Moi ?!
Mais pas du tout.
(En vrai c’est une question que je me suis posée, pour de vrai, l’autre jour.)
Moi ?!
Mais pas du tout.
(En vrai c’est une question que je me suis posée, pour de vrai, l’autre jour.)
J’ai pas suivi ça tiens. Sur sa personne dans le sens physique ? ou sa place dans le JDS ? Même si l’un comme l’autre sont débiles tu me diras mais il en reste encore qui pensent qu’une femme n’a rien à faire dans le JV alors je me pose la question pour ici aussi…
Attention, je ne veux pas faire croire qu’il y a eu tel ou tel commentaire, je demande directement à l’intéressée comment elle le perçoit.
Elle parle d’observations étranges :
C’est p’têt pas le cas, je pose juste la question.
Je crois qu’heureusement on n’en est pas là du tout
J’espère ^^
Elle s’en fout, c’est une mite en pull over !
J’allais faire une blague de la Cité de la Peur mais je vais m’abstenir
La boucle est créé ! Plus ou Plus ?
Plus; évidemment !
Ça peut se comprendre qu’un employeur ait cette envie, mais ça n’est une raison valable de rompre une période d’essai aux yeux de la loi, il faut que les motifs de la rupture soient en rapport avec les compétences professionnelles de l´employé. C’est assez paradoxal, on peut mettre fin à la période d’essai sans donner de raisons, mais si on en donne, il faut faire attention.
Si chaque partie au contrat dispose d’un droit « discrétionnaire » de mettre fin à l’essai, et si l’employeur n’a pas à justifier d’un motif réel et sérieux pour rompre la période d’essai, la rupture doit toutefois être en lien avec son objet c’est-à-dire avec les compétences du salarié et leur adéquation aux besoins de l’entreprise.
Elle peut être considérée comme abusive notamment si elle n’est pas liée aux compétences du salarié (discrimination, raison économique, etc.).
Aussi, la rupture de la période d’essai par l’employeur risque-t-elle d’être déclarée abusive lorsque la décision n’est pas motivée par des raisons professionnelles (ex. : rupture motivée par une suppression de poste ou inspirée par une volonté de nuire, et/ou témoigne d’une légèreté blâmable).
Pour constater l’abus, la Cour de cassation va au-delà de l’examen du motif de la rupture. Elle apprécie aussi les circonstances entourant cette rupture : situation sociale du salarié, âge, embauche suite à une démission, durée de la période d’essai exécutée, précipitation avec laquelle celle-ci est intervenue.
Ça reste purement théorique, si la rupture se passe ‘bien’, pas de raison que tout ça serve
Adéquation avec les besoins… c’est bien ce qui c’est passé et c’est une raison valable normalement
A mon avis ça se discute quand tu vois la partie sur les raisons économiques. « Adéquation aux besoins » pour moi ça veut dire que si l’entreprise cherche un lanceur de couteaux, il faut que les capacités de la personne embauchée soient en adéquation avec le type de lanceur de couteau dont l’entreprise a besoin. Si l’entreprise décide que finalement le lancer de couteaux ça ne les intéresse pas (ou se font lâcher par leur client qui voulait un la cour de couteaux), ils peuvent pas dire que le salarié ne correspond plus à leurs besoins à mon avis.
Ben si les besoins c’est ça… tu n’en a plus besoin car tu n’as plus l’activité (ou baisse d’activité)…
Le soucis c’est si tu en rembauches un derrière mais sinon le poste n’est plus en adéquation avec le besoin…
On va pas tomber d’accord sur ce sujet pour moi faut vraiment que la rupture soit liée aux aptitudes du salarié (il lance mal ses couteaux), pas à un « oh bah finalement, plus besoin de lui même si c’est un excellent lanceur de couteaux »
Rupture de période d’essai - rappels des principes. Par Grégory Chatynski, Juriste. parle uniquement d’aptitudes du salarié par ex, moins ambigu que « adéquation aux besoins »
Coup de fil à un ami…. Qui te donne raison et sait de quoi il parle je n’en doute pas (et me dit qu’il faut être carrément debile pour justifier une rupture de période d’essai)…
Donc autant pour moi (et bam ! On relance un débat ?)
Dans tous les cas, si tu forces ton embauche en usant de ce moyen je ne te raconte pas l’ambiance au jour d’après !
L’idée c’est pas de forcer l’embauche mais d’être licencié « proprement » : indemnités (dépend des branches mais grande chance que ce soit 0) et surtout des éventuels droits au chômage.
Une rupture de la période d’essai à l’initiative de l’employeur tu as quand même droit au chômage.
Si tu y avais le droit avant évidemment
Au passage, c’était il me semble une promesse de Macron en 2017. Très partiellement tenue (très très partiellement)
Non, la promesse c’était d’ouvrir l’accès à l’assurance chômage pour les personnes qui démissionnent de leur emploi.
Ce qui a été effectivement très partiellement fait (Il y a pas mal de conditions à remplir pour cela).
La rupture d’une période d’essai n’est pas assimilée à une démission. Mais à un départ non volontaire.
Donc cela ne fait pas obstacle à l’ouverture d’une allocation chômage, si les autres conditions sont remplies.