Pour moi c’est la fille de l’agent qui aurait modifié le texte car elle saigne du doigt à la fin et lèche la goutte de sang… (peu être un signe d’une futur déviance… mais comme c’est la fin on ne le saura jamais ^^) Pour elle malgré ce qui c’est passé sur la fin elle a adoré être dans ce village et a rencontré des enfants avec qui elle c’est bien entendu et a retrouvé le sourire
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Moi aussi je lance un appel 
si quelqu’un veut se séparer de son tome 10 de Ikigami (couverture bleue) c’est le seul qui me manque ^^
Hello,
Je revends le Tome 1 d’Hellblazer de Jamie Delano, si ça intéresse quelqu’un → 20€, comme neuf.
OMG je ne savais pas mais un jeu tiré de l’univers de la bd Donjon de Trondheim et Sfar est prévu pour la fin d’année ! 
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On va prier pour que ce soit un bon jeu alors !
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Tiens cela tombe bien. Lors d’une dédicace j’avais pris un volume de Donjon Monsters totalement au hasard. Même si j’avais plutôt apprécié j’avais senti que je passais à côté de nombreux éléments.
Il vaut mieux commencer par la série principale tout bêtement ?
Alors avec Donjon c’est compliqué.
La série est découpée en plusieurs époques, chacune ayant un numéro indiquant quand ça se passe.
Donjon Zenith se passe à l’époque actuelle et a commencé au tome 1.
Donjon Potron-Minet raconte la jeunesse du gardien du donjon et a commencé au tome -99.
Donjon Crépuscule raconte la fin du donjon et a commencé au tome 101.
Plus récemment on a eu Donjon Antipodes - et Donjon Antipodes + se passant à des époques très lointaines, et ayant commencées respectivement aux tomes -10000 et 10000.
Ouais c’est le bordel.
En dehors de ça tu as les Donjon Monsters et Donjon Parade, qui ont une numérotation propre (de manière classique, ça commence au tome 1). Chaque Donjon Monsters raconte l’histoire d’un personnage et peut se passer à n’importe quelle époque, tandis que les Donjon Parade sont des histoires plus drôles se passant uniquement entre les tomes 1 et 2 de Donjon Zenith.
Le bordel en fait c’est que tout sort dans le désordre. Les auteurs alternent entre les différentes époques, et par exemple au début de la série on a eu si on suit chronologiquement les sorties : Donjon Zenith 1, puis Donjon Zenith 2, puis Donjon Crépuscule 101, puis Donjon Potron-Minet -99, etc.
Le mieux selon moi c’est de commencer par Donjon Zenith 1, puis de les lire dans l’ordre chronologique de leur parution en alternant entre les époques. Parce que entre deux volumes qui se suivent en terme de parution (mais pas d’époque), il pourra y avoir une révélation dans l’un qui aura une importance dans l’autre.
Vous pouvez voir ici les tomes, et les trier par niveau (leur ordre chronologique de l’histoire) ou par date de parution (pour pouvoir les lire dans l’ordre où ils sont sortis).
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Merci beaucoup pour cette explication claire. J’ai l’impression de recommencer Hellboy ahah.
Je vais voir s’il y a de bonnes occasions a saisir.
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Comme j’y connais pas grand chose mais que j’aimerai bien les lire, est ce que çà vaut quelque chose ces bouquins là ? (couverture très souple, série incomplète) :
Lu et fini
38 tomes. C’est un shonen (mais sans les pouvoirs) qui se passe dans un univers carcéral.
C’est très bon, même si quelques coups de mou de temps en temps et un final un poil décevant (ça va trop vite sur la fin alors que certains passages dans le manga sont trop longuets pour rien).
En tout cas je le recommande vivement. C’est une très bonne lecture.
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Quand j’étais aux Beaux-arts (à Angoulême, dans ces années là justement - fin 90), c’était vraiment la maison d’édition dont tout le monde se gaussait - mais qu’on lisait aussi parfois un peu en cachette en librairie.
Après, il en faut pour tout le monde, et en l’occurence il y avait un public, on était sur une approche clairement commerciale (j’avoue que je n’ai aucune connaissance de leur prod actuelle depuis que Delcourt est rentré dans la danse) et ça me pose pas de problème, leur promesse de l’époque n’était pas de vendre de la bd d’auteur (et encore moins d’autrice en l’occurence), on peut pas dire qu’il y avait tromperie sur la marchandise.
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Enfin, je me permets de rectifier (même s’il est vrai que cela n’en à jamais fait une ligne éditoriale), car sans Soleil, pas de Universal War One! 
D’ailleurs elle met du temps à venir cette suite… 
(UW2 et ce foutu tome 4 - déjà 8 ans que le tome 3 est sorti! 
- mais plus chez Soleil)
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Beaucoup aimé Bolchoi Arena chez Delcourt qui raconte l’histoire d’un MMO futuriste en VR.
(Quel meilleur topic pour faire une reco BD.)
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Enfin, je me permets de rectifier (même s’il est vrai que cela n’en à jamais fait une ligne éditoriale), car sans Soleil, pas de Universal War One!
Je crois que tu as oublié d’utiliser les termes « conchier » et « fragile » pour corriger ce mensonge manifeste de quelqu’un qui n’y connait rien en plus d’être malhonnête.
Ce topic a un standing à respecter.
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Il est dans ma wish list celui là, boulet oblige
Ah oui c’est vrai que c’était chez eux ça ! Top.
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A part Futuropolis, et dans une moindre mesure Casterman et Dupuis avec sa collection « Aire libre » (mais c’est de moins en moins vrai), je ne vois pas de grosses maison d’édition dont la promesse eut été de vendre de la BD d’auteur.
Ni à l’époque du lancement des éditions Soleil ni aujourd’hui.
Ce qui au final revient à dire que toutes les maisons d’édition ont fait et font comme Soleil. Sans exceptions.
Le fait de comparer les deux laisse à penser que la BD d’auteur serait plus méritante, plus classe, plus acceptable, etc.
Et que faire de la BD grand public, pour ne pas dire populaire, c’est dégradant.
Je vois bien que ce n’est pas ce que tu veux dire et ce que tu dis, mais cela peut le laisser penser.
Reproche que l’on peut faire à TOUS les éditeurs de BD de l’époque.
C’est la BD dans son ensemble qui était (et est toujours mais dans une moindre mesure) peu ouverte et accessible aux autrices.
Il n’y a qu’à regarder les polémiques autour de la sélection pour le grand prix d’Angoulême en 2016.
2016, ce n’est pas le siècle dernier, c’était hier.
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Il y avait quand même l’Association qui était sur un créneau d’auteur/expérimentation.
Et une autre, dont le nom m’échappe qui éditait du Crumb et autres auteurs un peu « différents » . 
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C’est vrai, j’avais oublié l’Association. C’est de l’indé.
Cependant je ne le mettrai pas au même niveau que les autres éditeurs comme Dupuis, Dargaud, Casterman et consorts.
On est plus proche du roman graphique de façon générale que de la BD « classique » comme la très grande majorité des gens l’entendent.
Mais c’est tout à fait juste de le citer.
C’était pour pinaillé bien sûr ; ils n’avaient pas l’ampleur des éditeurs que tu as cité. Ils ont grand même bien grandi sous l’impulsion de Sfar, Trondheim et consorts.
Oui mais c’est quand même de la BD ! Et de la bonne en plus !
L’autre éditeur auquel je pensais, c’était Cornélius ! De très bonnes BD mais pas très classiques.
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