« Star Trek: Captain’s Chair » est un jeu de construction de deck asymétrique et thématique.Les joueurs incarnent des capitaines célèbres, recrutent des équipages, explorent des planètes et gèrent des ressources.Le but est d’accumuler le plus de points de victoire (PV) à travers des missions, des améliorations de spécialité, des opérations spéciales et des jetons de Gloire.Le jeu propose également un mode solo d’entraînement pour les cadets.
J’ai terminé ma quatrième partie hier, toujours avec ce bon vieux Picard. Sa stratégie est clairement orientée sur les Alliés et la Diplomatie. Et si les cartes adéquates apparaissent rapidement, il y a moyen de monter très très rapidement en diplo.
Je vais bien relire le bot et commencer une première partie contre lui.
Les erreurs les plus importantes que j’ai faite au début :
Ne pas différencier Gain/Scan de Take.
Gain : prendre la carte et la mettre sur le dessus de notre deck ou dans la discard pile.
Take : prendre la carte dans sa main ! Et ca peut changer bcp de choses !! Au début je considérai take de la même manière que gain et scan.
J’ai aussi activé le contrôle d’une planète que je contrôle à chaque tour (mais une seule, c’est de la semi-triche ^^), alors que l’étape contrôle correspond à prendre possession de la location si on respecte les critères et on active le champ contrôle de la carte uniquement lors de cette étape et plus après…
Enfin les deux premières parties en mode cadet j’ai joué 12 tours au lieu de 11. Lors du passage à la seconde carte stardate, en plus de vider le marché il faut poser un jeton gloire de la seconde carte sur une carte du marché, chose que je ne faisais pas.
Ah ouais je ne pensais pas que c’était à ce niveau ! Ludum a eu un énorme coup de bol de recevoir quelques exemplaires !! (et moi d’avoir choppé une copie !)
J’ai eu la chance de chopper une boite sur ludum et j’ai pu tester la bête en mode solo(cadet) avec Picard.
dèjà c’est plutôt bien cool d’avoir ce mode solo cadet qui permet de tester « tranquillement » un capitaine sans se farcir des règles du bot solo qui sont assez conséquentes
globalement on sent bien la pate de Turczi, le jeu est assez complexe et on peut aller un « peu dans tous les sens ». Le jeu est exigeant et il semble difficile de jouer ça en mode tranquilou-billou, les mots clefs sont nombreux et concernent parfois des choses très similaires mais avec LA petite différence à ne pas oublier.
on sent bien la montée en puissance du jeu au fur et à mesure des tours (11 tours en mode cadet) avec l’acquisition des cartes en réserve (qui rentrent à chaque fois qu’on a fait le tour de son deck) et des cartes de développement (qui rentrent par le même mécanisme, mais qui elles, sont choisies par le joueur et qui doivent être payées (en dilitium ou latinum)
les synergies entre cartes se multiplient avec l’avancée du jeu et on oriente au fur et à mesure sur quoi on va scorer
d’ailleurs pour le scoring il est nécessaire pour scorer certaines cartes d’accomplir une mission propre à son capitaine (plusieurs missions sont disponibles sur la face avancée du capitaine)
Après cette première partie mon sentiment global en solo c’est surtout une impression de très grande richesse et diversité dans le gameplay, je pense qu’on peut jouer plusieurs fois le même capitaine en mode cadet et avoir des parties assez différentes (même si la mission du capitaine va forcément un peu orienter l’acquisition de certaines cartes)
L’ajout en solo du vs bot semble très prometteuse avec des comportements du bot en rapport avec la « thématique » du capitaine choisi, par contre je préfère refaire quelques parties en mode cadet pour me concentrer uniquement sur mon propre jeu et ne pas à avoir à gérer le bot !
Une fois bien maitrisé j’essaierai à deux joueurs mais j’ai un peu peur du temps de jeu car on peut facilement se perdre dans les nombreuses options que proposent le jeu !
Je repasserai ici une fois que j’aurai un peu plus poncé le jeu …
Paix et prospérité !
Ce sont clairement deux jeux de la même famille, et d’ailleurs leurs créateurs les présentent comme tels. Après, ST:CC présente quelques modifications/ajouts majeurs :
Plus de phases barbarie / empire. Ca téléguide beaucoup les débuts de partie dans Imperium, dans ST:CC on est plus libre de nos choix dès le départ.
Les lieux se contrôlent avec un système de majorité. Ca ouvre beaucoup de possibilités de pourrir la vie de votre adversaire, qui n’existent pas dans Imperium.
Une partie importante du scoring dans ST:CC est conditionnée par la réalisation d’une mission propre à chaque joueur. Essayer d’empêcher l’adversaire de la réaliser est donc un élément de stratégie important.
Cela et d’autres différences font que pour moi les jeux sont plus complémentaires que redondants.
Je n’aime pas tourner les cartes pour payer une activation - surtout quand il y a des cartes en dessous -, donc je me suis fait un token pour la marquer.
Ca va, c’est suffisamment générique. J’ai l’équivalent pour mes JCE, mais là je voulais quelque chose de plus thématique. Une indication que j’accroche bien au jeu.
Bon je viens de me faire un bon 131 points avec Picard en mode cadet.
J’ai choppé un max de cartes influence/science et j’avais les deux curseurs à fond grâce aux locations et à la carte utilize.
Et combo bien joli qui commence avec :
Rykers pour se faire du latinum à chaque tour.
Prise de contrôle de FreeCloud
Enrôlement de Bruce Maddox
et la machine est lancée :
On joue Bruce Maddox, qui permet de chercher et jouer gratuitement Data (augmentation influence/science + 1 gloire). Tour suivant on active FreeCloud pour 2 latinum qui permettent d’aller chercher (find) n’importe quel carte dans son deck… Au hasard Bruce Maddox, qui va à son tour permettre d’aller chercher et jouer un synthétique gratuitement (Data) …rince & repeat
En bonus, une fois plus besoin de data j’ai poussé le bouchon de le remplacer par Peanut Hamper… Pour 2 diletum je scan un cargo (mini 2 pv en plus par tour quand on touche pas le jackpot avec un cargo de type Science :bave: )
Très content de cette partie, je kiffe ce jeu !! J’ai hâte que mon fils se débrouille bien en anglais pour jouer avec lui