YouTube, influenceurs, et rémunération

Bah justement, lui il passe ses messages avec ses dessins. Mais il est clair que rien que le fait d’avoir une dépendance financière avec les éditeurs et autres acteurs, cela nuit à l’objectivité et restreint la critique.
C’est normal et triste en même temps.

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Pour ce cas précis je pense qu’elle dit juste qu’elle a peur de ne pas comprendre parfaitement les nuances et les choses suggérées à des degrés divers et donc a peur de mal ou sur-interpréter. Elle m’énerve souvent elle, mais là je pense que tu te méprends sur l’intention.

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Plutot d’accord avec ça…

Euh… non ? Soyons réalistes : l’économie, peu importe dans quel domaine (hors économique^^), ça n’intéresse globalement personne.

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Au bûcher.

Pas forcément d’accord : l’économie ça n’est pas que des chiffres, avec la réputation d’austérité qui en découle, c’est aussi ce qu’on fait et conclut à partir de ces chiffres. Et ça, c’est pas forcément aride et difficile, et ça peut intéresser les gens.

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Tu te trompes, à mon avis. Ca n’intéresse pas des gens qui viennent regarder un live traitant des sorties ludiques. Et je pense même que si ton segment « survolé » dépasse les deux minutes (ou même la minute), tu as perdu un bon paquet de ton audience.

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Il ferait un bon dirigeant de la CFDT du coup :clown_face:

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Je pense comme @zythum que l’économie du jeu de société peut intéresser.

Faut juste faire la distinction entre les publics. Si on parle du « très grand public » qui joue aux JDS, évidemment que « ça n’intéresse globalement personne ». Là, on est sur une majorité de gens qui ne s’informent de toute façon pas sur le sujet, qui consomment un peu de JDS en allant dans une boutique spé, voire en GMS qui a un rayon spé, et qui achètent « au visuel » ou sur conseil de vendeur.

Si on parle de gens qui jouent aux JDS et qui s’informent, ne serait-ce que sur les sorties à venir, ou même plus basiquement, qui cherchent des infos sur le web, dans des vidéos, sur les jeux, bah là on réduit drastiquement la taille du « public », mais on augmente aussi fortement la part de gens susceptibles de s’intéresser au fonctionnement du monde du jeu (donc à « l’économie »). Dans le cas d’Un monde de jeux, on est sur un public qui fait la démarche d’aller chercher de l’info.

Un influenceur peut, s’il le veut, intéresser son audience en évoquant - aussi - des sujets plus sérieux sur le monde du jeu. Et j’ai même envie de dire que s’il ne parvient pas à intéresser, ne serait-ce que brièvement et de manière schématique, une audience qui cherche de l’info JDS sur, au pif, ce qu’implique - ou peut impliquer - l’acquisition toute fraîche de Catch Up Games par Hachette et la dynamique de concentration qui se met en oeuvre dans le JDS, ça pose question sur la qualité de son contenu et sur sa « compétence d’influence ». S’il est impossible d’intéresser le grand public à des sujets jugés trop complexes ou pas assez fun, comment expliquer les audiences significatives de chaînes YouTube hyper pointues sur des sujets scientifiques, philosophiques ou autres ?

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Parler - sérieusement - d’économie, notamment du JdS, suppose un travail de recherche, d’analyse et de vulgarisation qui équivaut à une démarche journalistique rigoureuse. Là, on a perdu 99,9% des influenceurs / youtubeurs.

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En plus moi j’ai juste envie de savoir qui couche avec qui.

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Ça va souvent de pair avec l’économie. :smile:

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Apparemment l’économie à trompé la santé avec la sécurité :slight_smile:

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C’est rigolo ça. D’un côté on reproche aux reviewers de donner un avis parce que « non mais leur avis on s’en fout je suis assez grand pour en avoir un et c’est que en jouant moi même ou en regardant les règles que je pourraient en avoir un. » et de l’autre on leur reprocherait de ne PAS donner un avis et de vouloir donner uniquement l’information brute et qu’on se fasse nous même un avis ?

:upside_down_face:

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Holà, je suis pas le bon client pour cette remarque :stuck_out_tongue: J’ai toujours trouvé monstrueusement idiote la réflexion comme quoi les avis de la presse, des influenceurs, etc. servent à rien car « je me fais mon avis moi-même ». Le but de la critique (en tant que « consommateur ») étant non pas « de se faire un avis », mais de pouvoir avoir une idée des jeux qui pourraient m’intéresser ou au contraire me faire fuir. A moins d’avoir un budget illimité, je vois pas bien comment on pourrait se faire un avis sur tout (et j’en vois pas bien l’intérêt d’ailleurs). Moi je milite au contraire pour un discours critique dans le milieu du jeu de société. Et par critique, j’entends construit et décorrélé de toute notion commerciale, pas QUE négatif comme c’est souvent connoté.

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Ça a mis trente ans à vraiment arriver et bien à être bien installé pour le cinéma. Ça ne saurait tarder pour notre cher milieu donc et c’est tant mieux !

Je sais pas ce que j’ai je vois tout en rose aujourd’hui. Ça doit être la sève.

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Son avis sur la chose est un peu limitée. Elle a dans sa famille des illustrateurs, elle se sent concernée et veut défendre (mal) leur gagne pain. Martin est plus dans la réserve et sur le coup il a raison. C’est un sujet compliqué et les avis tranchés sont souvent assez peu argumentés. De façon générale, les avis de Pénélope sont de mon point de vue souvent à coté de la plaque…

Je ne veux pas dire qu’il ne faut jamais donner son avis. Elle a bien fait de l’exprimer si ça lui tenait à coeur, mais de mon point de vue de spectateur, j’ai trouvé cette séquence naze.

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Tu penses auxquelles ?

Après vous oubliez quelque chose de quand même fondamental, parler d’économie c’est savoir avant tout la vulgariser. Et contrairement à ce que pas mal de gens croient, c’est une réelle compétence. Pas simplement du point de vue des connaissances, je dirais même que c’est relativement secondaire si tant est que la personne qui vulgarise est passionnée et sait trouver une information fiable, (cependant ce n’est jamais sans couac) mais plutôt au niveau de la méthode.

Savoir vulgariser et le faire de sorte à intéresser un public « large » ce n’est pas possible. Le contenu attirera et repoussera nécessairement des catégories de gens. Le tout c’est justement de savoir au préalable qui est touché pat le type de contenu qu’on va proposer et l’adapter en conséquence. Et je vous jure que pour bosser un peu dans le milieu, c’est un réel casse tête, parce qu’on ne se bat pas seulement pour contenter un public, on se bat aussi contre l’algorithme et sa capacité à créer des tendances vis à vis desquelles il faut s’adapter en terme de rythme, d’écriture, d’exigences visuelles.

Est-ce qu’on peut attendre ça d’un Monde de jeux ? Si il ne pense pas avoir la compétence (ni le public) pour le faire, il a tout intérêt à ne pas le faire.

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Il y a quand même des excellents vulgarisateurs : Nota Bene (2,27M d’abonnés), ScienceEtonnante (1,3M d’abonnés), Fouloscopie (0,42M d’abonné) (bon, lui c’est un vrai chercheur, mais il est super fort pour rendre cool son sujet)… Mais oui, je suis d’accord, ils ne touche pas les gens les plus éloignés de la science ou des sujets traités (Squeezie a 18M d’annoné par exemple).

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ha c’est pas un vulgarisateur ? ^^

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