Red sister
Mark Lawrence
Sur une planète au soleil mourant menacée par les glaces, les survivants vivent dans ‹ le corridor ›, une bande de terre maintenue vivable par un miroir spatial faisant fondre les neiges. La civilisation est retournée à une époque médiévale, et on suit l’histoire d’une gamine achetée à ses parents et revendue à un couvent de nonnes martiale.
Pas aussi sombre que sa trilogie Prince of Thorns, le bouquin se lit très bien, il est très accrocheur.
MK n’est pas aussi habile que Sanderson pour décrire son système de ‹ magie ›, mais ça reste intéressant.
La ou Prince of Thorns était résolument dark fantasy et violent, Red Sister ressemble davantage à un Harry Potter gritty.
Y’a des petites fulgurances littéraires et des doubles sens subtils, et je ne résiste pas à citer la première ligne du prologue, qui accroche direct :
it is important, when killing a nun, to ensure that you bring an army of sufficient size. For Sister Thorn of the Sweet Mercy convent Lano Tacsis brought two hundred men.