J’ai testé à 4 avec des cartes challenges individuel à chacun, et c’est assez intéressant de voir comment ça décale le défi.
Arriver au point de bascule n’est plus du tout un problème, ça devient juste le truc qu’on fait naturellement en fond, par contre réussir à faire en sorte, que A ai 3 résiliences sociale de plus que les tuiles températures, pendant que B à 6 résiliences dans chaque et C n’a aucune crise communautaire, ça devient un défi tout autre.
Petit point de règle à ce sujet, qui n’est pas vraiment expliqué dans la règle mais est confirmé par Matt Leacock sur BGG, une fois le point de bascule atteint, le jeton reste retourné jusqu’à la fin de la partie quoi qu’il se passe, qu’on gagne à cette manche ou non (avec les cartes challenges on ne gagne plus juste avec le point de bascule).
On a adoré le thème et sa présence tout au long de la partie. C’est plutôt joli (pour ce thème).
Gros plaisir de jeu tout du long jusqu’à ce qu’on gagne lors de la seconde partie.
La fin de partie est décevante lorsque la victoire survient. Nous ne l’avons pas du tout trouvée satisfaisante, limite on ne la voit pas venir : « il y a un océan qui n’a pas absorbé de carbone donc on a atteint le point de bascule », « bon ben la phase crise est passée et on a tenu ». « Mais attends, on a gagné là ? » « Apparemment ouais. » « Ah bon d’accord. »
Je ne sais pas comment décrire ça mais c’est bien la première fois que je suis déçu de gagner dans un jeu coop. Une sensation étrange que la montée en puissance de notre moteur de cartes se fait couper l’herbe sous le pied. Donc vraiment très chouette tant que l’on perd de notre point de vue.
Encore de notre avis, il y a un réel problème dans cette fin de partie et dans l’insatisfaction qu’elle nous a procuré, bridant l’envie d’en refaire une tant cet objectif nous paraît impalpable tout du long, et arrive tel un cheveu sur la soupe.
M’est avis que les avis élogieux sont ceux venant de beaucoup de joueurs enchaînant les défaites. Le jeu à la réputation d’être difficile (mais très soumis au hasard, qui ne nous a d’ailleurs pas dérangé) ce qui peut jouer en sa faveur.
De la même façon nous avons trouvé les projets globaux anecdotiques sur nos deux parties. On avait beau tourner leur utilisation dans tous les sens nous n’avons pas vu l’utilité de leur utilisation face à un moteur de cartes projets locaux bien rodé.
Merci pour vos retours (presque HS vu la tournure du topic )
A la limite, il faudrait presque les déplacer (mais les tronçonneuses sont en panne) ou les recopier (ça vous pouvez faire) dans le topic dédié, histoire que ça serve aussi aux gens qui ne sont pas intéressé par le survivalisme :
Sur la VO, chaque carte possède au verso un QR code renvoyant vers une fiche scientifique détaillée, explorant les tenants et aboutissants du concept réel dont elle s’inspire ! De quoi approfondir ses connaissances sur les dessous de cette transition socio-technique majeure que nécessite l’urgence climatique actuelle.
C’est pas juste pas traduit, C’est carrément pas imprimé. Ils ont enlevé le QR codes des cartes, donc même si dans le futur ils font machine arrière, les acheteurs de cette vague de print ci, on l’a dans l’os.
Et surtout c’est pas juste du fluff, y a aussi les subtilités de règles qui pourraient poser question. Une genre de FAQ intégré au jeu, l’idée est géniale, mais les français, on va se faire voir !
Alors que pour la version allemande (assemblée en Allemagne ), Schmidt a traduit toutes les fiches scientifiques en allemand et l’ensemble est disponible sur le site par le biais des QR code.
En vrai il suffit de taper le numéro de la carte dans cette adresse à la place du 1012 là et ça revient au même que de scanner le QR code.
Mais quand même je ne comprends absolument pas le move de les avoir enlever. Quitte à ne pas le traduire ça coute rien de juste laisser le QR code en prévenant dans la règle que ça renvoi vers une database uniquement en anglais et allemand. Et si plus tard l’envie leur prends de traduire en français c’est opérationnel…
Après ce n’est pas qu’une question d’image personnelle … Pour la population locale, c’est important de voir que les responsables de l’État sont là et ne les abandonnent pas ( cf les inondations en Espagne récemment).
Après faut que ce soit suivi de fait et faut mouiller la chemise