Bonjour à tous. De manière récurrente, lors d’une campagne participative, revient l’éternelle critique :
la boite est vidée, le contenu a été découpé et les SG ne sont là que pour alimenter la campagne et remplir de nouveau la boite !
Alors, il y a la vision « backers » et son ressenti, et la réalité commerciale, entraînant une certaine « stratégie » pour tenter de sortir « le jeu », de son éditeur, tout en limitant, au maximum, le sentiment de « risque ».
Comment les uns et les autres peuvent-ils se rejoindre sur un consensus, en sachant que :
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une boîte exclusive KS reviendra plus chère que la boite prévue pour le retail (normalement, il y aura plus de boîte prévue pour le retail, que de boîte exclusive lors de la campagne - effet de masse lors de la production - pas d’exclusivité).
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qu’il faudra quand même rendre la boite retail attractive.
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qu’il faudra rendre la boite exclusive également attractive par rapport au retail afin d’alimenter la campagne et permettre, au projet, d’exister.
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faut-il préviligier, en exclusivité, le gameplay, l’amélioration du materiel ou un mixe des deux ?
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enfin, pour un éditeur, qu’est ce qui est viable, dans cette recherche de la ligne de crête, entre l’attractivité lors de la campagne, la rentabilité du projet, donner de l’exclusivité pour obtenir le financement de son projet et permettre une marge pour une suite, en boutique, ce qui est, ne nous le cachons pas, le « Graal » de tout éditeur ?
Backers et créateurs de projets (primo éditeurs ou éditeurs bien implantés), à vos plumes (@irskell, @Herve69100, @FGR, @Qvernet, @benwab, @froh, @damsrpg, @Alone-Editions …) !
Eclairez-nous de vos réflexions afin de mieux comprendre cette fine mécanique du financement participatif !