Je me permets de revenir sur ce que j’ai dit, car j’ai l’impression d’avoir un peu lancé le débat sur l’écologie.
En préambule, je précise que j’ai déjà eu l’occasion de jouer avec un objet produit par Thomas, et que je ne doute pas de la qualité du produit qui nous est proposé ici.
Et par ailleurs je comprends tout à fait ce que cette campagne peut avoir d’atypique, les coûts afférents et donc le prix, etc. Et je pense que KS est là aussi pour nous proposer ce genre de choses.
Quand j’ai écrit « Mais je dois dire que je ne sais que penser de la démarche éco-responsable quand il s’agit d’un produit dont, en fait, personne n’a vraiment besoin. », ce que je voulais dire - et que j’aurais dû dire d’ailleurs - c’est que pour moi, l’argument écolo n’en est pas un.
Un jeu, ça n’est pas un paquet de café pour lequel, à goût à peu près équivalent tu peux choisir entre la marque éthique éco responsable et la grosse méchante marque qui exploite les producteurs et pollue les océans (je force volontairement le trait hein, pataper).
Même si certains jeux se ressemblent, ils restent quasi tous différents. Et je ne crois pas que quelqu’un puisse hésiter, à prix à peu près équivalent, entre disons Exploration et Turbulences, et choisir Turbulences parce qu’il est plus écolo.
Si t’as envie de jour à Turbulences tu prends Turbulences. Sinon tu prends l’autre et tant pis pour les tortues.
Mais si t’as envie de jouer à Turbulences, tu ne peux que te féliciter qu’il soit produit de cette manière.
Pour le dire autrement, je ne doutais pas de la dimension écolo du projet, mais plutôt de la force et de la pertinence de cet argument pour la vente du produit.
Edit : je donne l’exemple du café, mais ça non plus on n’en a pas vraiment besoin, imaginez plutôt avoir à choisir pour des produits de première nécessité.