Ah excellent ça j’ai adoré, profite bien 
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Ce sera aussi Deon Meyer pour mais Kobra ! (le seul dispo à ma bibli où on peut enfin reprendre des livres mais sans informatique^^)
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Gagner la guerre enfin terminé la semaine dernière (c’était génial), j’ai enfin pu m’atteler au challenge de Mars.
Deux lectures ce mois-ci :
- Roman graphique (bd quoi) : j’avais l’omnibus Coda de Simon Spurrier et Matias Bergara dans ma PAL depuis un petit moment (acheté via la petite note de mon libraire). Une excellente surprise De la fantasy post-apocalyptique comme on en redemande. N’oubliez pas de gratter le cul du dragon qui demande.
- Scrabble : je suis partis sur L’Homme qui prenait sa femme pour un chapeau (63 pts) de Olivier Sacks, un neurologue anglais. Un récit de cas clinique sur les lésions neurologiques atypiques que ce médecin a pu rencontrer au cours de sa carrière. Lecture plutôt sympathique mais on sent que les cas datent des années 70 et 80 et certains dialogues « authentiques » semblent terriblement artificiels.
Pour Avril, je pars sur Tout s’effondre de Chinua Achebe
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C’est marrant, mon libraire m’a mis précisément Le monde s’effrondre de Chinua Achebe pour le mois d’avril !
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Donc pour mars comme indique précédemment
un roman graphique : i kill giants
Terminé il y a quelques minutes !
Bernard Lenteric est un auteur publié surtout dans les années 1980 et 1990, découvert par hasard chez mes grands-parents il y a plus de 10 ans avec La nuit des enfants-rois qui est depuis mon livre favori. Une histoire d’adolescents surdoués, connectés entre eux par la pensée, qui détestent le monde et cherchent à nuire au possible.
La gagne m’a fait ressentir toute la tension d’une partie de poker, qui n’est ici qu’un prétexte pour régler quelque chose de plus grand.
Avec L’empereur des rats, nous sommes dans la première partie (sur deux) d’une lutte entre l’homme et le rat, où chaque sphère elle-même doit en son sein survivre, trahir, s’aimer.
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lu il y a trop longtemps pour en garder de réels souvenirs, mais je me souviens quand même que j’avais beaucoup aimé.
J’avais aussi beaucoup apprécié ‹ La Guerre des cerveaux › de cet auteur.
Mois de Mars check
Avec Widjigo d’Estelle Faye : « En 1793, Jean Verdier, un jeune lieutenant de la République, est envoyé avec son régiment sur les côtes de la Basse-Bretagne pour capturer un noble, Justinien de Salers, qui se cache dans une vieille forteresse en bord de mer.
Alors que la troupe tente de rejoindre le donjon en ruines ceint par les eaux, un coup de feu retentit et une voix intime à Jean d’entrer. À l’intérieur, le vieux noble passe un marché avec le jeune officier : il acceptera de le suivre quand il lui aura conté son histoire.
Celle d’un naufrage sur l’île de Terre-Neuve, quarante ans plus tôt. Celle d’une lutte pour la survie dans une nature hostile et froide, où la solitude et la faim peuvent engendrer des monstres… »
Le résumé me tente beaucoup car par association d’idée, j’ai un peu l’impression d’y voir le début du Pacte des Loups. L’histoire commence bien, malheureusement le rythme chute sur toute la partie centrale du livre avant de reprendre sur la fin. Il y a un bon retournement de situation final, une partie me semblait évidente mais impossible de tout voir venir. Bref j’en garde un souvenir mitigé c’était un bon moment de lecture pour la première et dernière partie et un peu pénible pour la partie centrale.
Et avec Culottée de Pénélope Bagieu : des portraits de femme superbement croquées et racontées. Des connues à redécouvrir et des moins connues à découvrir. J’ai beaucoup aimé.
Pour le mois d’avril, je n’ai pas encore d’idée. Je vais voir au court du mois.
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Moi aussi, challenge réussi avec les douze naissances de Miguel Marmol, une BD qui fait bien plus de 40 points au scrabble même sans mot compte triple.
Je suis plutôt mitigé, j’en dirai plus bientôt.
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Retour sur un naufrage. Après mes deux échecs de janvier et février. J’ai décidé de conjurer le sort en choisissant de lire chaque soir de mars un sonnet des Cent mille milliards de poèmes de Queneau. Comme son nom l’indique, il contient 10 exposant 14 poèmes potentiels.
C’est évidemment très irrégulier, mais vous ne saurez jamais si vous avez loupé une pépite ou non et il est très difficile de retrouver une combinaison qui vous aura plu. J’adore, c’est une sorte de doudou littéraire.
De plus, je peux annoncer avoir validé mon défi de mars en n’ayant pas lu la totalité de l’ouvrage et repartir du bon pied !
Bon mois d’avril à tous
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Avril, un auteur africain.
Je me suis donc arrêtée sur Tout s’effondre de Chinua Achebe.
Okonkwo est un chef dans le village d’Umuofia , mari de 3 femmes et père de 8 enfants. Il est un homme écouté et un fermier prospère. A travers son histoire on découvre ce clan, sa culture, ses rites, ses croyances, ses traditions, ses peurs ; là où la terre rouge est centrale, essentielle. Ce monde tient sur un équilibre cohérent jusqu’à ce que des missionnaires puis des colons viennent tout bouleverser.
Le livre est en 3 parties. La première, la plus longue, environ 2/3 du livre, relate toute cette vie. Et il faut bien cela pour se plonger dans cette culture parfois si lointaine. Et en reflet de ce changement rapide et brutal les 2 dernières parties sont plus incisives. Mais à chaque instant l’écriture d’Achebe est douce, ronde, lente, presque poétique ; même dans les moments les plus rudes de la vie d’avant ou d’après. Elle est une ode à l’écoute de l’autre, à l’entente, à la paix, et ça fait beaucoup de bien !
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en écho à
vous saviez qu’il avait aussi fait ça, 123 metres pour raconter l’Episode IV de star wars ?
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J’ignorais et je vais y jeter un œil ! Merci 
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J’essaie de lire l’Oeuvre Poétique de Léopold Sédar Senghor ce mois-ci
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Hey j’hesitais à enfin le lire celui-là. Mais j’ai aussi les contes initiatiques peuls qui traîne.
Tu l’as commencé ?
J’ai commencé oui.
J’avoue avoir un peu de mal à lire de la poésie en vers qui ne rime pas… J’ai peut-être pas le bagage pour lire ça mais pour l’instant j’aime pas trop.
Pas sûr de continuer alors que j’ai deux autres livres entamés sur ma table de chevet…
Merci. C’est absolument dingue.
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Ne serait-ce donc point de la prose alors, Mr Jourdain ?
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En effet, my bad. Je pensais qu’il n’y avait pas de retour à la ligne en prose
A force d’être prosaïque, j’en deviens pragmatique, ce qui en soit est assez poétique je trouve. 
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