a une différence entre le journalisme rémunéré par ses abonnés et les influenceurs rémunérés par les vues, mis on sort du débat. L’influenceur est plus poussé à aller vers le sensationnel tandis que le journaliste est rémunéré parce que ses abonnés cherchent une part d’objectivité. Mais il n’y a plus bcp de journalisme comme ça…
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Des chaînes qui peuvent se passer de l’argent engrangés par les vues effectivement sont très peu nombreusrs. C’est bien pour ça que je dis qu’il y a des exceptions.
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Une énorme difference quand même : le journaliste JV est payé par son média (ou via un système d’abonnement direct si c’est un indépendant) pour parler du jeu, mais n’a normalement aucune rémunération qui viendrait directement d’un éditeur (alors que ce genre de lien est fréquent chez les influenceurs).
Et un autre truc, sur le fantasme du journaliste JV qui paie pas la clé du jeu qu’il teste (donc qu’il serait pas objectif) : ça fait littéralement partie de son métier de tester des jeux, il est payé par un média pour ça, si l’éditeur fournit pas de clé au média mais que le média a quand même décidé de tester le jeu, c’est pas le journaliste JV qui va l’acheter, c’est un frais pro qui sera à la charge de la boîte. Ca n’a aucun sens, dans le cadre d’un journaliste pro, de considérer la fourniture d’une clé de jeu comme un cadeau d’un éditeur à un individu (le journaliste).
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C’est que le jeu n’est pas fait pour toi 