Challenge lecture CWOWD 2024 : C'est parti!

Ah oui d’accord, c’est parce que ma définition du terme était erronée. Merci pour la précision :wink:

Je radote mais pour le sorceleur, moi je dis « pas sûr, pas sûr » :clown_face:

27 - 11-28-42

27 - 11-28-49

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Mai : Adapté en série TV/film
Un thème déjà présent l’année dernière. J’avais pris le 1er tome de the expanse et j’avais le tome 2, c’est donc logiquement que :

Ian Fleming ; James bond contre Dr No
(oui aucun rapport)

Je n’avais jamais lu de Bond, mais j’ai vu les films, dont Dr No, le premier et surement celui que j’ai revu le plus de fois.

Pour l’histoire (pour les 3 du fond qui n’ont jamais entendu parlé de 007) : James Bond est un agent spécial de sa majesté anglaise, envoyé sous couverture (hmh hm) enqueter sur des super méchants.
Ici en jamaique enqueter sur la disparition de deux agents anglais et de deux membre d’une asso ornithologue américaine. Normalement envoyé là bas pour se « reposer » suite à une vilaine blessure il va se retrouver mélé à un mega complot !

Plusieurs chose m’ont surpris, déjà le foisonnement des descriptions, je m’attendais à un truc bourrin bas du front mais au final on a droit à des description du decor parfois assez long, pour un livre du genre.
Ensuite à quel point le 1er tiers du film suit fidelement le roman. (Beaucoup moins vrai après)
et dernier point, et non des moindres, l’absence de sexe et de violence (et aussi d’alcool dans une moindre mesure). Une seule combat avant la toute fin, l’alcool est plus présent, mais loin de ce qu’on voit dans les films.
Et l’inflation ! Le mega plan avec la megabase secrète de top haute technologie qui à couté un million de dollars… Bon. J’ai repensé à un autre méchant chauve d’un autre film d’espionnage…

Au final c’était sympa, plus qu’a trouver une excuse pour lire les autres !

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Malin !
Et d’ailleurs, tu dois vachement bien aimer la saga pour sortir ces exemples de ton chapeau comme cela. A moins que ce soit un débat commun ? :stuck_out_tongue:
As-tu déjà comparé à la VO ou VA pour vérifier ? :smiley:

Je ne les ai lu qu’un fois mais ça m’avait fait sourire d’avoir ces expressions au milieu de l’univers :grin:

Par contre non je n’ai jamais comparé avec les VA et VO mais ça serait pas inintéressant :thinking:

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Je valide le mois de Mai avec La stratégie Ender d’Orson Scott Card

La Terre est en guerre contre une espèce extra-terrestre, les Doryphores, et la bataille finale approche.
Afin de combattre efficacement l’ennemi, l’armée forme des enfants triés dès leur plus jeune enfance aux techniques et tactiques militaires.
Le jeune Andrew Wiggin surnommé Ender est le troisième de sa fratrie, il a été conçu pour répondre aux attentes de l’Ecole de guerre. Ses aptitudes hors normes le destinent à sauver l’Humanité, et ses formateurs entendent bien faire de lui le commandant qui mènera les Hommes à la victoire.

La formation militaire et l’apprentissage des tactiques sont le cœur du roman. On jongle en permanence entre éducation et manipulation, à tel point que je l’ai trouvé assez dur, dérangeant parfois, mais excellent car il nous confronte à des sujets sociaux réels. Tout comme Ender, on se demande si après tout la fin justifie les moyens

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Bon c’est un hasard mais je valide Mai avec L’épée de vérité T1 de Terry Goodkind.
Pas mal mais je trouve ça un peu « old school » comme fantasy :slight_smile:

J’ai mis du temps pour le choix de mai mais ce sera ce titre que beaucoup connaissent peut-être mais juste pour son titre : « ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » de Harper Lee que je lis en BD.
Il a déjà fait l’objet d’une adaptation en film.
Bientôt mon retour

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Très bien, surtout en roman graphique, cela se lit bien plus vite. Histoire située dans les années 30 aux USA. On suit l’histoire de 2 enfants qui sont les protagonistes principaux d’un petit bled d’Alabama. Il s’agit de leur quotidien avec le temps fort de l’été et de nouvelles rencontres et défis. Leur père les élève seul et est avocat ce qui aura une grande importance dans le récit car il va choisir de défendre un noir. Ce qui à l’époque n’arrivait pas : noir = coupable.
Histoire avec des personnages très bien construits, et une beau portait de la vie à cette époque dans ce contexte. Un roman sorti en 1960 et qui a beaucoup plu et permis de se rendre compte de l’injustice ambiante encore présente quant à la condition des afro américains.
Je conseille vivement.

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Et ce mois-ci, une fois n’est pas coutume, 2 entrées.
Aucune des deux lecture n’était prévue dans mes suppositions de mai évidement

P’tet pour ce mois-ci eux (mais ils ne me valideront pas le challenge…).
En attendant :

Titre : Annihilation
Auteur : [Jeff VanderMeer]
Genre : SF horrifique
Pages : 224
Langue : :fr:

Résumé :
Une équipe de 4 femmes partent explorer la zone X. Un territoire qui depuis 30 ans maintenant abrite des phénomènes surnaturels encore mal identifié. Ces 4 femmes représentent la 12ème équipe d’exploration.

Avis : :star2: :eight_pointed_black_star: :eight_pointed_black_star: :eight_pointed_black_star: :eight_pointed_black_star:
Le livre commence très bien. Très mystérieux, très atmosphérique. Le style de journal de bord est sympa. Jusqu’à ce qu’on rentre dans l’histoire du personnage, qui ne nous intéresse pas, et la rend antipathique. Puis qu’elle « change », contaminée par la zone X, sans qu’on sache exactement ce qui est modifié et comment chez elle. Les choix des personnages ne sont plus logiques mais on a du mal à comprendre si c’est du au contaminations ou à la mission en tant que tel. Car avant même leur arrivée dans la zone X les personnages se méfient les unes des autres, s’épient, se menacent, et à aucun moment nous ne connaissons leur véritable mission, leur objectif. Et là j’ai totalement décroché… j’ai fini ce volume, et malheureusement, même si ils ne sont pas directement liés, je n’irai pas m 'intéresser à la suite.

C’est vraiment dommage, car ce bouquin m’a vraiment fait me rendre compte que l’horreur via la lecture, contrairement au cinéma, nous prend vraiment au tripe. Elle est engageante car c’est nous qui imaginons les pires atmosphères dans nos têtes. Elle est effrayante, alors que c’est nous même qui nous nous infligeons cela en continuant la lecture. Cette sensation j’ai bien aimé la découvrir moi qui ne lit jamais d’horreur.

Pour ceux qui sont fan du film… il n’a pas grand chose à voir avec le livre si je ne m’abuse.

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Seconde entrée pour le mois de juin, qui peut le plus peut le moins :


Titre : Les mensonges de Locke Lamorra
Auteur :Scott Lynch
Genre : Fantasy - braquage/mafia
Pages : 552
Langue : :fr:

Résumé :
Dans une cité-état imaginaire, basée sur une revisite de Venise, nous rencontrons les Salauds Gentilhomme. Un clan de voleur parmi tant d’autres. Leur particularité ? Au lieu de faire les poches des pauvres comme tous les clans de voleur de la ville. Eux se déguisent, changent leur voix et leur posture, dans une pièce de théatre dont le scénario n’a qu’un objectif : voler le maximum aux nobles.
Conseil : ne lisez pas le résumé officiel derrière le bouquin. La moitié spoile le bouquin et l’intrigue 300 pages avant que vous n’y arrivez, l’autre moitié … n’existe tout simplement pas dans ce livre.

Avis : :star2::star2::star2::eight_pointed_black_star: :eight_pointed_black_star:
Une autre saga très connue de la fantasy.
Une fantasy d’ailleurs très « légère », dans le sens où pendant une grande partie du livre il n’y a rien de magique si ce n’est le verre qui compose les fondations de la ville.
La timeline est un peu compliquée sur les 100 premières pages avec des sauts dans le temps et origin-story incessantes.
Mais l’histoire est assez sympa. On suit donc notre voleur, une sorte de revisite de Arsène Lupin, qui fait des vols élaborés. « 3 ans de préparations, 3 mois de mises en place et 3 secondes pour tout foirer ». Les films de Heist sont parmi mes favoris, mais en lecture j’avoue que le début a été un peu long a se lancer avant qu’on ait enfin les tenants et aboutissant de leur vol. Sauf que finalement je préférais les scènes d’origine story au heist en lui même à l’exception de quelques passages. Et une fois que l’action commence réellement… je trouve ça un peu trop long. Je comprends pourquoi l’auteur pousse autant l’histoire de Locke Lamorra, mais j’avais une impression de fin (inachevée, mais tout de même) 150 pages avant la fin. Ce qui m’a gâché un peu la conclusion.

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Je déplace le message que j’avais posté ici vers le sujet lecture que je n’avais pas réussi à retrouvé hier (lecture + livres, ça ne marchait pas…), c’est plus approprié comme ça :

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Juin : Auteur jamais lu

(Oui je sais juillet est bien entamé, mais promis j’avais finis le bouquin en juin !)

Le choix était large, mais j’avais proposé le thème du genre « revisite d’un classique » en pensant à un livre… et vu que j’avais jamais lu d’ouvrage de cet auteur…

Donc : Anno Dracula de Kim Newman

C’est un « et si ». Et si dracula avait gagné dans le roman de Stoker.

Londre 1895, Dracula est prince consort de la reine, les vampires vivent parmi les londoniens « normaux ». Une serie de meurtre ciblant des femmes vampires secoue la ville (oui c’est jack l’éventreur) et deux personnages vont enquêter pour trouver l’assassin et le traduire devant la justice. (Oui celle de dracula, une justice… Pointu)

Les deux personnages principaux sont un humain classique Charles Beauregard, membre d’une société secrète qui l’envoie en mission de part le monde pour assurer le pouvoir de l’Angleterre (une sorte de james bond du XIXeme) et Geneviève Dieudonné une vampire encore plus ancienne que Dracula bossant dans un dispensaire.
Chacun enquête de son coté, avec ses propres objectifs, avant de faire amis amis et résoudre le mystère ensemble.

J’ai trouvé le début très poussif, l’auteur semblant vouloir faire un speedrun du « je cale le plus de référence à la littérature avant la page 100 », vu qu’en plus de dracula (et tout les perso du roman) et jack l’eventreur on va croiser Sherlock Holmes et tout ce qui est lié (sauf watson…), bram stoker, Marx, Oscar Wilde, etc etc. C’est très rigolo les clins d’oeil mais quand y’a que ça… Heureusement ça se calme au bout d’un moment. L’histoire semble partir dans tout les sens par moment, me donnant l’impression (à tort) que l’auteur ne savait pas où il voulait aller.

Mais la londre à moitié vampirisé, avec des problèmes de logistique (si tout le monde est un vampire comment faire pour ce nourrir ?), avec la pègre, les gens sans moyen, les nouvelles lois imposé par la condition vampirique, tout ça est un plaisir à découvrir, si bien que rapidement je me suis dis « tant pis si j’ai jamais de « fin » »

Au final passé le début très poussif c’était très sympathique, et je vais rajouter la suite à la PàL (merde j’étais censé la diminuer pas l’augmenter !)

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Voilà pour moi les trois derniers mois (lus dans les temps, j’ai juste eu un emploi du temps assez chargé et une flemme énorme pour venir poster :sweat_smile:).

Juin : Les ingénieurs du chaos de Giuliano da Empoli. C’est le climat politique particulier du mois de Juin qui a orienté mon choix. Dans cet ouvrage l’auteur analyse comment selon lui la montée des mouvements populistes serait issue du travail de l’ombre (ou pas) d’hommes tels que Steve Bannon ou Arthur Finkelstein. Une analyse des dérives engendrées par les réseaux sociaux, lorsqu’ils sont manipulés par ces ingénieurs du chaos…

Juillet: L’art d’avoir toujours raison d’Arthur Schopenhauer. Dans la continuité du mois de Juin, mais plus philosophique. Le parfait petit ouvrage pour apprendre l’art de la controverse. L’auteur liste les stratagèmes qui permettent de l’emporter lors de controverse. J’avoue avoir sourit en lisant certains stratagèmes que je me verrai bien mette en pratique avec mon ado/ma moitié :grin:

Août: Le crime de l’Orient-Express d’Agatha Christie. J’ai profité d’une visite chez ma sœur, friande de polars d’Agatha Christie, pour lui emprunter celui-là. Je savais que je l’avais lu, mais je ne me souvenais pas l’avoir fait tant il ne m’avait pas marqué. Ça se lit bien, facilement, et c’est en fin de compte un bon polar en huis-clos, mais je pense que c’est trop classique pour moi. Je suis définitivement plus Clarisse Starling qu’Hercule Poirot!

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recap pour moi aussi :

Juillet : Le temps des guépards: La guerre mondiale de la France de 1961 à nos jours par Michel Goya, ancien militaire. Un livre présentant chacune des opérations militaires mené par la France en dehors de ses frontières. Vu leur nombres chacune d’entre elle n’a droit qu’a une dizaine de page, ne permettant pas du tout d’entrer dans les détails.

Aout : assez compliqué de choisir pour moi. Je suis plutôt bon public et les livres que j’ai lu jeune se séparent en deux catégorie : « j’ai bien aimé » et « putain j’ai ni le titre ni l’auteur » (à la rigueur dans 10ans je pourrais re-lire cette purge de millenium, mais je me considère pas encore assez vieux pour considéré que ma jeunesse c’était ma vingtaine). Je suis donc parti sur « le chant du monde » de Jean Giono. j’en avais gardé un souvenir de livre bourré de description chiante comme la pluie avec une histoire général qui tiendrais sur un demi post-it.

J’ai repris mon édition que j’avais au lycée, celle avec les annotations que j’avais fait à l’époque. J’ai vraiment eu du mal à me lancer, surtout pendant mes vacances et… bah j’ai adoré. J’ai vraiment eu du mal à décroché au final, lu en deux soirs, et encore il a fallu me faire violence pour le lâcher le 1er soir. L’histoire était tel que je m’en souvenais, Antonio un homme vivant seul sur une ile au milieu d’un fleuve part aidé son ami et voisin retrouver son fils. Une remonté du fleuve plus loin il le retrouve à la ville, coincé là à cause de son amour pour une fille. Au final c’était aussi bourré de description détaillé que dans mes souvenirs mais la trame elle était bien plus complexe que dans mes souvenirs.

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Bientôt un récapitulatif mais avant tout un aveu : j’ai pu au début quasi faire le challenge en temps réel mais depuis le printemps je suis en décalage voire plus sur le challenge.
Ne me jugez pas, j’ai avoué ^^

La suite, tout bientôt, le temps que je vois si dans mes lectures, des critères correspondent au challenge. Normalement oui mais pas sûr pour chaque mois, je vérifie.

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Petit recap, surtout lié fait que le bouquin de septembre était… « mouais »

Donc septembre : auteur asiatique

Je prend au pif (comme l’année dernière) un bouquin qui correspond « l’étrange bibliothèque » de Haruki Murakami. C’est une nouvelle, que j’ai dans une jolie édition illustré, qui parle d’un enfant qui va à la bibliothèque pour se renseigner sur un sujet très précis et se retrouve embarqué dans un labyrinthe et…
Difficile d’en dire plus c’est une courte nouvelle et, gros point noir pour moi, il n’y a quasiment pas « d’histoire », la situation se met en place sur 50 page, on a 3 page et la situation se résout sur 10 pages. Ajouté les illusatrations qui sont mal placé et spoil parfois la page suivante… c’était pas pour autant mauvais mais c’éait très oubliable.

Octobre : Un roman graphique

Et coup de bol un nouveau Garth Ennis sortait en VF pile ce mois ci ! donc :

Ribon Queen de Gath Ennis

(Disclaimer : je suis fan du monsieur mais ses histoires, celle là en particulier, ne sont pas pour tout le monde. Alors si vous vous appelez marie chantal, que vous aller à la messe tout les dimanches matins, que pour vous les flics peuvent bien tirer dans la foule, que les insultes et les images sanglante vous révulses et que vous tombez en apoplexie quand vous voyez quelqu’un préciser ses pronoms éviter)

Ribbon Queen c’est l’histoire de Amy Sun qui enquete sur la mort d’une jeune fille, cette jeune fille avait été sauvé deux ans auparavant par une équipe du swat qui l’avait tiré du couteau d’un tueur en serie qui voulait en faire sa nouvelle victime. Sauf qu’il semblerait que le chef de l’équipe du swat se soit épris d’elle et se soit transformé en bon gros harceleur. L’enquête de Sun va la pousser a découvrir toute la merde que la police met sous le tapis, et aussi partir dans un coté plus fantastique (celui de lovecraft avec des forces instoppable qui veulent tout massacrer)
Au dessin c’est Jacen Burrows, (avec qui Ennis avait déjà fait le superbe Chronique de Wormwood, une tuerie) je suis pas très fan de son style, je le trouve « fade ».

L’histoire est totalement sombre, déspéré et m’aurait pris au tripe sans un tout petit micro minuscule detail :

La traduction c’est de la merde (et je suis polie), un sabotage pure et simple. A la 7eme page j’ai du aller télécharger le comics en VO tellement certains dialogue n’avait aucun sens. Car oui ils ont pris marie caroline, qui ne supporte pas les insultes pour traduire les textes. Alors qu’on supprime les 5 fuckings par phrase de certains dialogue pour les remplacer par un unique « putain » déjà j’ai du mal. Quand on se plante de temps et donc qu’on rend la phrase un peu bancale par rapport au reste du discours je commence à avoir envie de me plaindre. Mais quand on oublie carrément de traduire des phrases c’est plus que de l’incompétence. (Oui, y’a littéralement une phrase qui n’est pas traduite, mais on a quand même un autre personnage qui répond, qui répond à une phrase qu’on a pas donc). Heureusement elle est aussi aidé dans son entreprise de sabotage par jean claude au lettrage qui a oublié comment mettre en gras les mots, et donc c’est dit « non mais si en vo ils ont mis des mots en gras dans le texte c’est pas important ». Donc une lecture gâché par le fait que je devais faire des aller retour entre la vf et la VO pour comprendre la phrase…

Malgré ça j’ai adoré le livre, un des meilleurs de l’auteur je pense.

Donc un conseil : si vous avez le coeur accrocher lisez le, mais si la langue d’Amy Whinehouse ne vous fait pas peur lisez le en VO. (Aidez vous de google translate, je suis pas sur qu’il fasse pire que la vf de toute façon)

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