Tout pareil. Heureusement que je suis en pleine campagne d’ATO
C’est toujours aussi bien ? (Hips)
On a tout recommencé à zéro et là on va commencer le 7eme jour. Et pour le moment c’est top. Y a juste un peu trop de narration. Mais bon c’est tet à cause du fait que c’est moi qui lis tous les paragraphes qui me fait dire ça. Si je lisais dans ma tête ça me generait probablement moins.
je ne vois pas de quel jeu tu parles, mais je compatis
Petite réflexion de ma part sur les jds … j’ai l’impression que ça exacerbe mon manque de lâcher prise
(Je passe sur le côté rangement/maniaque évoqué mille fois).
Idem pour le côté pur loisir des débuts qui est ptet plus aussi présent ? (Genre trouver le jeu au bon prix, puis les extensions sold out, puis les erratas puis traduire des trucs, puis sleever/ranger /customiser, trouver de la place
Vous avez une impression de ce type ?
C’est ptet aussi moi dans ma phase de vie actuelle
PS : je vous laisse méditer aux chiottes
C’est pas faux.
Pour ma part, je vais probablement réussir à lâcher prise à ce niveau là d’ici fin juin mais ça aura traîné.
P.S.: je suis aux chiottes.
Moi aussi
Bon … Je me sers un petit remontant et dodo …
Une grosse déception Ludovoxienne entrainant un peu de trop plein de MG ce soir …
… Je sens que je vais devoir couper quelques temps à nouveau moi …
Bonne nuit !
Si tu ressens un certain ressenti négatif, c’est peut être que l’effort que tu fournis n’est pas récompensé à l’hauteur auquel tu attends (inconsciemment ou non). On est tous dans le même cas : trop de jeux, pas assez de temps pour jouer et parfois des déceptions décourageantes.
Je l’ai dit quelque part dans le forum :je trouve qu’acheter une extension est un risque de tuer le jeu. Lorsque tu ajoutes une extension (qu’elle soit rare ou non) tu ajoutes une complexité qui peut dérégler sa routine habituelle. Parfois l’idée d’acheter une extension peut être moteur de motivation de le jouer. On se dit « Si j’y joue 10 fois, alors je m’achète l’extension ». Alors tu y joues 15 fois, tu t’achètes l’extension et pouf : tu n’y joues plus après une ou deux fois.
L’achat d’insert, sleever les cartes, customiser, c’est pareil : c’est un moteur de motivation. Tu fais ça dans l’idée de sortir le jeu plus souvent, de le protéger parce que le jeu de base te plaît. Tu fais ça en attendant qu’il ressort, hors temps de jeux, dans ton temps libre. C’est une activité annexe. Une activité qui ne se fait qu’une fois : tu ne t’amuses pas à resleever entre chaque partie, ou à changer l’insert tous les 3 mois. Cette activité n’est récompensée, utile, que si et seulement si tu y joues. Tu as beau sleever tous les jeux, ca ne sert pas à grand chose si tu n’y joues pas. On est nombreux à avoir déjà vendu des jeux sleevés jamais joué.
C’est pour ça qu’au fil du temps cela décourage.
Le pire c’est de mélanger les différentes marques de sleeves et de se dire « ok, je garde ça ca pourra servir » et avoir un tas de sleeves à 2€ qui t’encombrent une case de kallax. Mais ca c’est une autre histoire.
Il n’y a pas vraiment secret : pour être heureux avec sa ludothèque, il faut jouer. Personnellement, je pense que je suis assez malheureux : regarder ma ludothèque me déprime. J’ai des boîtes posés devant ma kallax. J’ai bien trop de jeu. Alors il faut sortir les doigts de son portables et se dire : « Ok, je joue » . Sinon je revends. Exception bien sur si tu aimes collectionner une marque, un auteur, etc. Ca c’est autre chose, on dépasse le côté joueur mais on entre dans la collection.
Exactement.
Et je m’y attelle depuis deux ans et demi et du coup cela permet d’ėpurer la ludothèque ( j’ai énormément vendu , +130 jeux), et d’être plus pertinent dans l’acquisition de jeux.
Bon j’ai acheté pas mal aussi mais le bilan est plus que positif.
J’ai vendu des jeux que je trouvais très bons mais comme j’ai mieux dans le genre (ou non d’ailleurs) et que le temps n’est pas extensible, ils sont partis.
Jouer, c’est la vie.
J’ai as mal vendu en ce moment, surtout des gros jeux qui me laissaient un sentiment mitigé. Les voir trainer dans ma ludothèque me dégoutait : perte d’argent et de place. Donc dès la première voire 2e partie, pas de pitié : revente, quitte à bien baisser le prix. Quel soulagement quand ils sont vendus !
J’ai pu réorganiser ma ludothèque de manière à mieux mettre en valeur mes chouchous. Quel bonheur de ne voir presque que des bons jeux ! Je chouchoute ceux qui restent, notamment en traduisant des cartes, des aides de jeux si nécessaire.
Maintenant il m’en reste encore une dizaine de petits et 3-4 moyens à essayer, mais en ce moment je privilégie le bonheur assuré à un plaisir hypothétique précédé de la lecture des règles. J’ai prévu de m’y atteler cet été.
Tu n’es plus le même homme tu as changé.
Ah mais carrément. Le jeu occupe beaucoup trop de place (physique/temps/budget)…beaucoup plus que son temps réel d’usage c’est sur.
J’ai des anecdotes de passionnés de parapente qui n’ont qu’un petit appart et plusieurs voiles sans garage, ni cave et c’est bien plus savoureux encore donc je relativise, mais je pense que ce loisir est finalement avec de gros défauts comme pour les jeux vidéos (que je ne pratique plus depuis l’ère post 128bit), beaucoup de non qualité. Quand tu achètes un livre, bon ou mauvais, l’œuvre est complète et offre sa meilleure expérience nativement . Pour le jds c’est de moins en moins le cas (tfm je pense à toi )
Quand j’ai commencé le jds , le mètre étalon de la qualité c’était days of wonders aujourd’hui c’est ctg. Et pourtant le rapport qualité prix du premier, sa facilité d’accès (disponibilité, rangement, capacité à être joué…) sera toujours incomparable. Bref non pas que c’était mieux avant mais ya quand même de gros abus de la part de certains éditeurs pour délivrer une « performance » correcte et ça doit contribuer à cette impression de relative « déception ».
Mais je me soigne je suis sur lorcana en ce moment et du jce ffg…… …
Ne négligeons pas l’effet Netflix, la surconsommation qui immobilise.
Parfois, c’est comme quand tu veux regarder un film sur une plateforme : tu zappes et tu regardes ce qu’il y a sans réussir à te décider.
Et puis d’un coup, tu réalises qu’il est trop tard et que tu as consommé de l’envie de consommer.
Ça, ça m’est arrivé plus d’une fois. Mais ça m’est aussi arrivé qu’il n’y avait rien qui me tente vraiment. Et que ça se joue entre «ça, Mouais, bof » et « ça aussi, Mouais bof »
Le plus difficile est de sortir le jeu
Avant, j’avais vraiment du mal à me mettre à jouer, surtout car c’est le soir et que je termine en général assez tard.
Puis se (re)mettre dans les règles, tout installer (je n’achète plus de jeux qui n’ont pas d’insert (à acheter en plus ou pas) ou alors le jeu est très rapide à mettre en place), se demander si l’on a le temps de jouer etc…
Puis j’ai dû vider ma pile de la honte, et je me suis sérieusement « au travail ».
Et depuis, je joue simplement car j’ai envie de jouer et je maîtrise quasiment toutes les règles de tous mes jeux.
Vu qu’en moyenne, je n’ai plus qu’une dizaine de nouveaux jeux par an, c’est plus simple.
Et je vais probablement tomber à 5 en 2025 voire moins.
Je profite vraiment de mes jeux.
Après, c’est car je me suis concentré sur la pratique solo, surtout car pas le choix même si à la base ça ne me déplaît pas.
Aujourd’hui j’adore ça même si ça ne remplacera jamais le multijoueur (quelques exceptions cependant, où c’est meilleur en solo).
Bref, je ne sais même plus à quoi je réponds.
Bon allez, bonne nuit.
je te lisais et me disais ‹ whaou, un bien bel exemple à suivre ›
puis j’en arrive là :
… ah, comme moi quoi, qui suis actuellement au pic de ma surconsommation !
Comme quoi, les curseurs de chacuns.
j’en suis plus là. beaucoup de jeux que je n’ai pas poncés mais qui l’auraient mérité.
Par contre, j’en profite malgré tout dans le sens où quand je ne suis pas moi aussi HS par ma journée, je trouve toujours ‹ le › jeu auquel j’ai envie de jouer à cet instant t. Et j’aime bien avoir un large choix.
Oui exactement. Perso ça me ferait mal de pas tester toutes ces nouveautés ! Le truc c’est simplement de pouvoir se dire qu’après quelques parties il faut se dire adieu (je travaille là-dessus). Au final si j’achète 10 jeux à 50€ je fais 3/4 parties de chaque jeu puis j’en revends 8 à 30€, c’est un système qui me conviendrait. Au final il y a une dépense de 250€ pour avoir fait entre 30 et 40 parties, sans compter les futures parties des 2 jeux qui restent.
Ça fait du bien de l’écrire parce que c’est à ce fonctionnement-là que je veux arriver. Je ne veux pas moins acheter mais plutôt plus jouer et plus revendre derrière. Hormis bien sûr ces jeux de collection que je garderai toujours, mais c’est un autre loisir comme précisé plus tôt.
Je fonctionne comme toi, sauf que je ne m’inflige pas de 3e et 4e partie si le jeu est vraiment rébarbatif ( mise en place ou maintenance reloue, livret de règles écrit avec les pieds…). J’achète dès leur sortie mes jeux coups de coeurs. Pour les autres, j’attends une promo ( merci le topic des crevards !)/une offre okkazeo, ainsi quand je revends, je limite vraiment les pertes, voire je n’en n’ai pas, excepté les frais de port. Voire même je ne les achète pas car la note BGG est à 7 pile ou moins.
Mais j’ai « besoin » de faire rentrer des nouveautés, pour éviter de poncer mes jeux sur une courte période, à cause du risque de leur faire perdre tout intérêt après. Je préfère en général le schéma 3-4 parties à la réception, puis 3 à 6 parties par an. A mon asso, de toute façon, ils aiment papilloner.
Je me sens un peu comme une chercheuse d’or, à la recherche d’une pépite ludique pour moi même si beaucoup retournent à la rivière. Je prends quelques risques ( jeu à 100 euros et plus, jeu atypique) mais qui peuvent s’avérer payants quand je me dis « ça, c’est vraiment un bon jeu ! » pendant la partie ou quand je regarde mes quelques jeux peu communs et qui reflètent ma personnalité et mes goûts variés.
Oui bien sûr, j’ai essayé l’exemple type du bon jeu mais qui n’apporte rien de plus à la ludothèque. C’est clair qu’un jeu qui ne marche pas du tout partira plus vite. De toutes façons je n’ai pas le choix pour certains jeux vu que ça dépend de ma partenaire principale. Et ça j’ai mis du temps à le comprendre…
Je vends plus que je n’achète, que ce soit en nombre ou en valeur.
J’ai littéralement pété un câble en 2020 et 2021 niveau achats de JdS probablement pour compenser quelque chose mais il y a pire.
Jouer me permet également de m’évader même si depuis toujours j’adore ça.
Petit,et jusqu’à il y a peu, je travaillais énormément et je jouais autant que possible mais c’est devenu une échappatoire, j’en ai « besoin ».
Il y a pire comme « drogue », d’autant plus que je ne touche pas au budget « vie » et que j’ai vendu une bonne partie de jeux vidéos également qui m’a permis de rembourser mes dépenses insensées (pour ma part) les deux années COVID.
Je suis passé de 250 jeux en 2021 à 150 aujourd’hui malgré plusieurs dizaines d’achats depuis.
Mais clairement ça va dans le bon sens, + de 70 en 2020 (10-12 en 2019), 36 en 2021 puis 23 en 2022, 13 en 2023 et l11 ( mais 13 normalement) en 2024, sachant que j’aurai acheté tout ce dont j’ai envie sauf deux qui sont programmés pour l’année prochaine.
De plus, l’an passé, j’ai acheté seulement deux jeux les 6 derniers mois de l’année excepté Noël (c’est à part et ce n’est pas forcément moi qui achète, cela dit, ce n’est que deux jeux).
Mon but était de ne prendre plus que 2-3 jeux par an voire un seul à partir de 2025 mais après réflexion je me suis dit que c’était se prendre la tête pour rien vu que c’est quelque chose qui me fait plaisir et que je sais que dorénavant je n’achète que ce qui m’intéresse vraiment quitte à le vendre si ça ne me plaît pas et que j’y joue dès réception.
Ma pile de la honte étant coincée à 2 jeux (j’en avais oublié un) depuis 2023.
Se priver totalement serait idiot.