Garçon ? Y'a un iel dans mon jeu!

Je n’aime pas quand les gens racontent des conneries donc on me voit souvent ouais :smiley:

Fixed

:smiley:

(C’est gratuit, c’est cadeau, c’est Noël)

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Ça me va aussi ! :smiley:

Et du coup comme c’est pas ce qu’il a dit, ton meme est un peu raté frèrot, déso.

Mais la vraie question, c’est mon meme est-il aussi raté que ta vie frérot.e.iel ?
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Préconisation pour un apaisement : un stage chez les bonobos. :smiley:

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Non car la langue française ne leur appartient pas. Et si tu vas dans ce sens, alors tu dois aussi accepter que chacun puisse modifier/ajouter/transformer la langue à sa guise, afin qu’il/elle se reconnaissance. Du coup, la langue n’est plus un vecteur de communication mais un outil de satisfaction de son ego, AMHA.

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Mais du coup vous oubliez que la langue française ne vous appartient pas plus, hors en empêchant un groupe social de construire des manières de se désigner, c’est pourtant ce que vous faites.

Vous vous accaparez le droit de décider une bonne manière d’utiliser le français. Donc, c’est légèrement…Cocasse.

Qui plus est ceux qui se plaignent le plus sont ceux qui n’utiliseront de toute manière jamais le pronom.

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Parce qu’on parle français.

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J’espère que vous parlez l’ancien francois, tout ce qui arrive après le XVI ème siècle = français vulgaire.

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Pourquoi ce groupe social en particulier ? N’importe quel groupe social, peu importe son fondement ou sa légitimité, devrait dans ce cas être tout autant en mesure de réclamer une manière de se désigner qui lui soit propre. Ou d’accorder des adjectifs. Ou quoi que ce soit qui lui semblerait dans son intérêt propre.

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Est ce que j’ai dit le contraire quelque part ? Si vous vous sentez minoritaire et opréssé en tant qu’homme blanc d’âge moyen, libre à vous de vous inventer un langage. Qui vous en empêche ? Le seul soucis c’est que vous êtes représenté partout, et que « il » d’après ce que j’ai compris semble vous allez. Mais soit, libre à vous, si ça prend.

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Donc tu reconnais à chaque groupe social de pouvoir construire/déconstruire une langue commune. A partir de combien forme-t-on un groupe social ? Va falloir définir groupe social ? Et enfin, si chaque groupe social se dote de sa propre langue, qu’en est-il de la langue commune et des règles qui la régissent ?
Pour aller plus loin, des élèves (un groupe social ?) pourraient reprocher au corps professoral (un autre groupe social) de vouloir leur imposer leur « manière d’utiliser le français ».

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En très schématique :

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En fait des groupes sociaux avec des langues différentes autour de vous il y en a plein, et ça vaut pour des pratiques langagières de la langue française, mon grand père mélange français, patois béarnais, et on se comprend donc bon… Faux dilemme.

Vous pensez sincèrement qu’une langue parlée par des millions de personnes, troisième ou quatrième langue la plus parlée au monde dans quelques années (la Francophonie c’est pas que la France), va disparaître du jour au lendemain grâce à ces groupes sociaux dissidents (sarcasme) ? Un peu de sérieux. (Par contre oui le français se modifiera avec des influences diverses comme depuis ses origines en fait…).

Bref, je vais aller profiter de mon samedi.

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Pas vraiment, le français vulgaire ne correspond pas à une période (à moins que tu ne confondes avec la vulgate), on parle plutôt de français classique, puis moderne, puis contemporain ; tout comme les arts

Oui !
Ça c’est bien !

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Nan justement, vous vous comprenez uniquement parce que des efforts ont été fait particulièrement pour unifier la langue française, car à l’époque y’avait de multiples patois régionaux (tes groupes sociaux de l’époque), et que justement un effort a été fait pour unifier les groupes sociaux par la langue.
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Un effort ? Ah oui la mentalité coloniale du jacobinisme qui maltraitait les gamins béarnais en leur tapant avec la règle sur les doigts voir pire quand ils avaient le malheur de lâcher un mot de patois, mon grand père a connu oui.

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Moi, j’en dis que se revendiquer une étiquette, c’est bien la plus belle des conneries par les temps qui courent. Le revers de la médaille me paraît vachement périlleux.

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