Oui l’offre sera intégralement la même durant le PM avec en plus l’ensemble de la gamme MB:P
Excellent ce SG !
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Pour ma part ce sera All-In mais au PM. Trop de sorties, CF et PM à faire ce mois-ci 
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A 4 jours de la fin, nous en sommes à 1,5M $ soit plus que la campagne MBP 1.5 et encore assez loin de MBP 1.0. Et la courbe sur Kicktraq semble atteindre un plafond.
Forte chance qu’on atteigne 2M $, à voir ce que ça donnera au PM / Late Pledge mais c’est plutôt bon je trouve.
Et ouais, le dernier héros est super cool.
ça y est, j’ai ajouté ma modeste contribution pour nous rapprocher du prochain palier. Juste la corebox, je reste fort.
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J’espere surtout que le jeu te plairas ainsi qu’à une partie de ta famille
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A Renan
Oups pardon, en cliquant sur répondre, j’ai cliqué sur le mauvais post, désolé
Une pitite question. (Quoi comment ça je vais encore ramener ma science ? Mais pas du tout, du tout ! lol) J’aime beaucoup l’illustration avec l’ours. C’est amusant, mais juste après la figurine de l’ours, il y a un guerrier assoupi.
Cela me fait furieusement penser à la scène de bataille finale dans la saga de Hrolfr Kraki où Bödvarr Bjarki (qui est un berserkr) rentre dans un sommeil léthargique et fait apparaître son double animal (le hamfarir) qui est un énorme ours rouge.
En fait, si vous voulez, dans les croyances Scandinaves anciennes, chaque être humain possède un double animal invisible qui le suit partout (Fylgja ou Hamfarir, quoique la distinction entre les deux n’est pas claire pour moi). Il est un peu une sorte « d’ange gardien ». Il est impossible à son propriétaire de voir son double animal, ou alors si c’est le cas, c’est funeste, cela signifie qu’il va bientôt mourir. En revanche les sorciers qui ont le don de « Seconde Vue » peuvent, dans certaines circonstances, voir le double animal des autres.
Egalement, suivant la couleur et l’animal, cela a une symbolique et montre les principaux traits de son propriétaire. Par exemple : l’ours = la force et la bravoure/le courage (donc si votre double animal est un ours, cela veut dire que vous êtes fort et courageux. En même temps, je vois mal un berserkr faible et lâche lol), le blanc = la noblesse ou de haute lignée. Je ne sais plus ce qui signifie le rouge dans le cas de Bödvarr Bjarki.
Et pour raconter la petite histoire de Bödvarr Bjarki. En fait dans la bataille finale de la saga, Hrolfr Kraki est entrain de perdre la bataille face à son ennemi. Bödvarr Bjarki décide de se mettre à l’écart de s’adosser à un arbre et de « faire une petite sieste » (en fait de rentrer dans un sommeil léthargique, c’est alors qu’apparaît un immense ours rouge au milieu de la bataille et il commence à décimer les lignes ennemies, inversant ainsi la bataille en faveur du roi Hrolfr Kraki. Cependant un autre des guerriers de Hrolfr Kraki s’inquiète de l’absence de Bödvarr Bjarki et il part à sa recherche. Il le retrouve adossé à un arbre entrain de faire sa « petite sieste ». Il le réveille, lui disant que ce n’est certainement pas le moment de dormir. Bödvarr Bjarki lui répond qu’il vient, sans le savoir, de commettre une erreur. Au moment où il est réveillé, l’ours disparaît subitement. Bödvarr Bjarki se bat merveilleux bien auprès de ses compagnons d’arme mais malheureusement il ne fait pas autant de dégâts que son immense ours rouge et il n’arrive pas à inverser la bataille qui retourne en faveur de l’ennemi de Hrolfr Kraki. C’est ainsi que c’est une défaite pour le roi et ses champions mais qui jusqu’au bout se seront battus vaillamment et ont largement mérité leur place à la Valhöl (et non pas Valhalla ou Walhalla qui est plus le terme allemand)
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Je n’avais pas encore vu ! Merci beaucoup Korgal ! Donc effectivement la figurine de l’ours avec le guerrier assoupi est bien celle de Bödvarr Bjarki ! Ah yes ! Cela va être ma figurine fétiche ! J’adore justement le clin d’oeil à la scène finale de la saga de Hrolfr Kraki
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C’est excellent car t’a parlé de ca sans le savoir ^^
J’en connais un qui est entrain de kiffer ! lol
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J’avoue ! lol
Pour la petite précision concernant la Saga, il y a celle originale du XIVe siècle traduite par Régis Boyer aux éditions Anacharsis et il y a aussi la version « réécrite », « roman » de Poul Anderson., un régal ! dans les deux cas !
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Prochaine déesse à débloquer ! La magnifique Frigg !
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On attaque les SG qui font rêver. En route vers le bouquet final
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J’espère qu’ils ont assuré avec la figurine de Frigg !
Comme le fait souvent Korgal (merci à toi d’ailleurs !) Je me permets de vous copier coller la légende de Bödvarr Bjarki qui résume son histoire dans la Saga de Hrolfr Kraki et qui est en info sur le kickstarter.
La voici :
Pour connaître Bödvar, il faut d’abord connaître son père, Björn, un homme maudit pour avoir refusé les avances de la reine Hvit. Avec ses gants en peau de loup, elle le blessa, lui infligeant une malédiction qui le voyait se transformer en ours chaque matin au lever du soleil.
L’amour de Björn, une paysanne nommée Bera, l’aida du mieux qu’elle put, mais il était inutile de refuser les désirs de la reine. À la suite d’un complot astucieux de la reine, Björn fut tué au cours d’une chasse. Pour aggraver les choses, sa chair a été servie lors d’un banquet, auquel assistait Bera.
Mais l’héritage de Bjorn n’était pas complètement perdu, car Bera était enceinte. Björn, en homme sage, avait laissé derrière lui un coffre sur lequel étaient inscrits les noms de ses trois futurs fils. Ce coffre, ainsi qu’une cache d’armes, furent entreposés dans une grotte. Alors que Bera consommait la chair de son bien-aimé, elle tomba malade, mais réussit à donner naissance à trois fils : Elf-Frodi, dont le bas du corps ressemblait à celui d’un élan ; Thorir, qui possédait les jambes d’un chien ; et Bödvar, qui n’avait pas les qualités bestiales de ses frères. Les trois garçons grandissaient plus vite que ceux d’enfantement naturel et faisaient preuve de tendances brutales bien au-delà de leur âge.
Chacun des frères, à l’approche de l’âge adulte, a pris son indépendance, mais non sans avoir récupéré sa part du trésor laissé par leur père. Ni Elf-Frodi ni Thorir ne parvinrent à sortir l’épée longue du rocher, et durent se contenter d’armes plus modestes. Bödvar, qui était resté avec sa mère, voulut connaître son héritage, et lorsqu’elle lui révéla la sombre vérité sur le sort de son père, il devint furieux et jura de se venger de la reine Hvit et du roi Hring.
Le roi, voyant les violentes convoitises qui flamboyaient dans les yeux de Bödvar, lui proposa de renoncer à son poste s’il acceptait de ne pas toucher un seul cheveu de la reine. Mais cela n’a fait qu’attiser la rage de Bödvar, qui s’est précipité dans les quartiers de la reine, l’a saisie et lui a recouvert la tête d’un sac pour l’empêcher de proférer des malédictions. Après avoir assouvi sa vengeance, il se promena dans la ville, exposant son cadavre au roi impuissant et à la foule qui semblait se réjouir de la mort de la reine tyrannique. Peu après, le roi tomba malade et mourut, et Bödvar prit possession du trône pour un court moment, déterminé à récupérer son héritage dans la grotte et à vivre sa vie comme il l’entendait.
Après avoir récupéré la lame magique, il chercha son frère Frodi. Connaissant la force de son sang, Frodi l’offrit à Bödvar et jura de le venger s’il lui arrivait malheur. Il dit à son frère de se rendre à la cour du roi Hrolf, qui était connu pour s’entourer des meilleurs guerriers. Contrairement à Bödvar, Frodi était trop fantasque et grotesque pour être accepté à cette cour.
Bödvar a suivi le conseil de son frère et, alors qu’il était en route, il a rencontré un ancien avec qui il a partagé la motivation de son voyage. L’homme expliqua à Bödvar que son fils Hött s’était également rendu à la cour de Hrolf, où il avait subi les mauvais traitements des hommes du roi. L’ancien a raconté avec tristesse comment les soldats se sont moqués de Hött et l’ont jeté sous un tas d’ossements, en ajoutant d’autres au monticule après chaque repas.
Heureusement pour Hött, Bödvar arriva dans la cour, le tira du tas d’os et l’amena à un lac où il put se baigner. Mais ce n’était qu’une mince satisfaction pour Bödvar. Il est retourné dans la cour avec Hött, et les deux hommes ont attendu parmi les ossements que le premier morceau tombe. Quand il est tombé, Bödvar a sauté du tas, a attrapé l’os et l’a projeté sur l’homme qui l’avait jeté, le tuant.
Les soldats rampants s’enfuirent vers le roi, criant qu’un homme fort avait tué leur ami. Mais Hrolf n’était pas un imbécile et ne faisait pas de faveur aux lâches. Il démêla toute l’affaire, et non seulement épargna la vie de Bödvar, mais l’invita également à s’asseoir à ses côtés comme son champion. Mais Bödvar était un homme orgueilleux et il n’accepta qu’à la condition que Hött soit assis à ses côtés. Le roi, sachant que la présence de Bödvar serait un atout considérable pour ses forces, accepta les conditions du guerrier.
Ce choix fut des plus utiles à Hrolf car, lors des fêtes de Yule suivantes, un dragon terrorisa la population, et Bödvar, contre l’avis du roi, sortit la nuit avec Hött pour abattre la bête. Bödvar planta son épée dans le cœur de la créature et l’abattit, faisant boire son sang et manger son cœur au pleutre Hött, qui devint fort et vaillant. Hrolf fut impressionné et confia l’une de ses épées magiques à Hött, qu’il renomma Hjalti (« la garde de l’épée »). Hrolf dit alors que le plus grand exploit de Bödvar n’était pas d’avoir terrassé le dragon, mais d’avoir transformé un pleutre en champion.
Bödvar accompagna ensuite le roi dans toutes ses expéditions, y compris contre son beau-père, le roi Adils, et dans leur dernier combat, contre la demi-sœur du roi, Skuld. Trop occupés à festoyer, le roi Hrolf et ses champions ne virent pas venir, en cette veille de Yule, les troupes dissimulées dans les immenses tentes massées à l’extérieur de la forteresse que Skuld avait amenées avec elle en réponse à cette invitation. Il était déjà trop tard, le piège se refermait. Les champions rendirent coup pour coup et malgré une infériorité numérique flagrante prirent l’ascendant. Il faut dire qu’ils bénéficiaient d’une aide inattendue, malgré l’apparente absence de Bödvar.
Le corps de ce dernier était inerte, en transe dans les appartements du roi. Bödvar était en fait sur le champ de bataille, devenu ours, et mettait à mal les troupes adverses comme aucun autre champion. De plus, il protégeait son camp des sortilèges de la reine Skuld, qui ne pouvait aider son mari à prendre l’ascendant. Mais cet ours n’eut pas le temps de mener les champions à la victoire.
Hjalti, furieux autant qu’inquiet de ne pas trouver Bödvar au cœur des combats, fouilla la forteresse à sa recherche, et finit par le trouver, le réveillant, et mettant ainsi fin à sa possession. Bödvar rejoignit alors le combat en se lançant dans la mêlée dans une sauvagerie incommensurable, mais la magie de Skuld était à présent fonctionnelle, et la roue tourna.
Invocations de créatures, animation des morts, la défaite des champions fut lente, mais certaine. Le roi Hrolf comme ses champions périrent. Mais fidèles leur promess, Elf-Frodi et sa mère levèrent une grande armée, arrêtant les manigances de Skuld, qu’ils torturèrent avant de l’exécuter.
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La Saga de Hrolf Kraki par Poul Anderson c’est vraiment excellent. Très bon souvenir de lecture (comme souvent avec Poul Anderson).
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Moi j’veux jouer avec @Bödvarr_Bjarki.
Tu sors ta science scandinave, et moi j’t’apprends à être fourbasse à Mythic Battles 
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Ca marche albatardinho ! Marché conclu ! Avec plaisir ! lol
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Je n’avais pas vu. J’aime beaucoup ! Aller ! Je le prends aussi ! (bah d’toutes façons j’prends tout ! lol)