En même temps, les Açores quoi ! Piste courte et mouillée, vent de travers, c’est sport :
C’est une chose qui m’interroge avant de (probablement) craquer : y’a t’il une réelle difficulté dans le jeu lorsque l’on commence à (trop) bien connaître son (co-)pilote ? Quant au final, la communication non verbale l’emporte sur tout le reste et que tout devient hyper fluide ?
(comme deux partenaires de belote qui jouent ensemble depuis de longues années, comme cela a été cité comme image).
En gros, ne se lasse t’on pas du jeu trop vite si l’on joue tout le temps avec la même personne ?
Après il « suffit » en gros de se mettre d’accord avant la partie, genre « tu t’occupes tant que tu peux des volets, et moi de libérer la piste », et ça fluidifie déjà énormément les actions.
Justement, c’est ce que je crains. Une fois les automatismes acquis dans la répartition des tâches, j’ai peur qu’il n’y ait plus beaucoup de challenge, même sur des pistes difficiles ! Restera l’aléatoire des dés, mais est-ce que cela sera suffisant ?
Peut-être que cela peut arriver, à voir mais, sans déflorer le contenu de la boîte, en progressant dans les scénarios tu vas avoir de nouvelles choses à faire. De quoi casser les éventuelles habitudes que tu vas prendre.
Je trouve qu’il y a clairement des points communs (communication limitée, coopération, progression via des scénarios…) mais on n’a tout de même pas vraiment l’impression de jouer à la même chose. C’est très subjectif mais je trouve que les émotions ont plus de place dans R&J. Ce qui n’enlève rien à Sky Team. Pendant certains atterrissages, il y a des situations où on ressent vraiment bien le stress. Par ailleurs, je trouve l’immersion très bonne dans Sky Team. Et là, le matériel y est vraiment pour quelque chose.
Bref, je suis content d’avoir les deux
Le jeu a l’air simple de prime abord, mais on a quand même réussi à se planter au premier atterrissage sur l’approche, pourtant réputée facile, de l’aéroport de Montréal-Trudeau. Trop vite, trop incliné… comme l’a écrit Jean-Pierre Otelli, ancien pilote de chasse qui est l’auteur d’une série de livres sur les accidents d’avion ; approche non stabilisée = danger !
La deuxième tentative s’est mieux passée même si elle a été tendue jusqu’au bout. Heureusement que l’on avait du café dans le cockpit !
Bien que l’on ne puisse vraiment pas parler de simulation, le jeu rend de bonnes sensations. Lors des phases sans communication, on sent toute la concentration qui règne dans un poste de pilotage au moment de cette phase, toujours délicate, qu’est l’atterrissage.
Ah ben non, moi j’ai le bras qui ripe souvent sur ce paravent, et ça fait valser les dés qui sont dedans… Grumbl!!! mais sinon, oui, j’aime bien.
Bon presque fini les missions vertes, y a qu’au Japon qu’on a dû recommencer, parce qu’on a vraiment fait une série de jet de dés moisis. Sérieux, faire 6665, tu veux faire quoi avec ça? Ben des cafés, mais ça a pas suffit, surtout quand on n’arrive pas à dégager les avions devant.
J’ai reçu mon disque relativement vite, en une semaine je crois. J’étais d’ailleurs surpris!
edit: je crois me souvenir avoir lu sur le site de black rock qu’ils traitent le SAV le Vendredi. Du coup, c’est mieux d’envoyer un mail genre le jeudi je pense, pour moi patienter
Le pire étant, et pour moi on est sur LE gros défaut de gameplay, qu’on ne peut pas utiliser le stagiaire pour faire un café.
Ca me casse l’immersion à chaque fois.