Julien Doré il est bien dans pop rédemption.
Il était aussi dans une comédie un peu onirico-déjantée de Pascal Thomas je crois, où il jouait un coiffeur
C’est visionnable où toutes ces bonnes choses ?
Hem… j’ai bien des idées mais la loi m’interdit de poster ça en clair sur un forum…
edit : d’après JustWatch, Dead Leaves est dispo sur AppleTV US et UK, donc c’est regardable légalement moyennant un VPN…
Arrivé de Monk (que je ne connaissais que de nom) sur Netflix.
On a regardé le premier épisode, plutôt sympa, on cherche une série vraiment drôle, à voir si ca côche la case
Monk a effectivement des pointes d’humour, mais je ne sais pas si on peut parler de série « vraiment drôle ».
Dans le genre, j’ai eu quelques bonnes poilades sur :
- Scrubs, une enième série hospitalière, mais avec des persos « attachiants »
- Community, vraiment au top (disons les 3 premières saisons, et aller au delà du tout premier épisode qui est bien trop sage). De sacrés trips, du tout bon.
- Brooklyn 99, en milieu policier, avec là aussi quelques bonnes marrades.
En tout cas moi après l’avoir découvert à la TV j’ai voulu voir Monk en entier et j’ai bien aimé. Mais j’aime les séries d’énigmes avec un personnage fort.
Cela dit comme @znokiss je ne la classerais pas en humour, j’ai plutôt eu de l’empathie pour Monk, je ne trouve pas que les situations rencontrées prêtent à rire la plupart du temps.
Ça la cochera pas. Y’a de l’humour dans Monk, certes (et qui s’appuie plutôt sur ses sidekicks, d’ailleurs), mais ce n’est pas une série comique. Une très bonne série policière très divertissante, sans aucun doute, mais pas une série dont le principal ressort est l’humour.
Tant pis pour l’humour
On va quand même lui donner sa chance
@znokiss Merci
- Scrubs : vu et très bien
- Brooklyn : presque tout vu, on a lâché sur la fin, quelqueS bonS momentS mais pas hilarant
- Community : j’ai essayé 2 fois mais je ne me suis peut être pas assez accroché
Dernièrement on a testé It’s Always Sunny in Philadelphia mais on décroché au bout d’une saison
Les référence restent pour moi Friends, Modern Family et HIMYM #nostalgie
En vrai drôle, Parks and récréation ainsi que the good place
Et Brooklyn nine nine aussi si on fait un prix de gros.
@aviondandy dit 2 posts au-dessus avoir déjà vu presque tout Brooklyn 99
Sinon, j’ai repensé, en série Feel good et avec ses moments vraiment poilants, il y a The Marvelous Miss Maisel.
Dans le New York des années 60, une femme va se lancer dans le stand-up comedy (à une époque où voir une femme seule sur scène, c’est presque impensable). La reconstitution est dantesque et la réalisation au poil (y’a du budget, ils se font plaisir et nous font plaisir).
L’humour est omniprésent, avec des persos trucculents et des dialogues finement ciselés, c’est vraiment du caviar.
Bonus : c’est l’acteur qui joue « Monk » qui est le papa de la fameuse miss Maisel, et il est vraiment au top (comme tout le reste du casting).
Scrubs et Brooklyn 99 sont mes préférées.
The Good place, c’est fun, mais c’est pas tordant comme les autres.
Il y a Superstore (mais c’est un cran en dessous aussi)
Damned.
J’ai interrompu mon run de The Expanse (fin de saison 3, la série pourrait s’arrêter là que ce serait excellent pareil) pour démarrer Le Problème à 3 corps.
J’ai lu la trilogie, et je trouve l’daptation relativement fidèle. Oui, ils ont scindé un perso en 3 persos, oui, ça va vite, oui, y’a des trucs modifiés… mais on ne vas pas refaire le procès que les puristes ont fait à Villeneuve pour son Dune. Le mot « adaptation » a tout son sens.
J’en suis au milieu (épisode 6), et y’a pas à dire, si vous doutez, allez au moins jusqu’à l’épisode 5.
Jusque là, j’aime bien. On retrouve les qualités (les concepts, l’histoire au sens large) et les tares (« persos prétextes » un peu creux, juste là pour déplier l’histoire) du matériaux original. Il y a des fulgurances (« les autres ») et des moments « mais qu’est-ce qu’ils sont cons quand même », comme souvent sur des séries de ce genre.
Côté réalisation, je suis un poil déçu. C’est un peu trop « série Netflix », avec des effets spéciaux qui font le taf, mais un déroulé un peu trop intimiste.
Vu l’ampleur des évènements narrés dans la série, je trouve un peu étrange que tout repose sur les épaules de la poignée de gens qu’on voit à l’écran, avec ce gros relou de Wade qui coordonne tout (dont j’ai cru au début que c’était Jean Reno, mais non, c’est Liam Cunnigham).
Même « netflixation » côté persos, avec des chercheurs en science avancée qui sont presque tous des mannequins… (idem pour les étudiants chinois dans la partie d’intro…)
Je me prends à rêver de ce qu’aurait donné une telle série si la réalisation avait été à la hauteur d’un DUNE, tiens, avec une vraie vision d’auteur et des choix tranchés côté direction artistique.
Reste que ça fait bien le taf et je trouve qu’on est quand même dans le haut du panier niveau série de l’année. Hâte de voir la suite, j’imagine que la saison 2 couvrira le tome 2 (même si des prémices sont déjà plantés ici, j’ai mis un moment à tilter…).
Finalement, entre Dune, The Expanse et ce Problème à 3 Corps, les adaptations de monuments de SF se portent pas trop mal ces dernières années. Amis scénariste, n’hésitez pas à voir ce qui est faisable du côté du roman Spin, y’a un sacré potentiel.
J’ai presque terminé de la regarder de mon côté. Effectivement il y a des bons côtés et des bonnes idées (le « jeu en VR » par exemple est top). Les concepts généraux du bouquin sont conservés aussi, et c’était pas facile à faire.
Après, vu que dans le roman, les personnages ne sont pas développés (on s’en fout s’ils ont une famille, s’ils sont amoureux, etc.) il fallait bien faire quelque chose pour une série TV. Et là, c’est la CATASTROPHE. Le groupe de 5 « héros » avec leurs histoires de cœur et/ou leurs très très longues histoires pathos est d’une nullité rarement vu. Le grand chef Wade : ça te fait sortir de l’histoire tellement ce n’est pas crédible (genre le mec est d’une super-agence il a tout les droits).
=> Bref, les producteurs / scénaristes avaient une marge créative sur le développement des personnages et ils ont juste fait un truc tellement bateau. À se demander si cela n’a pas été écrit par chatGPT.
Je plussoie plus haut ce qui a été dit sur The fabulous Mse Maisel. Si tu veux rire y a pas eu beaucoup mieux je crois récemment (dispo sur Amazon).
Sinon vu ce que tu ascomme référence y a une vibe « sitcom bande de pote » donc ça peut partir sur New Girl (ça peut faire girly comme titre mais c’est vraiment plaisant à regarder avec des personnages étonnament très touchant). (disney+)
Sinon il y a, celle que je classerai sans trop de mal dans le top 3 des séries à voir absolument au moins une fois, The Office (US) ne serait ce que pour le nombre de références qu’elle a fournie à la culture meme. (Netflix, Amazon)
Oh j’ai failli oublier l’une de mes premières séries coup de coeur. Bored to Death un cating premium pour une petite pépite qui passe trop souvent sous les radars. Et que je recommande chaudement(Amazon)
Après j’ai toujours trouvé ça un cran en dessous de ce qu’il se fait dans le genre mais the big bang theory reste une valeur sure. (Netflix Amazon)
Et en classique de chez classique, Malcolm, Kaamelott, South Park, Futurama, Rick & Morty (Disney, canal, Neflix, Amazon)
Complètement d’accord avec vous deux. Dans les trucs nazes, j’aime bien aussi quand ils s’expliquent entre eux des concepts de physique niveau seconde alors qu’ils ont tous au moins 5 doctorats. Et ce sont les seuls chercheurs à qui on confie un accélérateur de particules sans équipe : ils sont tous seuls dans leurs labos, sans étudiants doctorants, sans ingénieurs autour… super chelou : « tiens v’là les clefs du gros bordel en anneau, oublie pas d’éteindre avant de partir ». Autre exemple : quand la nana avec les lèvres botoxées décide d’arrêter sa production de mono-filament (un classique du cyberpunk ça au passage), elle éteint l’ordi et plus personne peut fabriquer les bordels à sa place. N’importe quoi.
Le flic était un personnage pas trop mal dans les romans (on le sent cradingue, il clope tout le temps, picole plus que de raison, etc. du classique vous me direz mais l’auteur arrive à le rendre assez insupportable, c’est plutôt cool), et même s’ils ont tenté de garder un peu ça, il est beaucoup trop fade. Et le coup de l’espèce « d’agence » comme vous dites… quelle misère.
Malgré tout, avec une meilleure adaptation et réal, ça aurait pu être beaucoup mieux (comme @znokiss je n’ai pas de souci avec le fait d’adapter, splitter un perso en 3 ou 4 personnages ça ne me dérange pas non plus, ça se justifie en tout cas). En fait j’imagine assez bien le matériau de base être repris dans quelques années en trois films par exemple, avec un résultat peut-être plus à la hauteur. Le potentiel est là.
En revanche pour me situer par rapport à l’œuvre originale, je précise que je ne m’étais pas tapé le cul par terre à la lecture des romans (j’avais quand même aimé quelques trucs : tout ce qui passait pendant la Révolution Culturelle par exemple ; ou alors le fait que pour une fois on est AUSSI du côté des « envahisseurs », c’est assez rare même s’il y a des précédents). Pour moi c’est de la sf pour public qui n’en lit jamais ou presque, on est pas loin de Bernard Werber tellement ça peut être faible, et c’est beaucoup trop incohérent pour être classé en « hard science », ce que ça aimerait être. Aussi, je ne supporte pas qu’on m’explique comment qu’elle marche la photocopieuse ( © King Ju) : le coup de l’ordinateur humain, tu vois arrivé le truc à 10km dans le bouquin, c’est d’une niaiserie abyssale - d’un point de vue des ressorts narratifs ça fait un peu penser à des trucs genre Da Vinci Code ou les romans à la con similaires.
Ah mais oui, The Office US, tellement.
Ma copine a lâché au troisième épisode, c’était trop « cringe » pour elle, et c’est bien dommage.
J’ai tout regardé et adoré ça (moins à partir des 2-3 dernières, on sait pourquoi). Au final, même si Steve Carrell en fait des tonnes et que la série repose en bonne partie sur son perso, les personnages secondaires ne sont pas en reste, (Jim et Pam ).
La série mérite sa réputation.
Tout pareil que toi, en fait. Ma « claque », c’était la découverte du concept développé dans le tome 2, qui pour moi vaut sacrément le détour. J’ai découvert par la suite que ce n’est pas du tout une invention du roman mais que le concept date de 1983.
Attention, joli spoil possible du Problème à 3 Corps (livre et série) :
Me concernant, je trouve cette théorie très intéressantes, et le Problème à 3 corps (bouquin et série) un bon moyen de l’expliquer au grand public.
Mais sinon oui, on est tous d’accord que si ça reste agréable à suivre au niveau « macro » (= histoire de l’humanité), l’enrobage Netflixien laisse un peu à désirer.
(mais comme le roman qui avait ses quelques ratés)
The good place, on a bien aimé mais on a pas regardé la dernière saison qui de mémoire à trainé a venir et quand on a voulu s’y remettre on ne se rappelait plus des tenants et aboutissants des saisons précédentes