Beyond the Monolith - par Monolith - annulée le 15/1/2020

[quote quote=509937]Tu faisais pas si bien dire pour la comparaison avec zombicide… Cmon est partenaire beyond the Monolith apparement

https://m.facebook.com/coolminiornot/photos/a.222472587876/10156804669097877/?type=3&source=57

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Et y’en aura d’autres pour le coup, Me tarde vraiment de voir si des joueurs qui ont Zombicide ou d’autres jeux, vont etres intéressés par ce mode de fonctionnement. Je trouve que c’est un vrai pari pour le coup !

Voici la video du live d’hier concernant le futur de Monolith

https://www.twitch.tv/videos/508168745

Y en a qui ont regardé le tric trac live et qui on du coup voir quelles infos supplémentaires étaient disponibles pour le Beyond the Monolith ?

Crossover avec Cthulhu Wars vu qu’il y avait l’ami @pitpipo !

Cthulhu qui doit une bonne raclée à Conan et Batman, ça c’est cool!

J’ai cru que ca allait parler de conan.

En définitive, très peu de nouvelles infos… Une explication de ce que contiendront les différents types d’offres : la boîte système, les bopites Second Life et les Univers Box.

Monolith négocie des IP, dont celle de Shadowrun, Fred a l’air confiant au sujet de celle-ci, même si ce n’est pas encore signé. Des kits second Life pourraient très bien être vendus en add-on ou au PM pour les futures campagnes Monolith, genre sur Mythic Battles: Ragnarok - en juin !!!

Pour le reste, pas grand chose… Ils ont aussi annoncé Cthulhu Wars, dont Pit sera chef de projet, mais ce n’est pas un surprise.

Pas grand chose … Ça fait quand même pas mal de projets en fait lol.

Je complète ton info pour MBR il s’agit d’un KS + second life.

Dans les projets second life il y a zombicide, MB, Claustrophobia, Batman, (Descent).

Pour les univers box il y a des choses en discution comme Alien et Starship Troopers.

Bref, y’a de quoi faire cette année !

Je me pose sincèrement la question de savoir comment faire du profit (ça n’est pas sale) et faire vivre une boite avec quasiment que du gameplay et des tuiles qui exploiteront le matériel d’un autre jeu (comme Cthulhu Wars).

C’est la discussion classique, comment vendre un jeu génial qui n’aurait que très peu de matériel et surtout comment en vivre. On n’a pas l’habitude de valoriser le jeu mais de sur représenter le matériel et ça ne s’est pas amélioré depuis le Zombicide de 2012.

Ce que je veux dire c’est que je comprends bien l’intérêt de faire venir un joueur de Cthulhu Wars au système en question car ça signifierais lui vendre une boite système. Mais les gains me paraissent limités dans l’autre sens. Tout dépend du prix bien sur mais on sait déjà comment les gens vont réagir si le prix est trop élevé si on prends en compte le ratio quantité/prix.

J’ai l’impression que Fred a été plutôt clair là-dessus. Le but n’est pas d’envoyé les possesseurs de la système box vers les 2nd Life de jeux qu’ils n’ont pas mais dans un premier temps de vendre une boîte système à un max de personnes ayant des jeux présents en 2nd Life, puis grâce au fait qu’ils ont déjà cette boîte système, les amener vers les boîtes Univers grâce à une attractivité double : ce seront des sortes « d’extensions » pour un jeu qu’ils ont déjà et le prix devrait être concurrentiel étant donné qu’il n’y aura pas le matériel commun dans celles-ci et que Monolith n’aura pas à payer de license sur ce matériel. C’est sur ces boîtes Univers que se fera le profit.

En reprenant son parallèle avec les consoles, c’est l’argument de la rétrocompatibilité des jeux. Tu vends ta console en mettant en avant le côté rétrocompatible pour que les joueurs ayant beaucoup de JV de l’ancien modèle soient plus enclins à passer sur le nouveau, et une fois que ceux-ci ont la nouvelle console, tu les amènes à acheter de nouveaux jeux sur celle-ci. Le parallèle fonctionne d’autant mieux qu’on sait pertinemment que les consoles sont longtemps vendues à perte et que c’est sur les jeux que Sony/Microsoft/Nintendo font leur profit.

Je confirme, Cthulhu gagnera toujours (bon en vrai le système est sensé être équilibré)

[quote quote=511376]Je me pose sincèrement la question de savoir comment faire du profit (ça n’est pas sale) et faire vivre une boite avec quasiment que du gameplay et des tuiles qui exploiteront le matériel d’un autre jeu (comme Cthulhu Wars).

C’est la discussion classique, comment vendre un jeu génial qui n’aurait que très peu de matériel et surtout comment en vivre. On n’a pas l’habitude de valoriser le jeu mais de sur représenter le matériel et ça ne s’est pas amélioré depuis le Zombicide de 2012.

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perso ce qui m’a plu dans le projet, justement vis à vis de Cthulhu Wars c’est ça: ça me permet de jouer les bastons qui se passent dans une partie de Cthulhu Wars quand les unités se rencontrent dans un territoire.

Là au lieu de lancer un brouette de dés, je peux enfin montrer mon génie tactique mouah ah ah (grosse illusion)

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Franchement j’aime bien le concept, ça peut être tellement bien fait. Comme l’a laissé entendre FH, quelques petits twists très simples peuvent permettre une approche différente. Que ce soit une carte qui repop dans la rivière, une qui disparaisse, un deck complémentaire, une carte avec 2 faces… Je pense qu’il y a moyen de sortir du gameplay propre à chaque univers et d’avoir des sensations bien différentes. Par contre je suis très dubitatif sur le côté mettre à disposition les ressources pour les entreprises tierce. En tout cas j’applaudi l’initiative et l’idéal du monsieur. (je n’ai aucun jeu monolith donc je ne suis pas un FBDM :wink: )

17:00 Après Zombicide → Blood Rage & Rising Sun :wink:

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Ça c’est du lourd. Autant les univers Conan et Batman ça me bottait pas, autant la perspective d’utiliser toutes les minis de BR et RS pour du versus ça m’intéresse carrément. Par contre va falloir trouver une solution aux SG KSE qui coûtent un bras à obtenir, car si on doit se priver d’unités sur le simple fait de leur disponibilité, c’est quand même très moyen…

Reste toujours la question du gameplay associé. J’ai pas joué à Batman donc j’avoue que j’ai aucune idée de la forme que ça pourra prendre.

Autant l’univers de BR et RS me plait, autant faire du versus avec la méca de gemmes…Bof.

Rising sun et BR ??? Mmmhhhh je n’ai vraiment pas du comprendre le principe.

Tu utilises les figs d’autres jeux pour jouer en.mode versus. D’ailleurs rien n’empêchera de prendre le matériel pour jouer à Beyond et utiliser des proxys de figs (et comme ça avoir plus de choix de factions)

Nouveau post FB de Fred :
"700 000 $

  • Pourquoi le seuil de financement de la campagne Conan Beyond The Monolith, sera-t-il aussi élevé ? -

C’est de notoriété publique, le seuil de financement affiché à l’occasion des grosses campagnes KS ne correspond jamais aux besoins réels de financement du projet en question. Pour des raisons markéting, cette somme est systématiquement réduite à une portion congrue du montant qui véritablement permettrait de payer le développement, l’illustration, la sculpture, la fabrication, l’acheminement, et les différentes taxes et royautés nécessaires à la complétion du projet. Nous le savons d’autant mieux que nous sommes nous-même coutumiers de l’usage de cet artifice (sur Conan, le seuil affiché ne représentait pas le dixième de nos besoins réels. Sur Mythic Battles, il n’en représentait pas le quinzième. Sur Batman, il devait en représenter au mieux le quart…). Cela permet aux éditeurs (dont nous-même) de pouvoir s’enorgueillir d’un communiqué enthousiaste (« Awsome, Financé en moins de 5 minutes » ) du plus bel effet, alors que derrière le rideau, toute l’équipe croise les doigts en suant à grosse gouttes pour que le jeu parvienne enfin (idéalement avant la fin de la campagne) à atteindre son véritable point mort. Cela permet surtout de lancer la machine à Stretch Goals, en faisant croire aux pledgers que ceux-ci sont des cadeaux offerts grâce à la décroissance des prix unitaires de production (quand bien même cette décroissance ne commenceraient à être sensible qu’une fois le seuil annoncé franchi de dix ou vingt fois son montant). Le problème de ce subterfuge markéting, est qu’il encourage fortement les porteurs à s’engluer dans des projets non finançables, en se raccrochant à l’espoir tout hypothétique et rarement vérifié, d’un Pledge Manager qui se révèlerait aussi lucratif que la campagne s’est montrée poussive. Mais ce faisant, les éditeurs prennent le risque de se lancer dans une dangereuse cavalerie financière. En effet, ils récoltent l’argent des pledgers durant la campagne, en partant du principe que « ce qui est pris n’est plus à prendre ». Seulement, « ce qui est pris » est parfois loin d’être suffisant, et les éditeurs n’ont absolument aucune assurance que le PM permettra de combler l’écart de revenu. Aussi, à l’occasion du lancement de la gamme Beyond The Monolith, j’aimerais rompre avec cette pratique et fixer, peut-être pour la première fois, un seuil correspondant aux véritables besoins de financement du projet et de sa continuité.

-Pourquoi fixer un seuil correspondant aux réels besoins de financement du projet ?-

Parce que je vise le long terme. Parce que la campagne Conan BTM a pour ambition de lancer la gamme Beyond The Monolith. Elle dépasse la question de Conan lui-même. Aussi, afin de réussir ce lancement (c’est-à-dire d’installer le plus de «Core System» chez nos pledgers) nous avons choisi de jouer à son maximum la carte du prix (c’est notamment pour jouer cette carte que nous recyclons une grande partie de nos anciens moules). Nous faisons donc le pari que des prix compressés à leur maximum seront surcompensés par une proportion plus importante encore de pledgers. Nous jouerons donc réellement, pour la toute première fois, le jeu du « tout ou rien » prôné par la plateforme. A quoi bon en effet nous lancer dans un projet de cette envergure s’il ne recevait pas l’adhésion d’une partie suffisante de notre communauté et de celles de nos partenaires ? Donc, En fixant un seuil aussi haut, nous nous interdisons de prélever l’argent des pledgers tant que celui-ci ne sera pas suffisant pour nous assurer qu’outre la complétion du projet lui-même, nous serons aussi en mesure d’en assurer la pérennité (c’est à dire de dégager une marge suffisante pour investir dans la suite de BTM). De ce point de vue, le Pledge Manager ne doit être qu’un « plus », mais certainement pas une condition nécessaire.

-Le constat d’une évolution des pratiques de pledge qui alimente le risque de cavalerie financière.-

Au cours des cinq dernières années j’ai passé énormément de temps à observer et à discuter avec mes pairs de l’évolution des pratiques des pledgers. Toute une partie de ces évolutions n’est mesurable qu’au travers de données qui ne sont malheureusement visibles que des seuls porteurs de projet.
La première tendance forte observée est l’explosion du taux de dépledge au fil des campagnes, lequel est un bon indicateur de la croissante Volatilité des pledgers. Nous arrivons aujourd’hui à de tels chiffres qu’il n’est plus rare, lorsqu’une campagne termine avec 10 000 pledgers, qu’en réalité 15 000 personnes y auront adhéré, mais 5 000 seront finalement revenus sur leur engagement. Ces variations demeurent relativement invisibles pour le public qui n’a accès qu’aux chiffres nets, mais sont une véritable angoisse pour les porteurs de projets qui se retrouvent face à des pledgers qui, de plus en plus, papillonnent d’une campagne à l’autre au gré d’une offre désormais pléthorique.
La seconde tendance forte est celle du Late pledging, qui remet à plus tard le moment de la transaction. On constate d’ailleurs que nombre de late pledgers se retrouvent dans les dépledges de la campagne elle-même et font le choix de n’y revenir qu’ultérieurement. Le late pledge a un avantage aussi bien pour le backer (le décalage dans le temps du paiement) que pour le porteur (le taux de prélèvement sur le chiffre d’affaire des PM est généralement moindre que celui de KS), mais possède aussi un effet pernicieux majeur : l’absence de visibilité sur la réalité des comptes au moment ou sera prélevé l’argent du KS.
Ces deux tendances fortes concourent à l’opacité croissante des résultats financiers réels des campagnes, en intensifiant drastiquement leur caractère virtuel (pendant la campagne) et spéculatif (entre la campagne et la clôture du PM). Or, ce caractère virtuel et spéculatif, est au principe même du risque de cavalerie financière. Pour autant, les pledgers sont difficilement blâmables : les seuils de financement facticement bas les encouragent dans leurs pratiques. En effet, les pledgers savent depuis longtemps maintenant que les Stretch Goals ne servent que de variables d’ajustement au rythme de la campagne (les gaps s’élargissent quand la campagne va bon train et se resserrent lorsqu’elle ralentit). Autrement dit et grosso modo, une fois le « seuil de financement » (sic) franchi, le plus ou moins grand nombre de backers n’a pour ainsi dire qu’un impact marginal sur l’offre globale finale. Ce qui implique, qu’il n’y a techniquement aucune espèce d’intérêt pour les backers à ne pas décaler au PM le moment de la transaction. Ainsi, pour reprendre un exemple que je connais bien, Batman 2018, que nous ayons récolté 3M$ ou 8M$ n’aurait strictement rien changé à la quantité de SG relâchés (tous étaient déjà prets et avaient déjà leur place dans la boite)… et donc à ce qu’auraient reçu les joueurs chez eux.
Le problème posé par le décalage de la transaction au moment du PM est que les porteurs qui ont le courage d’interrompre une campagne sous-financée, plutôt que d’en récolter l’argent, est bien rare. A la place, on voit fleurir les PM à rallonge ou à réouvertures multiples, lesquels ne seront définitivement clos qu’une fois la véritable capacité de financement atteinte… dans l’espoir, tout hypothétique, qu’elle finira par l’être. Aussi, la solution la plus simple pour remédier à ce phénomène délétère me semble être le rétablissement du seuil de financement pour ce qu’il est censé être : le montant minimal permettant, sans risque pour le pledger, la bonne complétion du projet.

  • Mais alors pourquoi paradoxalement une campagne aussi courte ?-

Parce qu’à l’instar de la campagne de Claustrophobia, nous n’utiliserons pas le subterfuge des Stretch Goals. La valeur pour le pledger sera étirée à son maximum dès le jour 1. N’importe quelle bonification supplémentaire serait nuisible au bon équilibre économique du projet. Donc, plutôt que d’extraire à dessein une partie de l’offre pour la réintégrer au cours de la campagne sous la forme de Stretch Goals, nous jugeons qu’il est plus sain que cette valeur soit d’entrée de jeu intégrée à l’offre. Ce qui implique qu’il est inutile de faire durer artificiellement une campagne qui privilégiera le prix au détriment du show (nous serons bientôt en mesure de vous fournir un exemple d’offre).

-Le Deal avec les pledgers-

Le deal avec les pledgers sera donc le suivant : Pendant cette courte campagne (probablement 5 jours, peut-être une semaine, (au-delà tout le monde s’ennuierait) ), nous vous proposerons, au titre du lancement, les prix les plus faibles que le marché puisse offrir. Dans le même ordre d’idée nous offrirons à ceux qui pledgeront pendant le KS un « cadeau » (notez la présence des guillemets"). En contrepartie de quoi, nous attendons des Backers qu’ils jouent leur part du jeu, en nous aidant à passer ce seuil au cours du KS. Evidemment, les Frais de ports seront solidement établis en amont, afin de vous éviter tout risque de mauvaise surprise.

-N’est-ce pas trop de précautions ?-

Je suis parfaitement conscient du caractère contreproductif, en terme de business, de toutes ces précautions. Mais le fait est, qu’à ce jours, je n’ai aucune idée de ce que l’expérience BTM peut donner en terme de résultats, et je ne veux faire courir aucun risque à ceux qui m’auront fait confiance. En effet aucun jeu 1 VS 1 ne figure dans la liste des 25 plus gros KS (j’ai extrait les jeux de cartes de la liste pour me concentrer sur les jeux de plateaux avec figurines). Seuls deux jeux 1 VS ALL y figurent (Conan et Batman :wink:). Enfin, seuls quatre jeux Compétitifs-Multi-joueurs sont dans cette liste. Tous les autres (19/25 !!!) sont des jeux Coopératifs. Conclusion : Rien n’est donc encore gagné… mais au fond, n’est-ce pas ça qui rend le pari intéressant :wink: ?

Merci encore de m’avoir lu (et merci de m’avoir, encore, lu)
Fred Henry et l’équipe Monolith"

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Très intéressant talk de la part de FH, qui rejoint au final ce que tout le monde dit ici depuis un certain temps (les SGs sont juste là pour la dynamique, les seuils de financement sont sous-évalués au risque de reboot alors que « financer » (n’est pas Titan ^^), etc.). C’est clair que face à la multiplicité de l’offre et aux possibilités de PM, la volatilité des backers (comme il dit) est sacrément importante, et je me reconnais le premier dans ce profil du « j’attends, je lâche ou je met 1$ et je verrai au PM ». Ça reste cependant uniquement vrai pour les gros éditeurs type Monolith, CMON, AR, MG et cie. Je ne suis pas sûr que chez les petits éditeurs ça soit la même. Il suffit de voir le récent Sub Terra 2, qui a laissé sur le carreau une tripoté de SG car le seuil n’était tout simplement pas atteint. Est-ce qu’ils ont diminué les gaps ou gracieusement donné tout ça en fin de campagne : non car à mon avis leurs SGs étaient cohérents avec leur business plan (mais ça peut être de la poudre aux yeux comme toujours et je me trompe).

Après c’est couillu de dire « On fixe le seuil de financement aux coûts de production + la marge pour faire vivre la gamme ». Quand on voit les précédentes campagnes de Monolith, on ne se fait pas (trop) de soucis à ce que ça soit financer. Mais ça reste tout de même un gros montant avec probablement des pledges à prix bas pour attirer du monde, et une durée de campagne courte, sans animation, ça fait beaucoup de barrières KS à briser d’un coup… :thinking: En fait, on arrive à l’apogée de la doctrine engagée sur Claustrophobia à savoir honnêteté à 100% (ou quelque chose comme ça). Offre connue dès le départ (sans SG), durée de financement courte (c’est à prendre ou à laisser, pas le temps de tergiverser), un seuil réaliste, sans « Amazing » et cie à côté. Le truc, c’est qu’il me semble que sur Claustrophobia, ça n’avait marché que moyennement, je suis à demi-surpris de les voir retenter l’expérience. Surtout pour un type de jeu de niche comme il l’indique (jeu de figs en 1 vs 1).

Du coup ma question : ils abandonnent tout plan marketing (les fameux biais du cerveau que Jean-Michel aime nous rappeler) / animation de campagne pour être totalement sur une vente en ligne ? C’est cohérent avec le discours et les objectifs, et ça ne dessert par le backer dans le sens où il voit clair sur toute la ligne, mais est-ce que ça ne casse pas un peu (beaucoup) le charme de ce qu’est Kickstarter ?

Enfin, ok ils peuvent faire des pledges super accessibles avec une tonne de matos, mais perso ça changera pas grand-chose pour moi. Je suis vraiment pas fan de Conan et de son esthétique, donc quoi qu’il arrive je ne prendrai pas le jeu. Donc le coup de « on demande aux gens de jouer le jeu » c’est gentil, mais c’est pas non plus garanti qu’on soit intéressé par Conan, même si on peut l’être pour BTM. D’ailleurs vu qu’il parle de recycler les moules, ça veut dire que ceux qui possèdent le précédent Conan vont se retrouver avec des doublons, ou il y aura deux pledges ?

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