les batchs une fois par jour la nuit, c’est quand même l’informatique des années 90 … Allez, début 2000 au pire … je sais bien qu’un sou est un sou dans le milieu bancaire, mais faire payer un premium pour un service qui devrait relever de l’évolution naturelle de l’informatique, c’est bien du marketing de crevard comme seules les banques peuvent en faire (en tous cas les traditionnelles) …
tu veux dire que j’ai de la chance que ma banque ne prenne que 1€ :joy
avec ce qu’ils ont pompé pendant des années à leurs clients sur des c********, ils peuvent se permettre de faire ce genre de cadeaux maintenant (je peux les taquiner, j’ai de la famille qui bossait chez eux, et j’en ai été client pendant trèèèès longtemps jusqu’à ce que j’en puisse plus de leur relation client et de leurs tentatives de pompage de fric en loucedé « ni vu ni connu j’t’embrouille »).
Et accessoirement (et plus objectivement ), leur rapprochement avec le Crédit Mutuel il y a quelques années, et l’énorme projet IT qui s’en est suivi, a significativement amélioré leur informatique et leurs interfaces client …
Les frais bancaires de toute nature, ça rapportait aux banques 25 milliards d’euros en 2018. Donc faire payer n’importe quoi indépendamment du service rendu et du coût réel et rendre les tarifs les plus difficiles à comprendre possible, c’est le but. Quand ce n’est pas le cas c’est qu’il y a eu réglementation qui les a contraint, mais que souvent ils font passer pour leur bonne volonté commerciale.
Deux exemples parmi 1000 autres :
Juste pour rappel (ou même information pour ceux qui ne savent pas) on trouve encore des codes en Cobol qui tournent dans les banques et qui sont maintenus.
Donc les méthodes anciennes, c’est plutôt la norme
Et ça coûte trop cher de les récrire dans un language récent car il n’y avait pas de beaucoup de doc à l’époque et les développeurs de ces logiciels sont à la retraite ou ne veulent plus faire du cobol.
Il faut donc tout récrire et re-spécifié en risquant d’introduire des bugs.
Ça revient à payer des millions d’euros pour remplacer un truc qui fonctionne sans avoir la garantie que le nouveau logiciel fonctionne aussi bien.
Donc la stratégie globale consiste à laisser mourir le logiciel en ne le faisant plus évoluer et en espérant qu’il devienne obsolète (du aux de nouvelles réglementations ou à l’avancée technologique)
Je travaille dans le logiciel de paie (ressource humaine). On a encore plein de cobol, en particulier pour le moteur de calcul. La boîte a envisagé de changer la technologie, ils ont passé 3 ans à plusieurs devs pour le récrire en Java. Au final, les performances n’étaient pas au niveau, et ils ont foutu les 3 ans de travail à la poubelle.
Oui car avant les développeurs avaient la possibilité d’optimiser beaucoup plus le code et devaient le faire car les ressources des serveurs étaient très limitées et très cher. Du coup sur les machines récentes le code tourne beaucoup mieux que le code Java.
Maintenant on ne cherche plus à optimiser le stockage en mémoire et les boucles. On compte sur la jvm pour le faire.
Non, le Cobol, t’as pas grand chose à optimiser, ce sont les contraintes naturelles du language qui font que tu ne bouffes pas les ressources de ton serveur. C’est en C ou C++ que tu peux optimiser un truc mal codé. En java, t’es très dépendant du JDK et, maintenant, des frameworks, et à nouveau peu d’optimisation à faire (mais là tu voudrais).
Peu importe le langage, il est toujours possible d’écrire du code plus ou moins optimisé. Il n’existe pas de langage qui force à écrire le code le plus optimisé possible et qui ne fonctionne pas si le code n’est pas optimisé.
En Cobol tu dois gérer tes ressources « à la main » mais tu peux très bien coder un programme non optimisé qui gaspille des ressources pour rien.
Je n’achète plus chez Phili depuis qu’ils ont fait un pataquès gratuit qu’ils n’ont pas voulu m envoyer étant donné que le jeu de base n avait pas été acheté chez eux.
Avec des commandes comprises entre 100 et 200€ par mois pendant plusieurs années j avais trouvé ça mesquin.
(je peux les taquiner, j’ai de la famille qui bossait chez eux, et j’en ai été client pendant trèèèès longtemps jusqu’à ce que j’en puisse plus de leur relation client et de leurs tentatives de pompage de fric en loucedé « ni vu ni connu j’t’embrouille »).
), leur rapprochement avec le Crédit Mutuel il y a quelques années, et l’énorme projet IT qui s’en est suivi, a significativement amélioré leur informatique et leurs interfaces client …
